07-15-2012, 02:12 PM
C'est un coup de botte bien bouté qui ouvre la porte en bois, la faisant suffisamment bailler pour laisser le passage du bonhomme qui vient de le balancer. (Il est bien visible qu'il tente de ne pas boiter.)
Faisant voler sa cape verte derrière lui, sur laquelle sont épinglé nombres de rubans aux coloris variés et divers, pour en faire tomber la poussière de voyage, il avance d'un pas dans la pièce et toise le moindre occupant qui y séjourne. Non pas d'un œil mauvais comme on pourrait le croire, mais d'un regard profond et sincère accentué par des iris d'un bleu limpide.
Son grand sourire jusqu'aux oreilles, avenant a souhait, confirme d'ailleurs cette première constatation et invite quiconque croiserait sa route a la rencontre et au partage autour d'un verre.
Dans son dos est attaché un long luth de facture ancienne, disputant la place a une arbalète ouvragée, a son carquois en cuir associé, et a une longue lance qui le dépasse d'une tête. Il se déleste prestement de ses armes a l'entrée, et les range avec déférence, mais garde son instrument de musique attaché et a porté de main.
Sans cesser de sourire donc, le jeune homme lisse son pantalon épais et fait allègrement claquer ses bottes en se dirigeant vers le comptoir sur lequel il finit par s'appuyer nonchalamment.
Un peu plus grand que la moyenne, l'homme est svelte et élancé selon les critères habituels. Sa voix est profonde lorsqu'il prends la parole et détonne complétement au vu de son gabarit.
Une voix qui a du coffre :
Tavernier ?
Je vais prendre une chope d'ambroisie fraiche survolée d'une rondelle de citron, relevée d'une feuille de menthe et rehaussée de quelques gouttes d'hydromel.
D'un geste désinvolte il repousse ses mèches blondes de son front. Puis, se retournant, embrasse a nouveau la salle de son regard scrutateur le temps que sa commande soit préparée, s'attardant plus que nécessaire sur les (jolies) filles présentes.
Faisant voler sa cape verte derrière lui, sur laquelle sont épinglé nombres de rubans aux coloris variés et divers, pour en faire tomber la poussière de voyage, il avance d'un pas dans la pièce et toise le moindre occupant qui y séjourne. Non pas d'un œil mauvais comme on pourrait le croire, mais d'un regard profond et sincère accentué par des iris d'un bleu limpide.
Son grand sourire jusqu'aux oreilles, avenant a souhait, confirme d'ailleurs cette première constatation et invite quiconque croiserait sa route a la rencontre et au partage autour d'un verre.
Dans son dos est attaché un long luth de facture ancienne, disputant la place a une arbalète ouvragée, a son carquois en cuir associé, et a une longue lance qui le dépasse d'une tête. Il se déleste prestement de ses armes a l'entrée, et les range avec déférence, mais garde son instrument de musique attaché et a porté de main.
Sans cesser de sourire donc, le jeune homme lisse son pantalon épais et fait allègrement claquer ses bottes en se dirigeant vers le comptoir sur lequel il finit par s'appuyer nonchalamment.
Un peu plus grand que la moyenne, l'homme est svelte et élancé selon les critères habituels. Sa voix est profonde lorsqu'il prends la parole et détonne complétement au vu de son gabarit.
Une voix qui a du coffre :
Tavernier ?
Je vais prendre une chope d'ambroisie fraiche survolée d'une rondelle de citron, relevée d'une feuille de menthe et rehaussée de quelques gouttes d'hydromel.
D'un geste désinvolte il repousse ses mèches blondes de son front. Puis, se retournant, embrasse a nouveau la salle de son regard scrutateur le temps que sa commande soit préparée, s'attardant plus que nécessaire sur les (jolies) filles présentes.