09-01-2011, 01:30 PM
(This post was last modified: 09-01-2011, 01:38 PM by Victorious.)
Massange sourit à l’appellation de Granvelle, quoique la boutade ne soit sans doute pas amicale. Il toussote un peu, desserre un peu sa cravate, puis:
D'abord je voudrais faire une petite remarque sans doute un peu méchante.
Il fait un geste de l'index et du pouce, fermant un œil comme pour observer quelque chose de tout petit et d'invisible coincé dans l'espace entre les deux doigts.
Je trouve un peu malhonnête que la personne même qui cherche à m'évincer de cette réunion, qui supporte si peu ma vue qu'elle tourne le dos à l'assistance, soit aussi celle qui souhaite mettre un terme à nos liens avec la mairie. J'en conclue qu'au moins Madame Delafaille ne souhaitais pas nous voir nous défendre.
Quoique ce soit Natalie qui soit nommé, c'est bien Granvelle que Massange observe, comme si le reproche lui était adressé. Pour sa défense, difficile d'adresser un reproche à un dos. Il finit quand même par s'adresser au dit dos d'un ton plutôt doux, presque suppliant:
Madame Delafaille, vous ne vous rendez pas service par ce comportement. Essayons de nous comporter en adulte, je vous en prie.
Puis, sans attendre de réaction, il poursuit à l'attention du Maire:
Ceci dit, je vais être clair, Monsieur Granvelle: nous n'avons aucune matière à rédiger un rapport. Tous les bénévoles qui composent notre organisation ont une activité professionnelle, un peu comme ce conseil d'ailleurs. Sauf que nous n'avons pas une ville à charge. Nous distribuons des prospectus et tenons les gens informer. Point.
Au contraire de ma collègue de St Georges, nous n'avons pas de local à protéger. Nous nous réunissons chez nous autours d'un café. Nos tract sont imprimés par nos propres ordinateurs, et des donations privé du monde du sport, du show business, et de la politique, étrangère à celle d'Immac je vous rassure, nous permettent de faire vivre nos finances. Nous ne coutons tout simplement rien.
Lentement, le regard de "Monsieur PSI" c'est déplacé de Granvelle à Kernel au fur et à mesure que le problème financier à été abordé. Puis Massange change de registre dirigeant son regard vers l'institutrice.
Là ou nous avons besoin de la Mairie, c'est pour le support de l'information. Le panneau d'affichage que vous nous offrez permet une certaine respectabilité à nos propos, et c'est la raison pour la peine je suis particulièrement touché par les propos de Mademoiselle Crèvecoeur. Nous pourrions tenter de corrigé cela, mais je pense que notre cas est déjà jugé.
A un niveau national, des organisations telle qu'Act'up se sont permis des opérations coup de poing bien plus notable que des propos ambiguë... J'aimerais assez que Mademoiselle Crèvecoeur m'explique ou elle a été saisit par ce double langage, pour ma gouverne personnelle.
A nouveau à l’ensemble de l'assemblée.
Nous ne pouvons pas vous empêcher de couper les ponts Messieurs Dame. Il vas sans dire qu'à l'air d'internet et des blogs ce n'est pas si handicapant. Nous n'auront plus besoin de nous présenter sous l'étiquette du PSI qui nous vaut ces crises gênantes, dont j'ignore l'origine.
Temps d'arrêt sur le dos durant cette phrase...
...Et nous ne risquons pas de changer de langage en vérité. Maintenant, j'aimerais touché un mot à ma collègue de St Georges:
Madame, votre organisation existe depuis trois ans sans que la Mairie n'y trouve rien à redire. Comme notre ancienne présidente l'as fait savoir devant M. Hulstein, la mairie à également un devoir de suivis actif au moins trimestriel, au travers de la commission de suivi des associations de bien public, tel que l'exprime le formulaire 145858 que vous avez du signer. Vous avez plus à perdre que nous, je vous encourage à songer à un recours.
A la fin du discoure, le trentenaire cligne une ou deux fois des yeux.
