10-27-2010, 09:31 PM
Je me permets de réagir a un truc que j'ai lu dans la multitude de page qui se multiplie...
Cela concerne le ratio/proportion du niveau d'un PJ par rapport a un scénario.
Certain mentionné que l'on peut facilement adapter un scénario facile, pour des PJs plus experimenté.
Style, augmenter le nombre d'adversaire ou les rendres plus fort. (Mettre 10 Laurent... je crois)
Je ne suis absolument pas d'accord avec cette argument.
Et pourtant je suis le style de joueur qui aime conserver ses persos longtemps et les faire devenir gros billes.
Je trouve que cette façon de procéder dénature le background et la logique de l'intrigue.
Si l'entrée d'une boite de nuit est gardé par 2 videurs tu ne vas pas mettre un bus de CRS sous prétexte que tes PJs sont baléses.
Exemple que j'ai piqué sur la Gazette de Nuln (Warhammer):
Scénario original que j'ai joué: Il y a dans un monastère de Sigmar une bande de goule qui traine car attiré par les restes de cadavre lié a une bataille qui a eu lieu 1 mois plus tot.
Scénario corrigé par un MJ dont les persos sont tous en 4éme carriére voir plus (là ou il devrait être en 2éme):
Il a remplacé les goules par des guerriers du Chaos accompagnés d'un troll du chaos équipé d'aile, etc...
A ce qui connaisse Warhammer, je tiens a préciser que sur la période et le lieu donné, ils n'ont rien a foutre ici.
En therme de jeu de rôle sur table, a un groupe de perso avancé, j'opposerais trés peu voir pas de combat.
En revanche, j'insisterais sur leur responsabilité et l'impact de leur erreur. Le coté épique de leur implication.
J'opposerais des PNJs faibles mais plus fourbe... J'axerais sur la politique. On ne peux pas tous régler a coup de gnon dans la gueule.
(Même si parfois ça peu aider :twisted: ...)
Un type intelligent, je sais plus qui, a dit: La violence est l'arme des faibles...
(A mon avis il venait de se faire passer à taba.)
Mais bon, je parlais de jeu de rôle papier...
Comme je disais... Je fais confiance aux MJs. Jusque là je n'ai pas été déçus. Et puis si ils sont tous d'accord.
(Non je ne suis pas payé pour dire ça. Enfin pas encore...
)
Cela concerne le ratio/proportion du niveau d'un PJ par rapport a un scénario.
Certain mentionné que l'on peut facilement adapter un scénario facile, pour des PJs plus experimenté.
Style, augmenter le nombre d'adversaire ou les rendres plus fort. (Mettre 10 Laurent... je crois)
Je ne suis absolument pas d'accord avec cette argument.
Et pourtant je suis le style de joueur qui aime conserver ses persos longtemps et les faire devenir gros billes.
Je trouve que cette façon de procéder dénature le background et la logique de l'intrigue.
Si l'entrée d'une boite de nuit est gardé par 2 videurs tu ne vas pas mettre un bus de CRS sous prétexte que tes PJs sont baléses.
Exemple que j'ai piqué sur la Gazette de Nuln (Warhammer):
Scénario original que j'ai joué: Il y a dans un monastère de Sigmar une bande de goule qui traine car attiré par les restes de cadavre lié a une bataille qui a eu lieu 1 mois plus tot.
Scénario corrigé par un MJ dont les persos sont tous en 4éme carriére voir plus (là ou il devrait être en 2éme):
Il a remplacé les goules par des guerriers du Chaos accompagnés d'un troll du chaos équipé d'aile, etc...
A ce qui connaisse Warhammer, je tiens a préciser que sur la période et le lieu donné, ils n'ont rien a foutre ici.
En therme de jeu de rôle sur table, a un groupe de perso avancé, j'opposerais trés peu voir pas de combat.
En revanche, j'insisterais sur leur responsabilité et l'impact de leur erreur. Le coté épique de leur implication.
J'opposerais des PNJs faibles mais plus fourbe... J'axerais sur la politique. On ne peux pas tous régler a coup de gnon dans la gueule.
(Même si parfois ça peu aider :twisted: ...)
Un type intelligent, je sais plus qui, a dit: La violence est l'arme des faibles...
(A mon avis il venait de se faire passer à taba.)
Mais bon, je parlais de jeu de rôle papier...
Comme je disais... Je fais confiance aux MJs. Jusque là je n'ai pas été déçus. Et puis si ils sont tous d'accord.
(Non je ne suis pas payé pour dire ça. Enfin pas encore...
