06-06-2012, 02:17 PM
"Avec leurs gestes pleins de charme. Dites moi où sont les femmes, femmes, femmes, femmes, femmes. Où sont les feeeeeeeeeeeeeeeeeeeeemmes ?
C'est cette douce mélopée que peuvent entendre les démons se trouvant non loin de l'entrée de l'Antre. Enfin douce mélopée... Pour être plus exact, c'est une voix caverneuse et rauque qui tente de monter dans les aigus version Patrick Juvet. Qui plus est une voix sans talent, alors imaginez un peu le choc auditif... Qui n'est pas le sol choc en fait ! Au fur et à mesure que le son arrive, vient avec lui une douce odeur de fleurs, probablement peu commune en ce lieu.
Mais qui donc vient ainsi gratifier les démons de sa présence ? Nul autre que Radnûl, à l'apparence générale d'un mort vivant. Chair putréfiée, peau manquante à certains endroits, os apparents à d'autres... Il n'a plus que quelques mèches filandreuses de cheveux par-ci par-là et ses yeux n'ont ni iris ni pupille. Ce qui fait bizarre aussi, c'est qu'il est habillé avec un costume trois pièces noir et un chapeau borsalino, mais qu'il ne porte pas de chaussures...
Il avance dans les couloirs de l'Antre, manifestement à la recherche de quelque chose ou quelqu'un vu comme son front est plissé. Alors qu'il est en pleine exploration, il continue sa chanson, toujours de la même manière.
"Qui ont des rires pleins de larmes. Auraient-elles perdu leur flamme, flamme, flamme, flamme, flamme. Où sont les feeeeeeeeeeeeeeeemmes ? "
C'est cette douce mélopée que peuvent entendre les démons se trouvant non loin de l'entrée de l'Antre. Enfin douce mélopée... Pour être plus exact, c'est une voix caverneuse et rauque qui tente de monter dans les aigus version Patrick Juvet. Qui plus est une voix sans talent, alors imaginez un peu le choc auditif... Qui n'est pas le sol choc en fait ! Au fur et à mesure que le son arrive, vient avec lui une douce odeur de fleurs, probablement peu commune en ce lieu.
Mais qui donc vient ainsi gratifier les démons de sa présence ? Nul autre que Radnûl, à l'apparence générale d'un mort vivant. Chair putréfiée, peau manquante à certains endroits, os apparents à d'autres... Il n'a plus que quelques mèches filandreuses de cheveux par-ci par-là et ses yeux n'ont ni iris ni pupille. Ce qui fait bizarre aussi, c'est qu'il est habillé avec un costume trois pièces noir et un chapeau borsalino, mais qu'il ne porte pas de chaussures...
Il avance dans les couloirs de l'Antre, manifestement à la recherche de quelque chose ou quelqu'un vu comme son front est plissé. Alors qu'il est en pleine exploration, il continue sa chanson, toujours de la même manière.
"Qui ont des rires pleins de larmes. Auraient-elles perdu leur flamme, flamme, flamme, flamme, flamme. Où sont les feeeeeeeeeeeeeeeemmes ? "