11-19-2010, 12:48 PM
Le chevalier prend la direction de la porte.
le sable sous ses pieds craquelle et crisse.
il se prépare au combat, que celui ci soit une joute intellectuelle ou l'expression plus physique d'un antagonisme.
l'objectif est de ne pas se laisser surprendre...
il se concentre en marchant, portant sa volonté et ses perception à des niveaux inconcevables pour un humain normal.
s'approchant de la porte et de l'arche qui la soutien, le démon ne peut s'empêcher d'observer la minutie du travail du ou des sculpteur.
Déformation professionnelle, son attention se report rapidement sur le formidable travail des pentures qui soutiennent les battants de la porte.
Il marche un temps qui lui semble long, tandis que la porte se rapprochant de lui il en perçoit la démesure surnaturelle
les portes de Hadès ?
une pensée qui lui fait couler une sueur froide dans le dos, et il ne peut s'empêcher de chercher au frontispice de la porte la phrase célèbre rapportée par Dante Alighieri dans son œuvre la plus connue
Il entre enfin, non sans se préparer à quelque surprise, sa canne a la main et son armure de flamme autour de lui.
Il semble chercher des yeux celui dont il a entendu la voix
faisant preuve d'un aplomb qu'il est loin d'avoir, il hurle haut et fort -ou au moins essaye t il de s'en convaincre :
Me voici!
le sable sous ses pieds craquelle et crisse.
il se prépare au combat, que celui ci soit une joute intellectuelle ou l'expression plus physique d'un antagonisme.
l'objectif est de ne pas se laisser surprendre...
il se concentre en marchant, portant sa volonté et ses perception à des niveaux inconcevables pour un humain normal.
s'approchant de la porte et de l'arche qui la soutien, le démon ne peut s'empêcher d'observer la minutie du travail du ou des sculpteur.
Déformation professionnelle, son attention se report rapidement sur le formidable travail des pentures qui soutiennent les battants de la porte.
Il marche un temps qui lui semble long, tandis que la porte se rapprochant de lui il en perçoit la démesure surnaturelle
les portes de Hadès ?
une pensée qui lui fait couler une sueur froide dans le dos, et il ne peut s'empêcher de chercher au frontispice de la porte la phrase célèbre rapportée par Dante Alighieri dans son œuvre la plus connue
Il entre enfin, non sans se préparer à quelque surprise, sa canne a la main et son armure de flamme autour de lui.
Il semble chercher des yeux celui dont il a entendu la voix
faisant preuve d'un aplomb qu'il est loin d'avoir, il hurle haut et fort -ou au moins essaye t il de s'en convaincre :
Me voici!