05-08-2011, 09:57 AM
Je suis tombé dessus sur une chaîne dédié aux enfants, et je doit reconnaitre qu'à cause du sujet, je me suis laissé allé à regarder deux ou trois épisodes.
J'aurais zappé sans vergogne sans ins/mv parce que de prime abord ca ressemble à Wingz, une série immonde qui fait l'apologie de la poufiasse. Les héroïne y sont des fées fort peu vêtu, a grand renfort de païllette sur le peu d'étoffe qu'elles ont.
Pourtant de mon point de vue, Angel's friend vaut un peu plus, quoique l'idée d'être surnaturelle gnangnan soit reprise (les anges sont presque toutes des angèles)
Démons et anges cohabitent, et parlent "boulot" à la cantine. Ambiance très Beau bar... Y a tout un côté Grand Jeu que les deux camps s'attachent à respecter. Clairement, les démons sont des antagonistes, mais pas des méchants. En fait, le scénariste s'est visiblement efforcé de les rendre aussi interressant que les héroïnes angéliques.
Un ensemble de règle régit la vie de ce petit monde. Par exemple, le véto, qui interdit de toucher un membre du camp opposé sous forme surnaturelle. (ces créatures ont la possibilités de se transformer en humains pour interagire avec leurs protégés), l'impossibilité d'imposer une décision aux humains par la force...
Les profs des loustiques n'hésitent pas à à collaborer pour le maintien de ces règles, quoiqu'ils soient tout aussi démoniaque et angéliques que leur élèves
La vraie "méchante" est une femme aux allures d'araignée qui trame je ne sait quel plan étrange pour pousser l'héroïne et le chef des démons a s'embrasser. Je suppose que ca la libereras. Je devine qu'à la fin ils s'alliront probeblement pour renvoyer cette entité d'ou elle vient.
Je n'aime pas le manichéisme, et là je doit reconnaitre qu'il n'y en as pas vraiment (enfin, si, vu qu'il y a une vrais méchante). Par exemple, à un moment, une démone sociale et une ange du même accabit s'affronte dans un défilé de mode (ouais, c'est gniangnian). La démone l'emporte, une ange s'énerve contre cette victoire. L'héroïne lui dit qu'elle aime bien la robe de la démone, lui reconnaissant de l'originalité. C'est le genre de petite remarque dans les oeuvres dédiés aux enfants que j'apprécit. C'est pas parce qu'on sert le mauvais camp qu'on est mauvais en tout.
Lorsque le véto commence à être transgressé, l'attitude des protagoniste change un peu. L'héroïne se laisse emporter par la colère à différente reprise et développe un pouvoir destructeur, et le démon se met à parler des élans de son coeur et développe la capacité de guérire.
J'aurais zappé sans vergogne sans ins/mv parce que de prime abord ca ressemble à Wingz, une série immonde qui fait l'apologie de la poufiasse. Les héroïne y sont des fées fort peu vêtu, a grand renfort de païllette sur le peu d'étoffe qu'elles ont.
Pourtant de mon point de vue, Angel's friend vaut un peu plus, quoique l'idée d'être surnaturelle gnangnan soit reprise (les anges sont presque toutes des angèles)
Démons et anges cohabitent, et parlent "boulot" à la cantine. Ambiance très Beau bar... Y a tout un côté Grand Jeu que les deux camps s'attachent à respecter. Clairement, les démons sont des antagonistes, mais pas des méchants. En fait, le scénariste s'est visiblement efforcé de les rendre aussi interressant que les héroïnes angéliques.
Un ensemble de règle régit la vie de ce petit monde. Par exemple, le véto, qui interdit de toucher un membre du camp opposé sous forme surnaturelle. (ces créatures ont la possibilités de se transformer en humains pour interagire avec leurs protégés), l'impossibilité d'imposer une décision aux humains par la force...
Les profs des loustiques n'hésitent pas à à collaborer pour le maintien de ces règles, quoiqu'ils soient tout aussi démoniaque et angéliques que leur élèves
La vraie "méchante" est une femme aux allures d'araignée qui trame je ne sait quel plan étrange pour pousser l'héroïne et le chef des démons a s'embrasser. Je suppose que ca la libereras. Je devine qu'à la fin ils s'alliront probeblement pour renvoyer cette entité d'ou elle vient.
Je n'aime pas le manichéisme, et là je doit reconnaitre qu'il n'y en as pas vraiment (enfin, si, vu qu'il y a une vrais méchante). Par exemple, à un moment, une démone sociale et une ange du même accabit s'affronte dans un défilé de mode (ouais, c'est gniangnian). La démone l'emporte, une ange s'énerve contre cette victoire. L'héroïne lui dit qu'elle aime bien la robe de la démone, lui reconnaissant de l'originalité. C'est le genre de petite remarque dans les oeuvres dédiés aux enfants que j'apprécit. C'est pas parce qu'on sert le mauvais camp qu'on est mauvais en tout.
Lorsque le véto commence à être transgressé, l'attitude des protagoniste change un peu. L'héroïne se laisse emporter par la colère à différente reprise et développe un pouvoir destructeur, et le démon se met à parler des élans de son coeur et développe la capacité de guérire.