03-25-2013, 10:22 AM
La porte de l'antre s'ouvre bruyamment laissant place à quelques longues secondes troublées par ce silence si pesant.
Les battants avaient souffert sur le choc puissant de la lourde porte à double portes.
Une simple volupte de fumée légèrement bleutée et ample caressa les torches dansantes disposées de part et d'autre de l'ouverture. Elle précédait l'entrée en matière du démon qui passerait d’ici peu de temps, le pas de la porte.
Il baissa la tête sous l'arche et entra dans la pièce.
Il s’arréta et leva très légèrement la tête. Il passa sur les personnes présentes, un regard inquisiteur “d’en-dessous” de toute beauté. Ses sourcils fournis et l’effet de lumière qui en résultait, révélait un air grave et intriguant.
De son air serein, peu enclin à la conversation, il toisa encore une fois les démons de la salle et sourit.
Il descendit trois ou quatres marches
Dans la main gauche, une Bière, une Pietra visiblement, à moitié pleine ou vide selon l’humeur, une bière Maquisarde à la crème de chataignes qui lui convenait à merveille.
Il s’appuya sur un des piliers qui semblaient bien petits par rapport à l’énorme taille du gradé de Baal.
La salle s’était tue depuis de longues minutes maintenant, prete à boire ses paroles.
Fougeolle dit alors ceci:
Je ne vais pas y aller par quatre chemins…
Je sens un grand mou ces dernier temps.
Alors je me suis proposé pour vous installer un bar façon “Jungle Fever” dans la salle d’à coté. Les boissons y sont à volonté donc allez y lorsque votre moral est à plat ou lorsque vous avez quelque chose à féter.
Montrant la porte par laquelle il était entré, il reprit une gorgée de sa bière et retourna donc tranquillement vers le bar.
Pour ceux qui se laisseraient tenter par simple curiosité ou pour étancher une soif grandissante, voici ce que découvrent ces démons avides.
Il retourne dans la salle de son pas lourd et puissant.
Lorsqu’ils pénètrent dans une salle la première chose marquante est l’humidité régnant dans cette pièce avoisinant les 90%. La chaleur y est très soutenable et oscille légèrement autour de 31°C. Mais la moiteur de cette dernière peut choquer dans un premier temps.
Une fois vos pupilles acclimatées aux contrastes de cette pièce par rapport à la cave de l’antre, vous percevez des formes vertes qui petit à petit prennent vie à vos yeux.
Des arbres…
Des arbres immenses qui se perdent dans le ciel. Une végétation luxuriante et digne d’un film à la “Prédator” mélant Science fiction ( pour la taille des spécimens ) et action ( pour l’aspect territoire vierge rappelant le Viet-nam et les guerillas dans la jungle ).
Au dessus de vous, des voutes créées par la verdure laissant filtrées quelques rayons lumineux qui semblent être la lumière vive du dehors. Semble seulement.
Vous savez que vous êtes toujours dans les bas fonds de l’antre, vous savez que le soleil ne pointe pas au dessus de vos têtes mais tout est fait pour reproduire la moiteur d’une jungle équatoriale.
Et tout parait si minutieusement fait pour vous faire croire à cela que, petit à petit votre corps ne semble plus trop s’en soucier.
La pièce semble faire un bon 300 mètres carrés, vous ne pouvez distinguer les murs, ou ce qui paraissaient être des murs, puisque les lianes et d’autres plantes subtropicales y ont élues domicile et les recouvrent totalement.
Cette jungle semblait vivre et respirer. Elle s’emplissait d’oxygène au gré des inspirations de son concepteur.
Oui, assurément cette jungle factice était de toute beauté…
Maintenant, vous percevez enfin l’univers tout autour de vous. Vous ressentez la nature vierge et saine remplir votre être dans son entier.
La Plenitude vous étreint et ne souhaite plus vous quitter.
Les tables et les banquettes sont disposées ça et là. Elles se meuvent par la simple volonté de son créateur s’orientant autour d’un arbre d’un diamètre impensable ou devant un ruisseau. Tous les aménagements sont pensés autour du vaste lieu et la création ne serait pas aboutie sans les trois dernière choses primordiales restantes:
- Le bar ou plutôt comptoir. Toutes personnes étant libre de se servir ce que bon lui semble, totalement ouvert à toute proposition. Dans cette chaleur humide, il est bon de se retrouver devant une boisson alcoolisée et fraiche au possible. A ce titre, des frigos camouflés derrière de magnifiques specimens colorés ont été spécialement affrétés pour hydrater au mieux les convives. Des familiers se chargent des stocks.
- Les insectes et autres animaux peuplant ce merveilleuse endroit. Des araignée, tarentules ou dame noire tissaient leur toile et piègeant leur proie. Des serpents tortueux enroulaient autour des genoux de leur futur desserts pour finalement les mordre (hu hu hu).
- Le coin dédié aux serviteurs de Shaytan et à leur inextinguible soif de sublime laideur. Un large coin de boue malodorant au possible, broyant les boyaux et secouant les plus aguerries soldats par l’affreuseté olfactive de leur espace reservé..
Fougeolle se tenait là sur une banquette en lierre massif ( hu hu hu la phrase pour rigoler.)
