10-31-2010, 06:47 AM
(09-26-2010, 08:28 AM)Kabo link Wrote: Tout en se dirigeant vers le micro, Kabo a un moment de flottement.
Il regarde le flûtiste en grimaçant, et réajuste son non-costume. Le boss a l'air d'attendre sa prestation, faut y aller.
Une troupe de groupies-zombies se tient non-loin, Kabo prend une inspiration et attends que [glow=red,2,300]la musique[/glow] s’élève pour se mettre à chanter.
Y‘a pas de saison pour un petit carnage
Au fond, pas de raison au principe de discrétion
En marchant tu trucides tout ici-bas
Tu sens leurs tripes au bout de tes doigts
Tu dis que Satan t'a donné un don bien sympa
Tant de choses grâce a lui tu connaitras
Ton cœur est un pack de seven-up
On a trouvé des youyous gelés dans ta start-up
Et tu plantes, plantes, plantes, ces humains que tu hais
Et tu frappes, frappes, frappes, c'est ta façon d'aimer
Cet’ frénésie t'entraines jusqu'au bout de la nuit
Clouant les p’tits anges au plus profond de leurs lits
x2
Tu charges le monde de ta fraiche haine
Le dégoût des règles, chez Andromalius t'emmène
Le cerveau en délire, tu écoutes ce gogo
Tu dis rien, mais tu penses à sa sale tête de veau-au
Et tu plantes, plantes, plantes, ces humains que tu hais
Et tu frappes, frappes, frappes, c'est ta façon d'aimer
Cet’ frénésie t'entraines jusqu'au bout de la nuit
Clouant les p’tits anges au plus profond de leurs lits
x2
Toi qui dessines au fond de ton ennui les pages de leur vie
Un tel comique sans esprit farceur c'est un enfer sans douleur
Mais si tu sors dans ces moments là d’un placard tes idées noires
Tes blagues pourront exploser et nous reviendrons les glousser
Quand le bus est tombé choqué l’abbé renversé
Je sentais bien que la journée était bien commencée
Plus tard la blague était passée, alors que craquent les hommes, mettant la gomme
j'avais zigouillé
Le comique faisait des fous-rires, les vieux croulants sont des souvenirs
On sent tous son dernier soupir lorsqu'on va mourir
Mais ton souffle t'avais lâché car on ne peut que trépasser -Chacun le sait
Pour voir mon masque Mickey
Et tu souris lâche au milieu de la nuit
Des vaches en costume funky
Y a une vieille qui passe et une vache qui choque
Et y a le facteur qui s'éclate et moi qui m’marre du choc
Et tu plantes, plantes, plantes, ces humains que tu hais
Et tu frappes, frappes, frappes, c'est ta façon d'aimer
Cet’ frénésie t'entraines jusqu'au bout de la nuit
Clouant les p’tits anges au plus profond de leurs lits
x2
Kabo quitte la scène sous les cris de délires de ses groupies,
il serait indécent de décrire leur réaction lorsque leur idole se joint au public.