10-18-2010, 08:15 AM
Lorsque Shagshog lui indique qu'il peut se servir, Landéric se dirige vers le thé, choisit celui qui lui convient le mieux et se le prépare, jugeant qu'avec la quantité d'alcool qui a été apportée et l'intérêt que tout le monde semble y porter, personne ne voudra d'un thé.
Il boit le breuvage , semblant y prendre plaisir, écoutant les divers intervenants d'une oreille plus ou moins attentive, son regard inquisiteur ayant disparu.
Lorsque Galila lui sourit, il comprend qu'il a été peut-être un peu indiscret et dérangeant et lui adresse un sourire d'excuse avant de détourner le regard. Après l'entrée de Finsternn avec sa caisse de Whisky et sa petite conversation avec le Serviteur de la Mort, l'ange de Jean-Luc prend la parole.
"Serviteur, je suis presque sur les lieux de l'affront. Je me ferais un plaisir d'aider à interdire l'accès à ce distributeur. Je pense aller prêcher la bonne parole et expliquer aux humains présents ma façon de voir le choses. Je ne devrais pas avoir de mal à créer un scandale faisant fuir les badauds. Je pense ne pas avoir à me forcer pour cette tâche..."
Il sourit, de façon un peu crispée.
"J'aiderais volontiers à bâcher et enlever cet appareil, mais ne comptez pas sur moi pour participer à sa repose à la communauté Saint-Georges."
Il boit le breuvage , semblant y prendre plaisir, écoutant les divers intervenants d'une oreille plus ou moins attentive, son regard inquisiteur ayant disparu.
Lorsque Galila lui sourit, il comprend qu'il a été peut-être un peu indiscret et dérangeant et lui adresse un sourire d'excuse avant de détourner le regard. Après l'entrée de Finsternn avec sa caisse de Whisky et sa petite conversation avec le Serviteur de la Mort, l'ange de Jean-Luc prend la parole.
"Serviteur, je suis presque sur les lieux de l'affront. Je me ferais un plaisir d'aider à interdire l'accès à ce distributeur. Je pense aller prêcher la bonne parole et expliquer aux humains présents ma façon de voir le choses. Je ne devrais pas avoir de mal à créer un scandale faisant fuir les badauds. Je pense ne pas avoir à me forcer pour cette tâche..."
Il sourit, de façon un peu crispée.
"J'aiderais volontiers à bâcher et enlever cet appareil, mais ne comptez pas sur moi pour participer à sa repose à la communauté Saint-Georges."