11-29-2011, 01:11 AM
Le sourire du Novalis s'évanouit. Il range ses lunettes qu'il tenait toujours en main dans la poche de sa chemise et regarde bien en face le Démon qui l'ignore. Pour ceux qui seraient devant lui, les éclats de ses iris rappellent le diamant qui renvoie de toutes ses facettes la lumière qui le touche.
- Bien. Enfin non, c'est stupide. De toute façon, si les négociations se font avec votre Capitaine, je ne serai pas l'interlocuteur. Je ne la connais même pas. Quoique... elle m'a parfois l'air plus sensée que d'autres. Parfois.
Se tournant vers Shagshog, Galila hausse les sourcils.
- Mais bien sûr. Un silence. Ce n'est pas parce que vous abhorrez la politique qu'elle ne sert à rien. Avec ça, on bâtit des empires. Avec ça, on manipule des foules. L'affaire Marcus était au vu et au su de tous les alignés. Les politiciens, Shagshog, sont fourbes et insidieux, non ? Alors pourquoi ne voyez-vous pas l'évidence ? S'ils manipulent les humains en nous enlevant la possibilité de faire de même, comment allez-vous faire ? Vous voulez détruire les marionnettes sans chercher à voir qui tient les fils mais ils n'auront qu'à les remplacer par d'autres marionnettes et nous finirons par perdre tout contrôle. Vous n'en avez pas soupé vous-même de servir de pion ?
Puis en revenant vers Victorious :
- Vous, cela vous avancera à quoi de sauver la face maintenant si c'est pour tout perdre après ? Vous partez, vous n'aurez pas vos informations, nous n'avancerons pas parce que contrairement à ce que dit mon supérieur, si nous étions capable de faire comme vous, nous l'aurions déjà fait depuis longtemps. Et de votre côté, vous devez aussi être bloqués sinon vous n'auriez pas demandé un échange d'informations.
Un autre regard perçant et un début de sourire.
- Dans ce genre de cas, la faiblesse n'est que celle qu'on concède. Partez, vous serez le perdant, l'humilié qui sauve les meubles. Restez et prouvez que votre but et plus important que votre éclat. Retournez les avantages, séduisez, bon sang, Andréalphus de pacotille !
- Bien. Enfin non, c'est stupide. De toute façon, si les négociations se font avec votre Capitaine, je ne serai pas l'interlocuteur. Je ne la connais même pas. Quoique... elle m'a parfois l'air plus sensée que d'autres. Parfois.
Se tournant vers Shagshog, Galila hausse les sourcils.
- Mais bien sûr. Un silence. Ce n'est pas parce que vous abhorrez la politique qu'elle ne sert à rien. Avec ça, on bâtit des empires. Avec ça, on manipule des foules. L'affaire Marcus était au vu et au su de tous les alignés. Les politiciens, Shagshog, sont fourbes et insidieux, non ? Alors pourquoi ne voyez-vous pas l'évidence ? S'ils manipulent les humains en nous enlevant la possibilité de faire de même, comment allez-vous faire ? Vous voulez détruire les marionnettes sans chercher à voir qui tient les fils mais ils n'auront qu'à les remplacer par d'autres marionnettes et nous finirons par perdre tout contrôle. Vous n'en avez pas soupé vous-même de servir de pion ?
Puis en revenant vers Victorious :
- Vous, cela vous avancera à quoi de sauver la face maintenant si c'est pour tout perdre après ? Vous partez, vous n'aurez pas vos informations, nous n'avancerons pas parce que contrairement à ce que dit mon supérieur, si nous étions capable de faire comme vous, nous l'aurions déjà fait depuis longtemps. Et de votre côté, vous devez aussi être bloqués sinon vous n'auriez pas demandé un échange d'informations.
Un autre regard perçant et un début de sourire.
- Dans ce genre de cas, la faiblesse n'est que celle qu'on concède. Partez, vous serez le perdant, l'humilié qui sauve les meubles. Restez et prouvez que votre but et plus important que votre éclat. Retournez les avantages, séduisez, bon sang, Andréalphus de pacotille !