01-23-2012, 08:34 PM
Plastique chuchote alors, docile, mais en même temps il bouscule les mots en voulant parler trop vite. Apparemment il a beaucoup à dire et pas le temps de respirer.
La porte-fenêtre au rez-de-chaussée. J'ai sauté au travers. Pas le choix. Arrivé dans un cagibis (le transfo). Enorme pression mentale, comme si on te chatouillait le crane, mais de l'intérieur de la tête. Puis j'ai fait de la lumière... En quelque sorte, parce qu'en fait j'ai tout fait sauter, superbes étincelles, tout a fondu, mais bref, c'est pas le sujet. Et alors c'est là que je les ai vu. Les yeux. Des dizaines. Sur le mur. Et la pression mentale qui s'accentuait. Ma tête allait éclater. J'avais pas le choix. J'ai couru. A l'extérieur, la pression a tout de suite diminué. Mais y'a un type qui m'a suivi, sauf qu'il ne m'a pas vu dans le noir. C'est le chef apparemment.
Il s'arrête pour prendre une grande goulée d'air avant de finir dans un souffle :
IL AVAIT UNE ARMURE CORPORELLE EN PIERRE !
La porte-fenêtre au rez-de-chaussée. J'ai sauté au travers. Pas le choix. Arrivé dans un cagibis (le transfo). Enorme pression mentale, comme si on te chatouillait le crane, mais de l'intérieur de la tête. Puis j'ai fait de la lumière... En quelque sorte, parce qu'en fait j'ai tout fait sauter, superbes étincelles, tout a fondu, mais bref, c'est pas le sujet. Et alors c'est là que je les ai vu. Les yeux. Des dizaines. Sur le mur. Et la pression mentale qui s'accentuait. Ma tête allait éclater. J'avais pas le choix. J'ai couru. A l'extérieur, la pression a tout de suite diminué. Mais y'a un type qui m'a suivi, sauf qu'il ne m'a pas vu dans le noir. C'est le chef apparemment.
Il s'arrête pour prendre une grande goulée d'air avant de finir dans un souffle :
IL AVAIT UNE ARMURE CORPORELLE EN PIERRE !