08-09-2011, 04:23 PM
A cause de la convocation de Monsieur Hulstein justement. Il nous as mit en garde, et nous as demander la rédaction d'un rapport avant septembre afin de justifier la pérennité des liens qui nous unissent à la municipalité.
A l'époque, j’espérais surtout ménager d'éventuel future subvention, mais surtout conserver un espace de communication, qui me semble assez important.
Vous devez comprendre que le partage de l'information est primordiale pour nous. Même si j'ai annoncé à Monsieur Hulstein l'obtention éventuel d'un local afin d'assurer une meilleures efficacité, il ne nous est en aucun cas aussi indispensable que pour St Georges.
Par contre, la diffusion de l'information sur les problèmes de santé auprès des populations à risque, ou susceptible de le devenir, me semble important.
Temps de réflexion, la personne semble chercher ses mots.
Écoutez, Monsieur le Maire à prit sur lui de convoquer les membres de deux associations dans son bureau. Il est logique de penser que leur problème doit être commun, non? Et qu'il y a bien un problème, n'est ce pas? Monsieur Hulstein se décrit comme notre seule soutient au conseil. Je ne suis pas si naïve, ce peut être une déformation de sa part pour nous acquérir à sa cause. Mais n'empêche qu'une fois qu'il est hors circuit, on sort au nom du Conseil un discoure que j'estime des plus inquiétant.
Ajouté au fait que cette affirmation de continuation de la politique du maire, me semble au mieux abusive... Au pire, malhonnête, et je décide de prendre les devants. D’où mon appel.
Maintenant, peut être que Monsieur Hulstein à convoqué plus tard dans la journée le club de ping pong. Peut être qu'il ne pouvais accueillir que deux personnes dans son bureau. Mais croyez bien qu'il n'étais pas si rassurant que ça... Il s'est dit de plus en plus isolé au conseil. Mademoiselle Haillot, représentante de St Georges, à même demander s'il y avait eut de nouvelles élections. Évidemment que non, on aurais remarqué.
Rire forcé... Apparemment l'interlocutrice a tenter de faire de l'humour. Sans doute plus pour se rassurer que pour plaire à sa correspondante.
Je ne sait pas ce qui se passe. Je suis une bénévole, pas une politicienne. Mais on ne se laisseras pas faire, si on tente de restreindre notre champs d'action, pourtant pas si important que cela, nous tâcherons de nous défendre. Bon sang, tout ce que nous faisons, c'est distribuer des prospectus... Qu'est ce qui les effraye donc?
A l'époque, j’espérais surtout ménager d'éventuel future subvention, mais surtout conserver un espace de communication, qui me semble assez important.
Vous devez comprendre que le partage de l'information est primordiale pour nous. Même si j'ai annoncé à Monsieur Hulstein l'obtention éventuel d'un local afin d'assurer une meilleures efficacité, il ne nous est en aucun cas aussi indispensable que pour St Georges.
Par contre, la diffusion de l'information sur les problèmes de santé auprès des populations à risque, ou susceptible de le devenir, me semble important.
Temps de réflexion, la personne semble chercher ses mots.
Écoutez, Monsieur le Maire à prit sur lui de convoquer les membres de deux associations dans son bureau. Il est logique de penser que leur problème doit être commun, non? Et qu'il y a bien un problème, n'est ce pas? Monsieur Hulstein se décrit comme notre seule soutient au conseil. Je ne suis pas si naïve, ce peut être une déformation de sa part pour nous acquérir à sa cause. Mais n'empêche qu'une fois qu'il est hors circuit, on sort au nom du Conseil un discoure que j'estime des plus inquiétant.
Ajouté au fait que cette affirmation de continuation de la politique du maire, me semble au mieux abusive... Au pire, malhonnête, et je décide de prendre les devants. D’où mon appel.
Maintenant, peut être que Monsieur Hulstein à convoqué plus tard dans la journée le club de ping pong. Peut être qu'il ne pouvais accueillir que deux personnes dans son bureau. Mais croyez bien qu'il n'étais pas si rassurant que ça... Il s'est dit de plus en plus isolé au conseil. Mademoiselle Haillot, représentante de St Georges, à même demander s'il y avait eut de nouvelles élections. Évidemment que non, on aurais remarqué.
Rire forcé... Apparemment l'interlocutrice a tenter de faire de l'humour. Sans doute plus pour se rassurer que pour plaire à sa correspondante.
Je ne sait pas ce qui se passe. Je suis une bénévole, pas une politicienne. Mais on ne se laisseras pas faire, si on tente de restreindre notre champs d'action, pourtant pas si important que cela, nous tâcherons de nous défendre. Bon sang, tout ce que nous faisons, c'est distribuer des prospectus... Qu'est ce qui les effraye donc?