03-24-2009, 03:05 PM
*Sakina a filé ce salopard de traître à face de citron, enfin l'asiatique, pendant toute la journée, sans grand résultat, quand soudain, ce dernier, alors que la nuit commence à tomber doucement, sans se blesser, se rend dans les champs de la Banlieue Nord. Il commence à faire sombre, les hautes herbes rendent la vue difficile, mais Sakina parvient à le suivre tout de même. Il arrive en plein milieu des champs, après avoir passé un couple de jeunes qui révisent leur cours d'anatomie.*
*L'asiatique, appelons le Mao pour simplifier, bref Mao, rencontre un homme, plus âgé, bien la trentaine, que l'on nommera Lénine. Lénine, est blanc, grand, porte une barbe, des lunettes de soleil, des cheveux bruns courts et fume un cigare. Il est vêtu comme un véritable militaire, en tenue camouflage kaki, avec une casquette de Baseball.*
*Il salue le jeune, lui demande l'argent, qu'il lui remet, mets la main dans sa poche et... *
*Les oiseaux présents non loin s'envole alors que Mao s'effondre, terrassé par une balle d'une SIG P220S de Lénine, tirée à bout portant, en pleine poitrine. Mao part violemment au dos et commence à se vider de son sang. L'homme se penche sur le corps encore chaud, récupère le portable de sa victime, s'y attarde longuement, puis passe un appel, en hébreu. Il raccroche ensuite et écrase le portable sous sa chaussure. Puis il repart, comme si de rien n'était...*
*Sakina reprend la filature, même si elle a changé de prédécesseur. Elle s'arrête toutefois un instant à côté du cadavre de Mao, et récupère les morceaux du portable écrasé.*
*Elle se met alors à suivre le Russe, toujours sur ces gardes, et se permettant de se rapprocher un peu pour ne pas le perdre dans l'obscurité. Après tout, s'il fait noir, elle est elle-même moins détectable.*
*Sakina suit donc son nouvel ami, qui se dirige vers le Sud, se rend au centre ville, s'engouffre dans le métro non loin de la banque, soucieux d'être suivi ou non.*
*Attrapant un petit journal au passage, Sakina l’y suit en restant à distance, et fait mine de remplir le Sudoku de la dernière page.*
*Lénine descend enfin à Fleuve, et se dirige vers l’escalier, devant lequel traînent trois racaille, des jeunes avec pantalons qui monte pas au delà des genoux, le sweat à capuche et du rap très fort dans les oreilles.*
*Et soudain, Lénine qui passe devant les cailleras, enfin, relativement, ce fourbe de Trotsky, l'une des racailles, le plante chanmé avec un poignard, puis se précipite vers Sakina avec ses potes pour la maraver*
*Celle-ci révèle alors le katar qu’elle cachait sous son trenchcoat, bien plus impressionnant que le surin du voyou d’en face.*
Vous êtes sûrs de vouloir en tâter ?
*Malheureusement les bandits ne semblent pas intimidés, et il faut bien en venir aux mains, dans une mêlée au cours de laquelle Haderas prend aisément l’avantage vu sa force et sa technique. Deux des voyous sont déjà morts quand soudain…*
*Alors que la racaille se glissait traitreusement dans le dos de Sakina, un coup de feu, produisant un bruit puissant caractéristique d'une arme de gros calibre, claque dans l'air et projette l'imbécile contre le mur, le repeignant en rouge. L'homme souffle sur son arme encore fumante.*
Eat that, sucker!
*C’est le Lieutenant Hutschemeckers qui passait par là, et qui a massacré la dernière racaille d’un coup de Desert Eagle.*
*Mimant la surprise et le soulagement.*
Ouf ! Heureusement que vous êtes arrivé, je ne sais pas ce que ces voyoux me voulaient, mais je n'ai pas l'impression que c'était du bien. J'ai même bien cru que j'allais y passer.
Il me semble en avoir vu un qui faisait le guet - peut-être pour repérer des cibles ? - là-bas, plus loin dans la station, vous devriez aller vérifier... mais de grâce soyez prudent !
*Sakina s'approche du corps de Lénine pour vérifier s'il est encore vivant. Elle en profite pour fouiller ses poches, récupérant son portefeuille et son téléphone, ainsi que tout autre objet qui pourrait être utile, dissimulant alors tout ceci dans son sac. Ceci lui donne l’occasion d’entendre son dernier murmure.*
Direchy he 'eschchet 'el mey.
*Le lieutenant s’éloigne un peu, puis revient bredouille.*
Ca va m'dame? Ces racailles ne vous ont pas blessé? Rangez cette arme je vous prie. Heureusement que j'étais là, un peu plus et ce fou qui a déjà tué 3 personnes en tuait une quatrième. Vous allez bien? Racontez-moi ce qui s'est passé.
Hé bien, je n'en sais trop rien mon bon monsieur. Je descendais tranquillement du métro quand j'ai vu ces trois individus se ruer sur celui-ci et le poignarder. Ils se sont ensuite jetés sur moi, mais heureusement, j'ai suivi quelques cours de self défense et j'ai pu les empêcher de m'occire jusqu'à votre arrivée providentielle.
*Contrariée qu’il ait vu son katar, elle ne peut que le lui tendre.*
Ce katar appartenait à l'un des malfrats, j'ai heureusement réussi à l'en désarmer... Ca m'a aidé à les tenir à distance.
