12-24-2009, 07:23 PM
Larissa avait presque finit de distribuer ses graines.
Les plus malingre des volatiles pouvaient enfin se nourrir maintenant que les plus gros dégénéré avaient englouti leur poids en graines.
Dans le ciel et sur le toit de l'église les centaines d'oiseaux commençaient leur digestion.
La femme d'age mure consulte sa montre avant de laisser les sacs plastiques vivre leur vie maintenant libre de voler eux aussi pour pourrir un coin de pelouse tranquillement.
Elle s'assoit sur le banc et attend patiemment en écoutant les chants de noël.
Coup d'œil vers le cloché de l'église, les fidèles ne vont plus tarder, la messe de minuit doit bientôt commencer.
Larissa sort son parapluie et avec un sourire commence à s'éloigner doucement.
"Ca va commencer...
Joyeux noël !"
Et il commence à pleuvoir, d'abord doucement, les passants pressent le pas sans trop faire attention puis l'un d'eux commence à remarquer que ce n'est pas de la pluie mais de la fiente.
Ils lèvent les yeux au ciel et là le choc, l'éclairage de la rue laisse deviner que là haut, c'est un véritable embouteillage.
Les piaillements accompagné du bruit d'un fion qui explose ne laissent pas tout le monde indifférent les plus sensible prennent leurs jambes à leur cou les autres essaie d'éviter de se faire moucher de merde.
Une nouvelle étape est franchit lorsque le sol maintenant tapissé de fiente de pigeon montre des traces certaines de sang.
Un petit garçon commence à chouiner, son grand frère se moque de lui puis se prend une taloche par sa mère.
Il continu de se moquer discrètement puis pousse un cri de terreur au moment ou il se prend un cadavre de pigeon sur le crane. Le cul dans les fientes ensanglanté, il pleure en voyant une pluie de pigeon venir s'abattre autour d'eux.
La panique s'étend, le pas s'accélère, mais le sol est peu à peu recouvert de cadavre de pigeon, éclaté sur les pavés, baignant dans leur déjection et dans leur sang.
Le parapluie s'éloigne, le démon porte le sourire de vieux crevard comme personne, il chantonne heureux d'avoir accomplie du bon boulot.
"J'adore noël..."
Les plus malingre des volatiles pouvaient enfin se nourrir maintenant que les plus gros dégénéré avaient englouti leur poids en graines.
Dans le ciel et sur le toit de l'église les centaines d'oiseaux commençaient leur digestion.
La femme d'age mure consulte sa montre avant de laisser les sacs plastiques vivre leur vie maintenant libre de voler eux aussi pour pourrir un coin de pelouse tranquillement.
Elle s'assoit sur le banc et attend patiemment en écoutant les chants de noël.
Coup d'œil vers le cloché de l'église, les fidèles ne vont plus tarder, la messe de minuit doit bientôt commencer.
Larissa sort son parapluie et avec un sourire commence à s'éloigner doucement.
"Ca va commencer...
Joyeux noël !"
Et il commence à pleuvoir, d'abord doucement, les passants pressent le pas sans trop faire attention puis l'un d'eux commence à remarquer que ce n'est pas de la pluie mais de la fiente.
Ils lèvent les yeux au ciel et là le choc, l'éclairage de la rue laisse deviner que là haut, c'est un véritable embouteillage.
Les piaillements accompagné du bruit d'un fion qui explose ne laissent pas tout le monde indifférent les plus sensible prennent leurs jambes à leur cou les autres essaie d'éviter de se faire moucher de merde.
Une nouvelle étape est franchit lorsque le sol maintenant tapissé de fiente de pigeon montre des traces certaines de sang.
Un petit garçon commence à chouiner, son grand frère se moque de lui puis se prend une taloche par sa mère.
Il continu de se moquer discrètement puis pousse un cri de terreur au moment ou il se prend un cadavre de pigeon sur le crane. Le cul dans les fientes ensanglanté, il pleure en voyant une pluie de pigeon venir s'abattre autour d'eux.
La panique s'étend, le pas s'accélère, mais le sol est peu à peu recouvert de cadavre de pigeon, éclaté sur les pavés, baignant dans leur déjection et dans leur sang.
Le parapluie s'éloigne, le démon porte le sourire de vieux crevard comme personne, il chantonne heureux d'avoir accomplie du bon boulot.
"J'adore noël..."