Et puis... voila!
Il se rassoit alors lourdement, comme s'il n'attendais pas de réponse.
D'abord je voudrais faire une petite remarque sans doute un peu méchante.
Il fait un geste de l'index et du pouce, fermant un œil comme pour observer quelque chose de tout petit et d'invisible coincé dans l'espace entre les deux doigts.
Je trouve un peu malhonnête que la personne même qui cherche à m'évincer de cette réunion, qui supporte si peu ma vue qu'elle tourne le dos à l'assistance, soit aussi celle qui souhaite mettre un terme à nos liens avec la mairie. J'en conclue qu'au moins Madame Delafaille ne souhaitais pas nous voir nous défendre.
Quoique ce soit Natalie qui soit nommé, c'est bien Granvelle que Massange observe, comme si le reproche lui était adressé. Pour sa défense, difficile d'adresser un reproche à un dos. Il finit quand même par s'adresser au dit dos d'un ton plutôt doux, presque suppliant:
Madame Delafaille, vous ne vous rendez pas service par ce comportement. Essayons de nous comporter en adulte, je vous en prie.
Puis, sans attendre de réaction, il poursuit à l'attention du Maire:
Ceci dit, je vais être clair, Monsieur Granvelle: nous n'avons aucune matière à rédiger un rapport. Tous les bénévoles qui composent notre organisation ont une activité professionnelle, un peu comme ce conseil d'ailleurs. Sauf que nous n'avons pas une ville à charge. Nous distribuons des prospectus et tenons les gens informer. Point.
Au contraire de ma collègue de St Georges, nous n'avons pas de local à protéger. Nous nous réunissons chez nous autours d'un café. Nos tract sont imprimés par nos propres ordinateurs, et des donations privé du monde du sport, du show business, et de la politique, étrangère à celle d'Immac je vous rassure, nous permettent de faire vivre nos finances. Nous ne coutons tout simplement rien.
Lentement, le regard de "Monsieur PSI" c'est déplacé de Granvelle à Kernel au fur et à mesure que le problème financier à été abordé. Puis Massange change de registre dirigeant son regard vers l'institutrice.
Là ou nous avons besoin de la Mairie, c'est pour le support de l'information. Le panneau d'affichage que vous nous offrez permet une certaine respectabilité à nos propos, et c'est la raison pour la peine je suis particulièrement touché par les propos de Mademoiselle Crèvecoeur. Nous pourrions tenter de corrigé cela, mais je pense que notre cas est déjà jugé.
A un niveau national, des organisations telle qu'Act'up se sont permis des opérations coup de poing bien plus notable que des propos ambiguë... J'aimerais assez que Mademoiselle Crèvecoeur m'explique ou elle a été saisit par ce double langage, pour ma gouverne personnelle.
A nouveau à l’ensemble de l'assemblée.
Nous ne pouvons pas vous empêcher de couper les ponts Messieurs Dame. Il vas sans dire qu'à l'air d'internet et des blogs ce n'est pas si handicapant. Nous n'auront plus besoin de nous présenter sous l'étiquette du PSI qui nous vaut ces crises gênantes, dont j'ignore l'origine.
Temps d'arrêt sur le dos durant cette phrase...
...Et nous ne risquons pas de changer de langage en vérité. Maintenant, j'aimerais touché un mot à ma collègue de St Georges:
Madame, votre organisation existe depuis trois ans sans que la Mairie n'y trouve rien à redire. Comme notre ancienne présidente l'as fait savoir devant M. Hulstein, la mairie à également un devoir de suivis actif au moins trimestriel, au travers de la commission de suivi des associations de bien public, tel que l'exprime le formulaire 145858 que vous avez du signer. Vous avez plus à perdre que nous, je vous encourage à songer à un recours.
A la fin du discoure, le trentenaire cligne une ou deux fois des yeux.
Et puis... voila!
Il se rassoit alors lourdement, comme s'il n'attendais pas de réponse.