04-04-2009, 06:17 PM
Des gens se poussent, des humains s’écartent avec crainte et déjà parmi quelques groupes de jeunes en train de discuter pas loin des vestiaires des rumeurs s’élèvent.
- La vache, qu’elle est bonne !!
- T’es con ou quoi ?!
- Vos gueules, merde, j’ai pas envie de finir comme le cousin à Stéphane.
- Il lui est arrivé quoi ?
- T’es pas au courant ? Il avait emprunté du fric aux yougos, on a retrouvé son corps en morceaux dans une valise.
- Je croyais qu’il était parti en…
- Putain, elle regarde vers nous ! On dégage !!!
Le « elle » en question est une de ses femmes superbes comme peuvent en produire parfois les pays de l’est. Grande, élancée, ses cheveux presque rouges sont taillés en un carré désordonné particulièrement sauvage qui met en valeur un long cou dont le blanc lumineux descend jusqu’à sa poitrine. Celle-ci assez petite et particulièrement ferme est protégée par un simple bandeau de résille qui dévoile plus qu’elle ne cache les deux croix en latex qui maintiennent une parodie de pudeur. Sa veste de jogging en soie, le genre de modèle sorti de chez dior, est totalement ouverte sur un ventre plat alors que dans son dos a été peinte une flamme stylisée dans le rouge le plus vif. La seconde partie de son survêtement noir tombe particulièrement bas sur ses hanches parfaites. Chez n’importe qui ce serait ridicule, mais sur elle…
D’ailleurs, en y regardant à deux fois, outre les habituels punks et gothiques de l’endroit, ils sont nombreux les jeunes à avoir adopté ce look si particulier.
Elle s’avance en toute confiance et sur son chemin s’empare du bras d’une adolescente lui arrivant tout juste à l’épaule. Elle se penche pour l’embrasser à la russe avant de faire descendre un main pour lui claquer le postérieur et la questionner en criant, musique oblige, avec un accent à couper au couteau.
- AlorRrs mon chaton, parRrait que Sakina Wissimus est ici ? Suis moi, on va lui demander un autogrRraphe.
Plus loin, des videurs ce sont mis en mouvement pour aller chercher l'homme qui, vu son âge, ne devrait pas porter des t-shirt punisher et qui sans raisons apparentes a commencé à adopter une attitude dangereuse. Pas de quoi paniquer, des cas comme lui, ils en évacuent des dizaines par soir.
Par contre, le regard que lance la femme aux cheveux rouges à "Olaf" lui a de quoi donner envie de changer de pays. Elle a un mouvement de menton très sec, direction hors de sa vue, autant pour les videurs que pour l'homme dont ils se chargent.
- T'inquiètes pas mon chaton, avec moi tu es en sécurrRrité.
- La vache, qu’elle est bonne !!
- T’es con ou quoi ?!
- Vos gueules, merde, j’ai pas envie de finir comme le cousin à Stéphane.
- Il lui est arrivé quoi ?
- T’es pas au courant ? Il avait emprunté du fric aux yougos, on a retrouvé son corps en morceaux dans une valise.
- Je croyais qu’il était parti en…
- Putain, elle regarde vers nous ! On dégage !!!
Le « elle » en question est une de ses femmes superbes comme peuvent en produire parfois les pays de l’est. Grande, élancée, ses cheveux presque rouges sont taillés en un carré désordonné particulièrement sauvage qui met en valeur un long cou dont le blanc lumineux descend jusqu’à sa poitrine. Celle-ci assez petite et particulièrement ferme est protégée par un simple bandeau de résille qui dévoile plus qu’elle ne cache les deux croix en latex qui maintiennent une parodie de pudeur. Sa veste de jogging en soie, le genre de modèle sorti de chez dior, est totalement ouverte sur un ventre plat alors que dans son dos a été peinte une flamme stylisée dans le rouge le plus vif. La seconde partie de son survêtement noir tombe particulièrement bas sur ses hanches parfaites. Chez n’importe qui ce serait ridicule, mais sur elle…
D’ailleurs, en y regardant à deux fois, outre les habituels punks et gothiques de l’endroit, ils sont nombreux les jeunes à avoir adopté ce look si particulier.
Elle s’avance en toute confiance et sur son chemin s’empare du bras d’une adolescente lui arrivant tout juste à l’épaule. Elle se penche pour l’embrasser à la russe avant de faire descendre un main pour lui claquer le postérieur et la questionner en criant, musique oblige, avec un accent à couper au couteau.
- AlorRrs mon chaton, parRrait que Sakina Wissimus est ici ? Suis moi, on va lui demander un autogrRraphe.
Plus loin, des videurs ce sont mis en mouvement pour aller chercher l'homme qui, vu son âge, ne devrait pas porter des t-shirt punisher et qui sans raisons apparentes a commencé à adopter une attitude dangereuse. Pas de quoi paniquer, des cas comme lui, ils en évacuent des dizaines par soir.
Par contre, le regard que lance la femme aux cheveux rouges à "Olaf" lui a de quoi donner envie de changer de pays. Elle a un mouvement de menton très sec, direction hors de sa vue, autant pour les videurs que pour l'homme dont ils se chargent.
- T'inquiètes pas mon chaton, avec moi tu es en sécurrRrité.