01-26-2013, 11:00 AM
Pas un regard en direction de Sincérité:
Maître... Yoda. Elle hésite sur l’appellation, et choisi de participer aux délires du polymorphe. Cette crise, comme vous le savez, est la seconde de cette nature. La première a aboutit à un entretient avec vous, et au silence. J'ai tenté moi même, de ma propre démarche, de faire la paix suite à notre dialogue. Mais je ne peut rien contre les saute d'humeur.
Croyez bien que j'ai patienté avant d'envoyer mon rapport pour cette seconde crise, mais la suite c'est passé comme si rien n'était arrivé, alors qu'un juge m'as accusé de vouloir la tuer.
Ne vous y trompez pas: ce n'est pas moi l'accusatrice !
Le mot "accusatrice" est étrangement appuyé.
On as essayé de m'empêcher d'envoyer ce rapport. Mais c'est tout. Pour tout vous dire, je devais même rejoindre la même section que la Juge, la laissant m'accuser jusqu'au jour ou quelqu'un la prendra au sérieux. Je vous rappelle que c'est un juge ! Après cette deuxième crise, j'ai décidé que tenter de faire la paix de ma propre initiative était clairement inefficace.
Et... Hey, bien pas de nouvelle !
Un geste de dépit.
Ni de l’intéressée, ni d'un autre. Il est manifeste que je soit la seule à voir la gravité réelle de la situation.
Un index effilée se brandit au mot "réelle". Ses yeux profond défit quiconque, y compris le Maître, d'oser la contredire.
Les deux crises ont rigoureusement suivi le même schéma, sauf la deuxième ou elle m'a agressé sans aucun stimuli de ma part. A chaque fois cela commence par une agression verbale auquel je répond sur le même ton. Et ensuite prise dans un délire de persécution, la juge se saisit d'une arme pour monter d'un cran. Bien entendu, je n'ai jamais répondu à cette provocation.
Croisant les bras, elle poursuit.
Je veut bien reconnaitre sa bonne foi, et considérer qu'elle n'essaye pas de me manipuler afin de m'amener à l'agresser physiquement. Dans ce cas, elle est folle. Ha ! Et dernier détail: si je voulais tuer Sincérité, sur terre ou sur la Marche, elle aurais déjà plopé.
Maître... Yoda. Elle hésite sur l’appellation, et choisi de participer aux délires du polymorphe. Cette crise, comme vous le savez, est la seconde de cette nature. La première a aboutit à un entretient avec vous, et au silence. J'ai tenté moi même, de ma propre démarche, de faire la paix suite à notre dialogue. Mais je ne peut rien contre les saute d'humeur.
Croyez bien que j'ai patienté avant d'envoyer mon rapport pour cette seconde crise, mais la suite c'est passé comme si rien n'était arrivé, alors qu'un juge m'as accusé de vouloir la tuer.
Ne vous y trompez pas: ce n'est pas moi l'accusatrice !
Le mot "accusatrice" est étrangement appuyé.
On as essayé de m'empêcher d'envoyer ce rapport. Mais c'est tout. Pour tout vous dire, je devais même rejoindre la même section que la Juge, la laissant m'accuser jusqu'au jour ou quelqu'un la prendra au sérieux. Je vous rappelle que c'est un juge ! Après cette deuxième crise, j'ai décidé que tenter de faire la paix de ma propre initiative était clairement inefficace.
Et... Hey, bien pas de nouvelle !
Un geste de dépit.
Ni de l’intéressée, ni d'un autre. Il est manifeste que je soit la seule à voir la gravité réelle de la situation.
Un index effilée se brandit au mot "réelle". Ses yeux profond défit quiconque, y compris le Maître, d'oser la contredire.
Les deux crises ont rigoureusement suivi le même schéma, sauf la deuxième ou elle m'a agressé sans aucun stimuli de ma part. A chaque fois cela commence par une agression verbale auquel je répond sur le même ton. Et ensuite prise dans un délire de persécution, la juge se saisit d'une arme pour monter d'un cran. Bien entendu, je n'ai jamais répondu à cette provocation.
Croisant les bras, elle poursuit.
Je veut bien reconnaitre sa bonne foi, et considérer qu'elle n'essaye pas de me manipuler afin de m'amener à l'agresser physiquement. Dans ce cas, elle est folle. Ha ! Et dernier détail: si je voulais tuer Sincérité, sur terre ou sur la Marche, elle aurais déjà plopé.