10-31-2010, 06:44 AM
(09-10-2010, 07:26 AM)Héphaïstos link Wrote: à la voix qui avait interrogé sur la résistance au feu de la scène, le doute n'était pas permis sur la personnalité qui allait faire son apparition sur scène.
n'empêche....
la silhouette qui s'avance sur scène, tout en rappelant vaguement le forgeron, laisse planer un doute.
Seule la certitude que ne pénètrent pas dans l'antre des travelos mal rasés rassure les démons présent.
Héphaïstos, s'avance sur scène, méconnaissable
a ses pieds, des cuissardes à talon,noires, montent jusqu'à mi cuisse.Ses jambes gainées par la résille noire de bas apparaissent entre le haut des cuissardes et le bas d'un body noir en lycra moulant -un peu trop moulant peut être, certains avec de bons yeux pouvant voir dépasser une couille.
le bustier noir couvert de plumes noir de jais, laisse deviner le haut d'une plantureuse poitrine, tandis qu'un boa de plumes noires, jeté négligemment sur ses épaules mets en valeur le rouge flamboyant de sa chevelure qui semble douée d'une vie propre
Adolfus le suit, arborant de petites lunettes miroir et une guitare électrique qu'il tient un peu comme un fusil.
Le maquillage du chevalier est clairement raté, même si les lentilles vertes qu'il porte donne a son regard un air... enfin, un air quoi.
En même temps, son déguisement aurait gagné en crédibilité s'il s'était rasé les jambes, mais bon, on ne peut pas nier, y a un effort.
Sur un discret hochement de la tête, Héphaïstos commence à danser lascivement tandis que adolfus se lance dans un numéro d' air guitar après avoir lancé la [glow=red,2,300]bande son[/glow] sur le ghetto blaster discrètement placé à ses pieds
Des arbres se penchent :
C'est plus fort, plus fort que tout.
Accrochée aux branches,
L'air me semble encore trop doux.
Dans l'herbe écrasée, à compter les brûlés.
Allumette craquée et tout part en fumée.
Pendant que les champs brûlent
J'attends que les anges viennent,
Et quand la ville ondule
Que jamais rien ne l'éteigne...
Ce soir-là tout s'est embrasés sans invoquer.
Autour de nous, le monde aurait pu s'écrouler.
Les ennemis cernés, des poussières dans les cheveux.
Au long de mes jambes, la caresse du feu.
Pendant que les champs brûlent
J'attends que les anges viennent,
Et quand la ville ondule
Que jamais rien ne l'éteigne...
Les ennemis cernés, des poussières dans les cheveux.
Au long de mes jambes, la caresse du feu.
Pendant que les champs brûlent
J'attends que les anges viennent,
Et quand la ville ondule
Que jamais rien ne l'éteigne...
Pendant que les champs brûlent
J'attends que les anges viennent,
Et quand la ville ondule
Que jamais rien ne l'éteigne...
et tandis que résonne la note finale, la scène s'embrase.
Adolfus s'enfuit en courant, le feu dévorant déjà les pattes d'heph de son pantalon
une larme roule dans l'œil du forgeron.
Tant de beauté, c'est trop