04-06-2009, 09:46 PM
Maël, interpellé par l'agent du GIGN, alors qu'il fuyait l'Usine, est immédiatement mis en joue.
Le policier, spécialiste des situations extrêmes hurle immédiatement après le jeune fuyard :
- POLICE ! LÂCHEZ ÇA OU JE FAIS FEU !VOUS ÊTES EN ÉTAT D'ARRESTATION ! hurle t-il.
Maël, dos au flic se fend d'un léger et fugace sourire, avant de laisser tomber dans un tintement métallique, un couteau qu'il tenait en main.
Baissant la tête, le jeune homme, qui pour l'occasion portait une tenue de sport très passe-partout, sweat sur la tête; plie les genoux, qu'il pose à terre.
Passant les mains derrière la tête, il dit :
- AH ! Voilà, monsieur l'agent. Du calme. dit-il, simulant l'essoufflement.
Ne bougeant pas, le jeune homme n'attend pas que l'agent de police vienne lui passer les menottes...pour devenir son meilleur ami.
Perdant tout sourire, sa voix devient soudainement suppliante :
- Je vous assure monsieur l'agent, que c'est une méprise... Vous vous trompez de personne. Ils sont encore dans la discothèque, je...je ne peux pas vous dire combien...5...Peut être 10 ! Je vous en prie, monsieur l'agent ! Il faut me croire ! Ils vont tuer des gens ! Ils ont des armes ! J'ai ramassé ce truc, et j'ai couru comme un fou, dans la fumée ! J'ai couru aussi vite que j'ai pu en taillant le chemin devant moi, j'avais si peur ! Ils ont dit qu'ils allaient tous nous tuer ! TOUS !
Déjà la voix de Maël se meut, angoissée...Elle devient larmoyante...
- Monsieur l'agent, il faut me croire, mon dieu...Mon dieu...Il y avait toute cette fumée, mes yeux me brûlent encore...Je ne vois presque plus rien...Je vous en ...
Je vous en supplie...
Sa voix meurt, entre deux sanglots et hoquets de peur.
- J'ai cru mourir...Ils vont...Ils sont...Ils ont des armes...Ce...C'est...Ils ont dit " TMC ". Ils ont dit qu'ils allaient nous tuer. Je ne voulais pas mourir !
La voix du pauvre Maël étouffe et se meurt définitivement. Le touchant jeune homme semble anéanti..
Le policier, spécialiste des situations extrêmes hurle immédiatement après le jeune fuyard :
- POLICE ! LÂCHEZ ÇA OU JE FAIS FEU !VOUS ÊTES EN ÉTAT D'ARRESTATION ! hurle t-il.
Maël, dos au flic se fend d'un léger et fugace sourire, avant de laisser tomber dans un tintement métallique, un couteau qu'il tenait en main.
Baissant la tête, le jeune homme, qui pour l'occasion portait une tenue de sport très passe-partout, sweat sur la tête; plie les genoux, qu'il pose à terre.
Passant les mains derrière la tête, il dit :
- AH ! Voilà, monsieur l'agent. Du calme. dit-il, simulant l'essoufflement.
Ne bougeant pas, le jeune homme n'attend pas que l'agent de police vienne lui passer les menottes...pour devenir son meilleur ami.
Perdant tout sourire, sa voix devient soudainement suppliante :
- Je vous assure monsieur l'agent, que c'est une méprise... Vous vous trompez de personne. Ils sont encore dans la discothèque, je...je ne peux pas vous dire combien...5...Peut être 10 ! Je vous en prie, monsieur l'agent ! Il faut me croire ! Ils vont tuer des gens ! Ils ont des armes ! J'ai ramassé ce truc, et j'ai couru comme un fou, dans la fumée ! J'ai couru aussi vite que j'ai pu en taillant le chemin devant moi, j'avais si peur ! Ils ont dit qu'ils allaient tous nous tuer ! TOUS !
Déjà la voix de Maël se meut, angoissée...Elle devient larmoyante...
- Monsieur l'agent, il faut me croire, mon dieu...Mon dieu...Il y avait toute cette fumée, mes yeux me brûlent encore...Je ne vois presque plus rien...Je vous en ...
Je vous en supplie...
Sa voix meurt, entre deux sanglots et hoquets de peur.
- J'ai cru mourir...Ils vont...Ils sont...Ils ont des armes...Ce...C'est...Ils ont dit " TMC ". Ils ont dit qu'ils allaient nous tuer. Je ne voulais pas mourir !
La voix du pauvre Maël étouffe et se meurt définitivement. Le touchant jeune homme semble anéanti..