08-30-2012, 12:56 AM
Boïzerd regarde toujours Richter, plutôt amusé qu'autre chose désormais. D'ailleurs, ce n'est pas parce qu'il tourne le champagne dans son verre (sacrilège, il ne peut être inconscient de ce qu'il fait, à moins qu'il ne soit réellement absorbé par quelque chose, soit il le joue), qu'il n'écoute pas les dires de son nouveau "pote ». La preuve, lorsque ce dernier présente son curriculum à Richter, le démon ne peut lève sympathiquement la main. C’est bizarre d’ailleurs à quel point il prend bien les piques de Riffel.
Eh oui mon cher, je suis un démon très occupé. Une place des Vosges à dévaliser par-ci, un dépôt d’EMMAÜS à nettoyer par là, la routine. J’ai hélas peu souvent le temps de venir prendre des nouvelles de Mademoiselle Fender.
Il soupire et remue la tête, déprimé. C’est dingue d’ailleurs la rapidité avec laquelle il change d’expression.
J’espérais bien la croiser ici, mais hélas… Vos paroles sont bien cruelles… Vous pensez vraiment que je n’ai aucune chance ?
Eh oui mon cher, je suis un démon très occupé. Une place des Vosges à dévaliser par-ci, un dépôt d’EMMAÜS à nettoyer par là, la routine. J’ai hélas peu souvent le temps de venir prendre des nouvelles de Mademoiselle Fender.
Il soupire et remue la tête, déprimé. C’est dingue d’ailleurs la rapidité avec laquelle il change d’expression.
J’espérais bien la croiser ici, mais hélas… Vos paroles sont bien cruelles… Vous pensez vraiment que je n’ai aucune chance ?