06-11-2012, 09:10 AM
Agnès fait un geste de dénégation de la tête.
Mon pauvre Monsieur, vous n'avez pourtant pas fait de tapage pour attirer des gens que cela ne concerne pas. Mais ne rentrez pas dans leur jeu, sinon vous serez perdu quant les vrais importuns viendrons.
Regardez: il y a bien une dizaine de signature sur votre formulaire alors que vous avez à peine commencer. Concentrer vous sur ce que vous faites, le reste nous verrons plus tard.
Puis le regard de la Présidente des parents d'élève se pose sur le père dont les enfants ne sont pas inscrits.
Ici, Monsieur, nous signons une pétition. Ce n'est pas un forum pour débattre des idées. Si vous n'êtes pas d'accord, vous ne signez pas, et c'est finit. En outre, désolé d'être abrupte, mais votre opinion ne nous intéressera que lorsque vos enfants seront inscrit et pas avant.
Pour la femme exaltée c'est carrément plus sec:
Vous êtes ... ?
La jeune femme semble un peu surprise par la brutalité d'Agnès et répond, avec un air timide:
C'est vrai que je ne me suis pas présentée: Armande Hanquet, jeune citoyenne de cette ville.
Elle reprend ensuite un peu d'aplomb, et dit d'un air plus décidé:
Une pétition peut-être signée par tout le monde, même par des mineurs si je ne me trompe pas. Je ne vois donc pas pourquoi je ne peux pas débattre avec ce monsieur de sa pétition. Nous sommes en démocratie et dans un espace public. Si ce monsieur ne souhaite pas de débat public, qu'il fasse du porte à porte.
Agnès sourit:
En effet jeune femme. Tout le monde peut signer une pétition. Néanmoins je ne crois pas que contester le droit de parent d'élève à décider de la nature de l'éducation dût à leurs enfants sont particulièrement adapté. Vous avez entièrement raison: la rue n'est pas le bon endroit pour faire valoir nos droits.
Cette école est privé, et vas cesser de l'être pour soutenir les ambitions politiques d'un homme. Actuellement nous nous faisons prendre à partie par des gens qui n'ont rien à voir avec cette situation. Cela doit cesser.
Venez cher Monsieur, nous allons organiser une réunion de parent d'élève, et je vous promet que la seule contestataire sera cette pauvre Sophie.
D'un geste elle invite Guy à la suivre.
Mon pauvre Monsieur, vous n'avez pourtant pas fait de tapage pour attirer des gens que cela ne concerne pas. Mais ne rentrez pas dans leur jeu, sinon vous serez perdu quant les vrais importuns viendrons.
Regardez: il y a bien une dizaine de signature sur votre formulaire alors que vous avez à peine commencer. Concentrer vous sur ce que vous faites, le reste nous verrons plus tard.
Puis le regard de la Présidente des parents d'élève se pose sur le père dont les enfants ne sont pas inscrits.
Ici, Monsieur, nous signons une pétition. Ce n'est pas un forum pour débattre des idées. Si vous n'êtes pas d'accord, vous ne signez pas, et c'est finit. En outre, désolé d'être abrupte, mais votre opinion ne nous intéressera que lorsque vos enfants seront inscrit et pas avant.
Pour la femme exaltée c'est carrément plus sec:
Vous êtes ... ?
La jeune femme semble un peu surprise par la brutalité d'Agnès et répond, avec un air timide:
C'est vrai que je ne me suis pas présentée: Armande Hanquet, jeune citoyenne de cette ville.
Elle reprend ensuite un peu d'aplomb, et dit d'un air plus décidé:
Une pétition peut-être signée par tout le monde, même par des mineurs si je ne me trompe pas. Je ne vois donc pas pourquoi je ne peux pas débattre avec ce monsieur de sa pétition. Nous sommes en démocratie et dans un espace public. Si ce monsieur ne souhaite pas de débat public, qu'il fasse du porte à porte.
Agnès sourit:
En effet jeune femme. Tout le monde peut signer une pétition. Néanmoins je ne crois pas que contester le droit de parent d'élève à décider de la nature de l'éducation dût à leurs enfants sont particulièrement adapté. Vous avez entièrement raison: la rue n'est pas le bon endroit pour faire valoir nos droits.
Cette école est privé, et vas cesser de l'être pour soutenir les ambitions politiques d'un homme. Actuellement nous nous faisons prendre à partie par des gens qui n'ont rien à voir avec cette situation. Cela doit cesser.
Venez cher Monsieur, nous allons organiser une réunion de parent d'élève, et je vous promet que la seule contestataire sera cette pauvre Sophie.
D'un geste elle invite Guy à la suivre.