Je plonge mes yeux dans ceux la succube et j'hausse les sourcils à plusieurs reprises avant de tirer une langue pendante qui vient fureter dans son décolleté.
** Si y'a un piège a loup la dedans j'aurai l'air fin **
Tandis que je lui déguste subrepticement le téton du bout de la langue, mes yeux observent le reste de la salle. je vois alors la citrouille se ballader du Bar vers la table où la blondinette s'était installée. la courge démoniaque prend apparemment ses aises en détaillant les petites culottes, bas et compagnie que la demoiselle vient de déballer. Ce qui de toutes évidences, ne plait pas outre mesure à celle-ci. elle ne se prive pas de lui faire savoir et atire l'attention par ces remarques du démon de Belial que cet étrange légume finit par rendre curieux.
Le chevalier de Baal lui ne semble avoir d'yeux que pour la pin-up "chocolat" qui ondule non loin de moi.
** c'est vrai qu'elle est à croquer la bougresse! elle a un cul dans lequel perdrait bien quelques siècle à s'agiter frénétiquement **
Loin de se laisser rabaisser au rang de citrouille-famillier, le cucurbitacée revêche s'insurge et sautille d'excitation en affirmant valoir mieux que ces pauvres sous-créatures nous obéissent servilement.
"Démon. Démone. Je m'en fous. Mais pas familier !"
He he he c'est marrant ça...démon-démone à toi de choisir, mais t'es qui ?.Fais péter ton aura si t'es un fils de Satan !
** c'est vrai qu'il y aurait de quoi se méprendre. Mais je crois en l’occurrence que le familier c'est ce nain qui la trimbale partout **
Ma langue reprends sa place et je glisse à demi-mots à la démone que je tiens par la taille.
"tu as raison, pourquoi reporter au lendemain ce qu'on peut faire sur le champs !!"
Profitant de sa légèreté et de ma force je la grimpe sur mon épaule et m’apprête à l’emmener dans une pièce contiguë. En route je lui tapote l'arrière train en sifflotant l'air du pont de la rivière kwaï. Derrière moi, le ton semble monter entre la citrouille arrogante, la blondinette des vents et le grand cornu serviteur de Belial. je marque un temps d'arret.
** si ça chauffe je ne voudrais rater ça pour rien au monde! **
Je me retourne donc pour observer le spectacle. Nanax se retrouve la tête vers la porte le postérieur vers la scène. il ne me faut qu'une seconde pour penser qu'elle n'a pas d'oeil dans le trou de balle. je la repose donc au sol en disant:
"attends deux seconde ma chere... ca pourrait être distrayant ... tu connais la recette de la soupe de potiron? ... parce que là y'a des chances pour que ça gicle orange dans les parages."
Hum... fausse alerte ce n'était que de l'esbrouffe. Repensant alors à la proposition lubrique de la servante du prince du stupre, je réfléchie un instant avant de lui ajouter:
" t'as un endroit de prédilection pour me montrer tes talents ou tu veux faire ça ici? "
** Si y'a un piège a loup la dedans j'aurai l'air fin **
Tandis que je lui déguste subrepticement le téton du bout de la langue, mes yeux observent le reste de la salle. je vois alors la citrouille se ballader du Bar vers la table où la blondinette s'était installée. la courge démoniaque prend apparemment ses aises en détaillant les petites culottes, bas et compagnie que la demoiselle vient de déballer. Ce qui de toutes évidences, ne plait pas outre mesure à celle-ci. elle ne se prive pas de lui faire savoir et atire l'attention par ces remarques du démon de Belial que cet étrange légume finit par rendre curieux.
Le chevalier de Baal lui ne semble avoir d'yeux que pour la pin-up "chocolat" qui ondule non loin de moi.
** c'est vrai qu'elle est à croquer la bougresse! elle a un cul dans lequel perdrait bien quelques siècle à s'agiter frénétiquement **
Loin de se laisser rabaisser au rang de citrouille-famillier, le cucurbitacée revêche s'insurge et sautille d'excitation en affirmant valoir mieux que ces pauvres sous-créatures nous obéissent servilement.
"Démon. Démone. Je m'en fous. Mais pas familier !"
He he he c'est marrant ça...démon-démone à toi de choisir, mais t'es qui ?.Fais péter ton aura si t'es un fils de Satan !
** c'est vrai qu'il y aurait de quoi se méprendre. Mais je crois en l’occurrence que le familier c'est ce nain qui la trimbale partout **
Ma langue reprends sa place et je glisse à demi-mots à la démone que je tiens par la taille.
"tu as raison, pourquoi reporter au lendemain ce qu'on peut faire sur le champs !!"
Profitant de sa légèreté et de ma force je la grimpe sur mon épaule et m’apprête à l’emmener dans une pièce contiguë. En route je lui tapote l'arrière train en sifflotant l'air du pont de la rivière kwaï. Derrière moi, le ton semble monter entre la citrouille arrogante, la blondinette des vents et le grand cornu serviteur de Belial. je marque un temps d'arret.
** si ça chauffe je ne voudrais rater ça pour rien au monde! **
Je me retourne donc pour observer le spectacle. Nanax se retrouve la tête vers la porte le postérieur vers la scène. il ne me faut qu'une seconde pour penser qu'elle n'a pas d'oeil dans le trou de balle. je la repose donc au sol en disant:
"attends deux seconde ma chere... ca pourrait être distrayant ... tu connais la recette de la soupe de potiron? ... parce que là y'a des chances pour que ça gicle orange dans les parages."
Hum... fausse alerte ce n'était que de l'esbrouffe. Repensant alors à la proposition lubrique de la servante du prince du stupre, je réfléchie un instant avant de lui ajouter:
" t'as un endroit de prédilection pour me montrer tes talents ou tu veux faire ça ici? "