12-03-2010, 09:59 AM
Héphaïstos fait silence quelques secondes, et finalement reprend la parole :
"Je dois avouer que je suis toujours impressionnée des détails dont vous vous évertuez à décorer vos rêves, Marcus."
La voix du Bélial a sensiblement changé. Elle est devenue féminine, douce et mélodieuse... et presque piquante.
Un timbre de voix qui appelle peut-être certains souvenirs enfouis à revenir à la surface.
Le Chevalier continue de parler :
"Je suis heureuse de constater que vous n'avez rien perdu de vos capacités artistiques ; et que vous n'avez pas oublié non plus certains de mes conseils...
Cela m'aurait demandé un peu plus de temps, je l'avoue, pour pouvoir copier à l'identique votre rêve. Et du temps, malheureusement, je n'en avais guère... Aussi je suis navrée d'avoir dû bâcler certains détails pour que cette bulle soit prête à temps..."
De derrière Héphaïstos émerge une femme à l'allure majestueuse... comme si elle avait été là depuis le départ, mais cachée par le forgeron. La Baronne a son apparence habituelle, il est inutile d'employer de faux-semblants, après tout.
Elle fait deux pas en avant et se tourne vers "Le Rêve". C'est elle qui parle désormais, toujours sur le même ton :
"Mais il semblerait que cela ait été suffisant, n'est-ce pas ?
Je vous souhaite la bienvenue, Marcus..."
Les mains jointes sous son hōmongi, elle continue de le regarder, sans esquisser le moindre signe de salutation, quel qu'il soit.
"Je dois avouer que je suis toujours impressionnée des détails dont vous vous évertuez à décorer vos rêves, Marcus."
La voix du Bélial a sensiblement changé. Elle est devenue féminine, douce et mélodieuse... et presque piquante.
Un timbre de voix qui appelle peut-être certains souvenirs enfouis à revenir à la surface.
Le Chevalier continue de parler :
"Je suis heureuse de constater que vous n'avez rien perdu de vos capacités artistiques ; et que vous n'avez pas oublié non plus certains de mes conseils...
Cela m'aurait demandé un peu plus de temps, je l'avoue, pour pouvoir copier à l'identique votre rêve. Et du temps, malheureusement, je n'en avais guère... Aussi je suis navrée d'avoir dû bâcler certains détails pour que cette bulle soit prête à temps..."
De derrière Héphaïstos émerge une femme à l'allure majestueuse... comme si elle avait été là depuis le départ, mais cachée par le forgeron. La Baronne a son apparence habituelle, il est inutile d'employer de faux-semblants, après tout.
Elle fait deux pas en avant et se tourne vers "Le Rêve". C'est elle qui parle désormais, toujours sur le même ton :
"Mais il semblerait que cela ait été suffisant, n'est-ce pas ?
Je vous souhaite la bienvenue, Marcus..."
Les mains jointes sous son hōmongi, elle continue de le regarder, sans esquisser le moindre signe de salutation, quel qu'il soit.