05-09-2012, 09:01 AM
La modification du rêve d'Agnès par Forty est sensiblement la même que celle apportée à celui de Corina, sauf que cette fois-ci, c'est la jeune fille qui s'inquiète de voir une arme dans la main d’Émilie
Mais c'est quoi cette arme ? D'où vient elle ? Il y a des enfants ici !
Cette fois, Forty place une réponse dans la bouche d’Émilie :
C'est un gendarme qui me l'a donnée, j'ai compris que les gens qui étaient chez Granvelle sont nos ennemis.
Puis, les pas dans le couloir, et les voix des parents à la recherche de leur enfant.
Émilie panique et tire une première fois dans la porte faisant un trou énorme. La détonation remplit l'air et Agnès serre sa fille contre elle. Une voix étranglée crie :
Mais vous êtes malades ?
Puis le silence... Et une voix masculine que reconnaît Agnès. Elle a déjà entendu cette voix...
Relâchez les otages !
L'impression d'un moment qui dure des heures, et soudain, l'éclair d'un coup de feu par le trou dans la porte. Émilie lâche son arme et s'écroule, le genou explosé.
Puis la porte s'ouvre et un homme sort de l'ombre, tenant à la main un colt 1911 dont le canon fume encore.
Tu nous a trahis, Émilie !
Comme dans le rêve de sa fille, Agnès voit Richard Granvelle s'avancer dans la salle de classe, l'arme au poing, l'air menaçant, alors que tout le monde fuit dans la panique. C'est ce souvenir qui restera gravé dans sa mémoire.
Mais c'est quoi cette arme ? D'où vient elle ? Il y a des enfants ici !
Cette fois, Forty place une réponse dans la bouche d’Émilie :
C'est un gendarme qui me l'a donnée, j'ai compris que les gens qui étaient chez Granvelle sont nos ennemis.
Puis, les pas dans le couloir, et les voix des parents à la recherche de leur enfant.
Émilie panique et tire une première fois dans la porte faisant un trou énorme. La détonation remplit l'air et Agnès serre sa fille contre elle. Une voix étranglée crie :
Mais vous êtes malades ?
Puis le silence... Et une voix masculine que reconnaît Agnès. Elle a déjà entendu cette voix...
Relâchez les otages !
L'impression d'un moment qui dure des heures, et soudain, l'éclair d'un coup de feu par le trou dans la porte. Émilie lâche son arme et s'écroule, le genou explosé.
Puis la porte s'ouvre et un homme sort de l'ombre, tenant à la main un colt 1911 dont le canon fume encore.
Tu nous a trahis, Émilie !
Comme dans le rêve de sa fille, Agnès voit Richard Granvelle s'avancer dans la salle de classe, l'arme au poing, l'air menaçant, alors que tout le monde fuit dans la panique. C'est ce souvenir qui restera gravé dans sa mémoire.