11-14-2010, 09:31 AM
(This post was last modified: 11-14-2010, 09:41 AM by Victorious.)
Un son rauque... On ne dirait pas la voix de Victorious, mais un souffle improbable, comme si les cordes vocales du jeune Démon peinait à retrouver leurs formes originelles:
Kabo.
En un pas, l'andréalphus se trouve aux côté de son... collègue. Il pose une main amicale sur son épaule, la main droite, toujours blessée, toujours griffue. D'ailleurs lorsque la dextre se pose sur l'épaule de l'arlequin désormais sans costume, si j'ai bien suivi, les dites griffes se figent, sans mal pour quiconque, à leur tailles la plus importante. Une trace chaude et carmine, des plaies continuant à saigner, se répends sur l'épaule de Kabo attablé.
Quoique le touché puisse être désagréable, avec le sang et les griffe, aucune pression n'est à l'oeuvre, et Kabo peut se débarasser d'un geste de cette main intrusive...
Je veut te parler.
La voix est désormais normale. Un mélange d'exigeance et de douceur. Une tension contenue en arrière plan... Puis d'un coup, un geste presque inhumain, sans que les yeux du jeune démon ne cligne, peut être à la manière dont un oiseau se pencherais sur ce qui l'interresse, avec un étrange regard fixe et inexpressif, l'andréalphus murmure à l'oreille de son collègue:
Et c'est là que tu m'ignore, hein Mon Kabo? Ce serais drôle parce que nous savons tous les deux combien ca m'énerverais... Tu es encore drôle?
En parlant, Victorious à un sourire joyeux aux lèvre. Si ce n'était ce regard fixe, ses mains griffues et ses manières un peu trop intimiste on pourrais le trouver avenant et agréable.
Kabo.
En un pas, l'andréalphus se trouve aux côté de son... collègue. Il pose une main amicale sur son épaule, la main droite, toujours blessée, toujours griffue. D'ailleurs lorsque la dextre se pose sur l'épaule de l'arlequin désormais sans costume, si j'ai bien suivi, les dites griffes se figent, sans mal pour quiconque, à leur tailles la plus importante. Une trace chaude et carmine, des plaies continuant à saigner, se répends sur l'épaule de Kabo attablé.
Quoique le touché puisse être désagréable, avec le sang et les griffe, aucune pression n'est à l'oeuvre, et Kabo peut se débarasser d'un geste de cette main intrusive...
Je veut te parler.
La voix est désormais normale. Un mélange d'exigeance et de douceur. Une tension contenue en arrière plan... Puis d'un coup, un geste presque inhumain, sans que les yeux du jeune démon ne cligne, peut être à la manière dont un oiseau se pencherais sur ce qui l'interresse, avec un étrange regard fixe et inexpressif, l'andréalphus murmure à l'oreille de son collègue:
Et c'est là que tu m'ignore, hein Mon Kabo? Ce serais drôle parce que nous savons tous les deux combien ca m'énerverais... Tu es encore drôle?
En parlant, Victorious à un sourire joyeux aux lèvre. Si ce n'était ce regard fixe, ses mains griffues et ses manières un peu trop intimiste on pourrais le trouver avenant et agréable.