... Rascar amené de force par son père dans le clan Va'i Mata. L'inquiétude et l'incompréhension sur son visage. la peur dans le fond de son âme. ils se rapprochent des hurlements. Ceux de Sonka. Son amour, sa faiblesse. Que se passait il ? Quel était la source de tant de turpitudes ?
Son père le poussa dans la hutte de fortune et il vit sa bien aimé, couché sur le dos, les jambes écartées, deux femmes du clan Va'i Mata s'occupant d'elle.
Un cri final de libération et les sages femmes prenant quelque chose à la dérobé. De petits bruits s'échappent d'une couverture qu'elles portent hors de sa vue. Il est expulsé de la hutte, mis a l'écart par deux solides guerriers et emmené.
Son père et celui de Sonka, tout deux chef de clan, emmènent l'enfant loin, vers une mort certaine ... Tel était le cauchemar de Rascar et ainsi c'étaient déroulés les évènements qui découlèrent de son idylle avec Sonka. Son amour condamné par le ancêtres. Chaque nuit de sa vie d'ermite étaient peuplé par ce rêve, ce cauchemars qui lui rappelait sa faute condamné par l'esprit des anciens et son bannissement.
Les lunes passent, les saisons s'enchainent. Combien de temps depuis sa solitude ? plusieurs lunes. Deux centaines, un peu plus. Il avait cessé de compter.
Sa haine n'avait fait que grandir et l'idée de la vie qu'il aurai put avoir aussi. Celle auprès de Sonka et de leur enfant. Une fille, un fils, jamais il ne le saurait et jamais il n'aurait cette vie, ce bonheur.
Il avait observé les pécheurs au large. Peut être le fils se Sonka en faisait il partie. Le fils qu'il aurait dut avoir, qu'il avait eut, avec elle serait là. Si les anciens, ces hypothétiques déités, ce leurre pour les faibles esprits qu'était son peuple, n'en avaient pas décidé autrement.
Il se réveillât en sursaut. Les cris de son enfant résonnant encore dans sa tète. Rascar serrait dans ses bras la tablette représentant son seul trésors et pour lui, la seule chose importante dans sa misérable vie. Machinalement, il se mit a trembler et à psalmodier des phrases incompréhensible pour le commun des mortel. Des mots qu'il avait apprit instinctivement en regardant et en étudiant la tablette.
« Iä, Iä, Cthulhu fhtagn ! Ph'nglui mglw'nafh Ramasekva R'lyeh wgah'nagl fhtagn ! Ph'nglui mglw'nafh Ramasekva R'lyeh wgah'nagl fhtagn ! Iä, Iä, Cthulhu fhtagn ! »
Âpres plusieurs heures à psalmodier en une transe interminable, il se rendormit.
Ses rêves ne furent pas, pour une foi, peuplé du meurtre de sa descendance mais d'une créature immonde, tentaculaire et visqueuse qui se pencha sur sur lui et l'observai de ses yeux noirs emplis d'une lueur qui symbolisait sa vengeance ... et le mal qu'on lui avait fait. L'esprit des ancien était avec lui.
Son père le poussa dans la hutte de fortune et il vit sa bien aimé, couché sur le dos, les jambes écartées, deux femmes du clan Va'i Mata s'occupant d'elle.
Un cri final de libération et les sages femmes prenant quelque chose à la dérobé. De petits bruits s'échappent d'une couverture qu'elles portent hors de sa vue. Il est expulsé de la hutte, mis a l'écart par deux solides guerriers et emmené.
Son père et celui de Sonka, tout deux chef de clan, emmènent l'enfant loin, vers une mort certaine ... Tel était le cauchemar de Rascar et ainsi c'étaient déroulés les évènements qui découlèrent de son idylle avec Sonka. Son amour condamné par le ancêtres. Chaque nuit de sa vie d'ermite étaient peuplé par ce rêve, ce cauchemars qui lui rappelait sa faute condamné par l'esprit des anciens et son bannissement.
Les lunes passent, les saisons s'enchainent. Combien de temps depuis sa solitude ? plusieurs lunes. Deux centaines, un peu plus. Il avait cessé de compter.
Sa haine n'avait fait que grandir et l'idée de la vie qu'il aurai put avoir aussi. Celle auprès de Sonka et de leur enfant. Une fille, un fils, jamais il ne le saurait et jamais il n'aurait cette vie, ce bonheur.
Il avait observé les pécheurs au large. Peut être le fils se Sonka en faisait il partie. Le fils qu'il aurait dut avoir, qu'il avait eut, avec elle serait là. Si les anciens, ces hypothétiques déités, ce leurre pour les faibles esprits qu'était son peuple, n'en avaient pas décidé autrement.
Il se réveillât en sursaut. Les cris de son enfant résonnant encore dans sa tète. Rascar serrait dans ses bras la tablette représentant son seul trésors et pour lui, la seule chose importante dans sa misérable vie. Machinalement, il se mit a trembler et à psalmodier des phrases incompréhensible pour le commun des mortel. Des mots qu'il avait apprit instinctivement en regardant et en étudiant la tablette.
« Iä, Iä, Cthulhu fhtagn ! Ph'nglui mglw'nafh Ramasekva R'lyeh wgah'nagl fhtagn ! Ph'nglui mglw'nafh Ramasekva R'lyeh wgah'nagl fhtagn ! Iä, Iä, Cthulhu fhtagn ! »
Âpres plusieurs heures à psalmodier en une transe interminable, il se rendormit.
Ses rêves ne furent pas, pour une foi, peuplé du meurtre de sa descendance mais d'une créature immonde, tentaculaire et visqueuse qui se pencha sur sur lui et l'observai de ses yeux noirs emplis d'une lueur qui symbolisait sa vengeance ... et le mal qu'on lui avait fait. L'esprit des ancien était avec lui.