04-09-2012, 03:11 PM
Silver/40some
Si tant est qu'ils se dirigent vers la source du bruit, Jeanne et Casimir peuvent voir deux hommes qui aident des gens en panique à sortir de la salle de sieste par la fenêtre. Ils ont commencé par extraire les enfants, qui pleurent tant qu'ils peuvent.
Quelque chose dans la salle accélère manifestement le mouvement, et les enfants sont presque jeté au loin. L'un des hommes leur demande de fuir pendant qu'il s'occupe de tirer une femme avec le bras en écharpe qui hurle comme une hystérique.
Visiblement poussé par ceux de la salle, tout ce monde s’aplatit sur le sol. Les hommes restent pour aider les adultes à se relever, tandis que des enfants, abandonné à eux même, fuient en pyjama au cœur d'une nuit d'hiver.
Beretta/Galila
La porte n'est pas fermée. Manque de présence d'esprit probablement. Orianne constate que l’agresseur est à terre. Il s'agit d’Émilie Crèvecoeur. Une marre de sang sous la jambe droite attestant que c'est le genou qui a littéralement explosé. Cela ne présage rien de bon.
Orianne s'avance, provoquant la fuite de la jeune fille appelé Corina, ainsi que de la femme d'âge mure, ces dernières semblaient s'intéresser au sort de l'institutrice et l'une d'elles avait sorti un portable dans le but probable d’appeler les secours.
L'entrée d'Orianne achève de paniquer les fuyards de la fenêtre, qui, oubliant le soin réservé aux enfants, se précipitent tous, achevant leur sortie dans un bruit de chute. Certains seront probablement blessés par les bris de verre, il faut espérer qu'ils auront la présence d'esprit de ne pas piétiner les enfants.
Si tant est qu'ils se dirigent vers la source du bruit, Jeanne et Casimir peuvent voir deux hommes qui aident des gens en panique à sortir de la salle de sieste par la fenêtre. Ils ont commencé par extraire les enfants, qui pleurent tant qu'ils peuvent.
Quelque chose dans la salle accélère manifestement le mouvement, et les enfants sont presque jeté au loin. L'un des hommes leur demande de fuir pendant qu'il s'occupe de tirer une femme avec le bras en écharpe qui hurle comme une hystérique.
Visiblement poussé par ceux de la salle, tout ce monde s’aplatit sur le sol. Les hommes restent pour aider les adultes à se relever, tandis que des enfants, abandonné à eux même, fuient en pyjama au cœur d'une nuit d'hiver.
Beretta/Galila
La porte n'est pas fermée. Manque de présence d'esprit probablement. Orianne constate que l’agresseur est à terre. Il s'agit d’Émilie Crèvecoeur. Une marre de sang sous la jambe droite attestant que c'est le genou qui a littéralement explosé. Cela ne présage rien de bon.
Orianne s'avance, provoquant la fuite de la jeune fille appelé Corina, ainsi que de la femme d'âge mure, ces dernières semblaient s'intéresser au sort de l'institutrice et l'une d'elles avait sorti un portable dans le but probable d’appeler les secours.
L'entrée d'Orianne achève de paniquer les fuyards de la fenêtre, qui, oubliant le soin réservé aux enfants, se précipitent tous, achevant leur sortie dans un bruit de chute. Certains seront probablement blessés par les bris de verre, il faut espérer qu'ils auront la présence d'esprit de ne pas piétiner les enfants.