Galila qui arrivait pour rentrer chez lui et s'apprêtait à faire un commentaire est bien obligé de s'arrêter, manquant se trouver avec la porte sur le nez. Il utilise son pass, referme derrière lui et dévisage les présents, surtout Beretta. Ses cheveux sont nattés sans ornements. Seule une rose blanche est visible à la pochette de sa chemise. Il y a de forte chance que personne ne soit surpris de le voir arriver : une odeur fraîche rappelant les chewing-gums Hollywood l'a devancé.
- L'essentiel n'est pas de savoir si vous aimez beaucoup de gens, Beretta. Vous n'êtes pas réellement une Ange solitaire, sinon vous ne seriez pas ici. Rien ne change...
S'avançant vers l'Amie de Dominique, l'Ange à la peau maintenant verte la regarde avec un sourire quelque peu amusé.
- Les choses, les gens changent. Mais il ne faut pas particulièrement s'attendre à des changements radicaux du jour au lendemain. Alors ainsi, seriez-vous une impatiente ? fait-il en se penchant un peu vers sa collègue avant de continuer plus bas. Ou bien serait-ce que vous avez besoin de ne plus être seule ?
Si Beretta se laisse faire, Galila effleure sa joue du dos de l'index, dans un geste assez doux.
- L'essentiel n'est pas de savoir si vous aimez beaucoup de gens, Beretta. Vous n'êtes pas réellement une Ange solitaire, sinon vous ne seriez pas ici. Rien ne change...
S'avançant vers l'Amie de Dominique, l'Ange à la peau maintenant verte la regarde avec un sourire quelque peu amusé.
- Les choses, les gens changent. Mais il ne faut pas particulièrement s'attendre à des changements radicaux du jour au lendemain. Alors ainsi, seriez-vous une impatiente ? fait-il en se penchant un peu vers sa collègue avant de continuer plus bas. Ou bien serait-ce que vous avez besoin de ne plus être seule ?
Si Beretta se laisse faire, Galila effleure sa joue du dos de l'index, dans un geste assez doux.