Au quatrième coup, Rascar perdit connaissance. La douleur subie avait déclenché un mécanisme de protection du corps humain, l'inconscience.
Son père l'avait fouetté aux sangs pour le punir. Le châtiment était disproportionné pour une faute peu grave.
Il était allé la revoir. Elle, l'amour de sa vie. Celle qui était dans tout ses rêves et toutes ses pensées. "Pour lui montrer ca !" avait il dit à son père en lui désignant la tablette gravé. Ce qui à eu comme effet de décupler son courroux, mais tout deux savaient pourquoi il était allé voir Sonka, la fille de Tun'ac, le chef du clan Va'i Mata.
Gonk'ahura, son père savait qu'il l'aimait et cela constituait une raison assez grande pour transgresser la loi des anciens qui la promettait à un autre. Lui, Rascar, savait que c'était par une irrépressible envie de la posséder, de la pénétrer.
Cette obsession le hantait. Faire l'amour à Sonka. Caresser ses formes et son intimité. Explorer les moindres recoins de son anatomie afin de la faire jouir de nouveau, mieux que la première foi. Celle où il l'avait engrossé.
Ce désir sexuel était apparu il y a quelques temps, la foi où il s'assomma sur la falaise et trouva la tablette.L'envie était tellement forte et irrépressible qu'il en était venu a se masturber plusieurs fois par jours. Toute la journée, la pensée de Sonka était pressente et son imagination ne lui suggérait que des idée lubriques.
A son réveil, il était de nouveau sur la plage. Son dos le faisait souffrir atrocement. Il était tailladé de quatre balafres que la baguette de son père avait laissé.
Il avait aussi un collier autour du coup. Celui du bannissement. Désormais, il ne devait jamais retourner dans aucun des neuf vai'hu (clans familiaux) de l'ile et vivra en ermite. Il fut empli de ce sentiment d'injustice que donne l'iniquité d'un tel jugement. Un sentiment de haine tinté de vengeance.
Ils le payeront ! entendit t'il. Ces mots accompagnaient sa pensé. Personne autour de lui, que le ressac de l'océan et les cris des sternes noires au large.
Il se mit en quête d'un abris et trouva son bonheur dans une cavité que lui offrait le plateau rocailleux de l'ile, à proximité de l'océan. Là où il aimait se rendre parfois.
Son père l'avait fouetté aux sangs pour le punir. Le châtiment était disproportionné pour une faute peu grave.
Il était allé la revoir. Elle, l'amour de sa vie. Celle qui était dans tout ses rêves et toutes ses pensées. "Pour lui montrer ca !" avait il dit à son père en lui désignant la tablette gravé. Ce qui à eu comme effet de décupler son courroux, mais tout deux savaient pourquoi il était allé voir Sonka, la fille de Tun'ac, le chef du clan Va'i Mata.
Gonk'ahura, son père savait qu'il l'aimait et cela constituait une raison assez grande pour transgresser la loi des anciens qui la promettait à un autre. Lui, Rascar, savait que c'était par une irrépressible envie de la posséder, de la pénétrer.
Cette obsession le hantait. Faire l'amour à Sonka. Caresser ses formes et son intimité. Explorer les moindres recoins de son anatomie afin de la faire jouir de nouveau, mieux que la première foi. Celle où il l'avait engrossé.
Ce désir sexuel était apparu il y a quelques temps, la foi où il s'assomma sur la falaise et trouva la tablette.L'envie était tellement forte et irrépressible qu'il en était venu a se masturber plusieurs fois par jours. Toute la journée, la pensée de Sonka était pressente et son imagination ne lui suggérait que des idée lubriques.
A son réveil, il était de nouveau sur la plage. Son dos le faisait souffrir atrocement. Il était tailladé de quatre balafres que la baguette de son père avait laissé.
Il avait aussi un collier autour du coup. Celui du bannissement. Désormais, il ne devait jamais retourner dans aucun des neuf vai'hu (clans familiaux) de l'ile et vivra en ermite. Il fut empli de ce sentiment d'injustice que donne l'iniquité d'un tel jugement. Un sentiment de haine tinté de vengeance.
Ils le payeront ! entendit t'il. Ces mots accompagnaient sa pensé. Personne autour de lui, que le ressac de l'océan et les cris des sternes noires au large.
Il se mit en quête d'un abris et trouva son bonheur dans une cavité que lui offrait le plateau rocailleux de l'ile, à proximité de l'océan. Là où il aimait se rendre parfois.