HRP: Désolé pour le Copier/coller affreux.
Les battants avaient souffert sur le choc puissant de la lourde porte à double portes.
Une simple volupte de fumée légèrement bleutée et ample caressa les torches dansantes disposées de part et d'autre de l'ouverture. Elle précédait l'entrée en matière du démon qui passerait d’ici peu de temps, le pas de la porte.
Il baissa la tête sous l'arche et entra dans la pièce.
Il s’arréta et leva très légèrement la tête. Il passa sur les personnes présentes, un regard inquisiteur “d’en-dessous” de toute beauté. Ses sourcils fournis et l’effet de lumière qui en résultait, révélait un air grave et intriguant.
De son air serein, peu enclin à la conversation, il toisa encore une fois les démons de la salle et sourit.
Il descendit trois ou quatres marches
Dans la main gauche, une Bière, une Pietra visiblement, à moitié pleine ou vide selon l’humeur, une bière Maquisarde à la crème de chataignes qui lui convenait à merveille.
Il s’appuya sur un des piliers qui semblaient bien petits par rapport à l’énorme taille du gradé de Baal.
La salle s’était tue depuis de longues minutes maintenant, prete à boire ses paroles.
Fougeolle dit alors ceci:
Je ne vais pas y aller par quatre chemins…
Je sens un grand mou ces dernier temps.
Alors je me suis proposé pour vous installer un bar façon “Jungle Fever” dans la salle d’à coté. Les boissons y sont à volonté donc allez y lorsque votre moral est à plat ou lorsque vous avez quelque chose à féter.
Montrant la porte par laquelle il était entré, il reprit une gorgée de sa bière et retourna donc tranquillement vers le bar.
Pour ceux qui se laisseraient tenter par simple curiosité ou pour étancher une soif grandissante, voici ce que découvrent ces démons avides.
Il retourne dans la salle de son pas lourd et puissant.
Lorsqu’ils pénètrent dans une salle la première chose marquante est l’humidité régnant dans cette pièce avoisinant les 90%. La chaleur y est très soutenable et oscille légèrement autour de 31°C. Mais la moiteur de cette dernière peut choquer dans un premier temps.
Une fois vos pupilles acclimatées aux contrastes de cette pièce par rapport à la cave de l’antre, vous percevez des formes vertes qui petit à petit prennent vie à vos yeux.
Des arbres…
Des arbres immenses qui se perdent dans le ciel. Une végétation luxuriante et digne d’un film à la “Prédator” mélant Science fiction ( pour la taille des spécimens ) et action ( pour l’aspect territoire vierge rappelant le Viet-nam et les guerillas dans la jungle ).
Au dessus de vous, des voutes créées par la verdure laissant filtrées quelques rayons lumineux qui semblent être la lumière vive du dehors. Semble seulement.
Vous savez que vous êtes toujours dans les bas fonds de l’antre, vous savez que le soleil ne pointe pas au dessus de vos têtes mais tout est fait pour reproduire la moiteur d’une jungle équatoriale.
Et tout parait si minutieusement fait pour vous faire croire à cela que, petit à petit votre corps ne semble plus trop s’en soucier.
La pièce semble faire un bon 300 mètres carrés, vous ne pouvez distinguer les murs, ou ce qui paraissaient être des murs, puisque les lianes et d’autres plantes subtropicales y ont élues domicile et les recouvrent totalement.
Cette jungle semblait vivre et respirer. Elle s’emplissait d’oxygène au gré des inspirations de son concepteur.
Oui, assurément cette jungle factice était de toute beauté…
Maintenant, vous percevez enfin l’univers tout autour de vous. Vous ressentez la nature vierge et saine remplir votre être dans son entier.
La Plenitude vous étreint et ne souhaite plus vous quitter.
Les tables et les banquettes sont disposées ça et là. Elles se meuvent par la simple volonté de son créateur s’orientant autour d’un arbre d’un diamètre impensable ou devant un ruisseau. Tous les aménagements sont pensés autour du vaste lieu et la création ne serait pas aboutie sans les trois dernière choses primordiales restantes:
- Le bar ou plutôt comptoir. Toutes personnes étant libre de se servir ce que bon lui semble, totalement ouvert à toute proposition. Dans cette chaleur humide, il est bon de se retrouver devant une boisson alcoolisée et fraiche au possible. A ce titre, des frigos camouflés derrière de magnifiques specimens colorés ont été spécialement affrétés pour hydrater au mieux les convives. Des familiers se chargent des stocks.
- Les insectes et autres animaux peuplant ce merveilleuse endroit. Des araignée, tarentules ou dame noire tissaient leur toile et piègeant leur proie. Des serpents tortueux enroulaient autour des genoux de leur futur desserts pour finalement les mordre (hu hu hu).
- Le coin dédié aux serviteurs de Shaytan et à leur inextinguible soif de sublime laideur. Un large coin de boue malodorant au possible, broyant les boyaux et secouant les plus aguerries soldats par l’affreuseté olfactive de leur espace reservé..
Fougeolle se tenait là sur une banquette en lierre massif ( hu hu hu la phrase pour rigoler.)
HRP: Désolé pour le Copier/coller affreux.