06-15-2012, 07:02 PM
La fondation Patrimoine est plus vieille qu'on pourrais s'y attendre.
Elle n'a changé de vocation que depuis un an environ. Auparavant, l'organisme servait surtout à racheter ou entretenir des terrains ou des pièces d'art afin qu'elles ne quittent pas le territoire français. Les mécènes palliaient souvent aux refus de l'état. Ainsi, telle propriété qui n'avait pas réussit à obtenir le label de monument historique était rachetée afin d'empêcher sa démolition.
Une partie des dons servaient également à compléter des subventions de l'état pour l'entretient de tel ou tel monument.
L'affaire de l'école d'Immac était une première dans un autre registre de la philanthropie.
Officiellement l'organisme était dirigé par conseil d'homme d'affaire, dont Granvelle faisait partie. Mais en approfondissant les recherches Eustache finit par comprendre que si le conseil se réunit ce n'est qu'un spectacle de marionnette entre les mains du candidat à la Mairie. En effet: chaque entreprise à été rachetée il y a moins de deux ans par le même homme. Ce n'est pas toujours aussi clair que le nom de Richard Granvelle sur un acte de propriété, mais son ombre et ses intérêts planent partout.
De fait, si la fondation a bien un objectif humanitaire, encore plus récemment, se plonger dans l'histoire récente du comité de direction revient à se plonger dans un thriller financier. C'est en approfondissant les recherche sur les anciens membre du comité qu'Eustache ne tarde pas à comprendre que chaque entreprise membre de ce projet à du subir une OPA, consentir à laisser des parts (au point de perdre la majorité), ou se mettre en sous traitance vis à vis du Conglomérat Granvelle...
La coïncidence n'est pas si troublante de fait: Granvelle est un requin, et le nombre de boite qu'il a racheter dépasse de loin celles membres de cette fondation. Mais l'entrepreneur à eût la lubie d'assujettir une Fondation à son bon vouloir.
Elle n'a changé de vocation que depuis un an environ. Auparavant, l'organisme servait surtout à racheter ou entretenir des terrains ou des pièces d'art afin qu'elles ne quittent pas le territoire français. Les mécènes palliaient souvent aux refus de l'état. Ainsi, telle propriété qui n'avait pas réussit à obtenir le label de monument historique était rachetée afin d'empêcher sa démolition.
Une partie des dons servaient également à compléter des subventions de l'état pour l'entretient de tel ou tel monument.
L'affaire de l'école d'Immac était une première dans un autre registre de la philanthropie.
Officiellement l'organisme était dirigé par conseil d'homme d'affaire, dont Granvelle faisait partie. Mais en approfondissant les recherches Eustache finit par comprendre que si le conseil se réunit ce n'est qu'un spectacle de marionnette entre les mains du candidat à la Mairie. En effet: chaque entreprise à été rachetée il y a moins de deux ans par le même homme. Ce n'est pas toujours aussi clair que le nom de Richard Granvelle sur un acte de propriété, mais son ombre et ses intérêts planent partout.
De fait, si la fondation a bien un objectif humanitaire, encore plus récemment, se plonger dans l'histoire récente du comité de direction revient à se plonger dans un thriller financier. C'est en approfondissant les recherche sur les anciens membre du comité qu'Eustache ne tarde pas à comprendre que chaque entreprise membre de ce projet à du subir une OPA, consentir à laisser des parts (au point de perdre la majorité), ou se mettre en sous traitance vis à vis du Conglomérat Granvelle...
La coïncidence n'est pas si troublante de fait: Granvelle est un requin, et le nombre de boite qu'il a racheter dépasse de loin celles membres de cette fondation. Mais l'entrepreneur à eût la lubie d'assujettir une Fondation à son bon vouloir.