12-04-2009, 08:08 AM
les pieces forgées sont maintenant d'une couleur rouge cerise naissant et la lumière qu'elles irradient éclaire chichement la pièce dans des tons de clair obscur rouge orangés que De La Tour n'aurait pas renié.
Empoignant les pièces les unes à la suite des autres, le forgeron les plonge rapidement dans l'eau croupie ou les échanges de température s'effectuent dans des sifflements terribles, plongeant la pièce dans un épais brouillard de vapeur d'eau dont l'odeur infecte (souvenez vous, c'est l'eau amenée par van der decken) sature l'atmosphère.
Sortant chaque pièce du peu ragoûtant bain de culture, il l'examine en vérifiant les courbes par rapport à ses modèles initiaux.
Il met de coté celles qui nécessitent d'être rectifiées tandis qu'il commence à positionner sur la table les pièces qu'il estime conforme.
Adolfus revient dans la cave, s'étant absenté.
Il est apparemment en meilleure forme (physique, intellectuelle, ça fait longtemps que l'on a abandonné tout espoir).
Il transporte de longues tiges de prêles séchées qu'il dépose dans un mortier d'obsidienne, et qu'il commence à réduire en poudre avec un pilon lui aussi taillé dans la roche.
il amalgame ensuite cette poussière de prêle avec un peu du sable laissé par Pony Express.
Héphaïstos attend que sa tâche soit accomplie avant de lui tendre les pièces jugées conformes.
Adolfus s'en saisi et commence a frotter énergiquement ces éléments en acier avec le mélange ainsi réalisé. petit à petit, la couche de calamine grise sombre qui habillait les os d'acier disparait, laissant apparaitre une structure plus brillante mais présentant de micro aspérités.
Héphaistos est lui de retour à la forge et chauffe spécifiquement les pièces à rectifier avant d'abattre son marteau d'un geste précis pour corriger ici une courbe, là un plan droit. Tous deux semblent travailler sans se soucier de la présence de l'autre
Empoignant les pièces les unes à la suite des autres, le forgeron les plonge rapidement dans l'eau croupie ou les échanges de température s'effectuent dans des sifflements terribles, plongeant la pièce dans un épais brouillard de vapeur d'eau dont l'odeur infecte (souvenez vous, c'est l'eau amenée par van der decken) sature l'atmosphère.
Sortant chaque pièce du peu ragoûtant bain de culture, il l'examine en vérifiant les courbes par rapport à ses modèles initiaux.
Il met de coté celles qui nécessitent d'être rectifiées tandis qu'il commence à positionner sur la table les pièces qu'il estime conforme.
Adolfus revient dans la cave, s'étant absenté.
Il est apparemment en meilleure forme (physique, intellectuelle, ça fait longtemps que l'on a abandonné tout espoir).
Il transporte de longues tiges de prêles séchées qu'il dépose dans un mortier d'obsidienne, et qu'il commence à réduire en poudre avec un pilon lui aussi taillé dans la roche.
il amalgame ensuite cette poussière de prêle avec un peu du sable laissé par Pony Express.
Héphaïstos attend que sa tâche soit accomplie avant de lui tendre les pièces jugées conformes.
Adolfus s'en saisi et commence a frotter énergiquement ces éléments en acier avec le mélange ainsi réalisé. petit à petit, la couche de calamine grise sombre qui habillait les os d'acier disparait, laissant apparaitre une structure plus brillante mais présentant de micro aspérités.
Héphaistos est lui de retour à la forge et chauffe spécifiquement les pièces à rectifier avant d'abattre son marteau d'un geste précis pour corriger ici une courbe, là un plan droit. Tous deux semblent travailler sans se soucier de la présence de l'autre