*Ils échangent leurs numéros, puis se quittent, ce qui permet à Sakina de fouiller les corps des autres malfrats, et d’examiner ses trouvailles. Parmi celle-ci, une photo de Lénine, qui était visiblement ciblé. Sakina la fit parvenir à Francky pour qu’il l’examine.*
*Elle se rend ensuite dans une librairie et prend ensuite un dictionnaire hébreu afin de traduire ce quelle peut. A nouveau, la piste est ténue, mais renvoie toujours au même
endroit.*
‘Trouve la fille au bord de l’eau.’
*L'asiatique, appelons le Mao pour simplifier, bref Mao, rencontre un homme, plus âgé, bien la trentaine, que l'on nommera Lénine. Lénine, est blanc, grand, porte une barbe, des lunettes de soleil, des cheveux bruns courts et fume un cigare. Il est vêtu comme un véritable militaire, en tenue camouflage kaki, avec une casquette de Baseball.*
*Il salue le jeune, lui demande l'argent, qu'il lui remet, mets la main dans sa poche et... *
*Les oiseaux présents non loin s'envole alors que Mao s'effondre, terrassé par une balle d'une SIG P220S de Lénine, tirée à bout portant, en pleine poitrine. Mao part violemment au dos et commence à se vider de son sang. L'homme se penche sur le corps encore chaud, récupère le portable de sa victime, s'y attarde longuement, puis passe un appel, en hébreu. Il raccroche ensuite et écrase le portable sous sa chaussure. Puis il repart, comme si de rien n'était...*
*Sakina reprend la filature, même si elle a changé de prédécesseur. Elle s'arrête toutefois un instant à côté du cadavre de Mao, et récupère les morceaux du portable écrasé.*
*Elle se met alors à suivre le Russe, toujours sur ces gardes, et se permettant de se rapprocher un peu pour ne pas le perdre dans l'obscurité. Après tout, s'il fait noir, elle est elle-même moins détectable.*
*Sakina suit donc son nouvel ami, qui se dirige vers le Sud, se rend au centre ville, s'engouffre dans le métro non loin de la banque, soucieux d'être suivi ou non.*
*Attrapant un petit journal au passage, Sakina l’y suit en restant à distance, et fait mine de remplir le Sudoku de la dernière page.*
*Lénine descend enfin à Fleuve, et se dirige vers l’escalier, devant lequel traînent trois racaille, des jeunes avec pantalons qui monte pas au delà des genoux, le sweat à capuche et du rap très fort dans les oreilles.*
*Et soudain, Lénine qui passe devant les cailleras, enfin, relativement, ce fourbe de Trotsky, l'une des racailles, le plante chanmé avec un poignard, puis se précipite vers Sakina avec ses potes pour la maraver*
*Celle-ci révèle alors le katar qu’elle cachait sous son trenchcoat, bien plus impressionnant que le surin du voyou d’en face.*
Vous êtes sûrs de vouloir en tâter ?
*Malheureusement les bandits ne semblent pas intimidés, et il faut bien en venir aux mains, dans une mêlée au cours de laquelle Haderas prend aisément l’avantage vu sa force et sa technique. Deux des voyous sont déjà morts quand soudain…*
*Alors que la racaille se glissait traitreusement dans le dos de Sakina, un coup de feu, produisant un bruit puissant caractéristique d'une arme de gros calibre, claque dans l'air et projette l'imbécile contre le mur, le repeignant en rouge. L'homme souffle sur son arme encore fumante.*
Eat that, sucker!
*C’est le Lieutenant Hutschemeckers qui passait par là, et qui a massacré la dernière racaille d’un coup de Desert Eagle.*
*Mimant la surprise et le soulagement.*
Ouf ! Heureusement que vous êtes arrivé, je ne sais pas ce que ces voyoux me voulaient, mais je n'ai pas l'impression que c'était du bien. J'ai même bien cru que j'allais y passer.
Il me semble en avoir vu un qui faisait le guet - peut-être pour repérer des cibles ? - là-bas, plus loin dans la station, vous devriez aller vérifier... mais de grâce soyez prudent !
*Sakina s'approche du corps de Lénine pour vérifier s'il est encore vivant. Elle en profite pour fouiller ses poches, récupérant son portefeuille et son téléphone, ainsi que tout autre objet qui pourrait être utile, dissimulant alors tout ceci dans son sac. Ceci lui donne l’occasion d’entendre son dernier murmure.*
Direchy he 'eschchet 'el mey.
*Le lieutenant s’éloigne un peu, puis revient bredouille.*
Ca va m'dame? Ces racailles ne vous ont pas blessé? Rangez cette arme je vous prie. Heureusement que j'étais là, un peu plus et ce fou qui a déjà tué 3 personnes en tuait une quatrième. Vous allez bien? Racontez-moi ce qui s'est passé.
Hé bien, je n'en sais trop rien mon bon monsieur. Je descendais tranquillement du métro quand j'ai vu ces trois individus se ruer sur celui-ci et le poignarder. Ils se sont ensuite jetés sur moi, mais heureusement, j'ai suivi quelques cours de self défense et j'ai pu les empêcher de m'occire jusqu'à votre arrivée providentielle.
*Contrariée qu’il ait vu son katar, elle ne peut que le lui tendre.*
Ce katar appartenait à l'un des malfrats, j'ai heureusement réussi à l'en désarmer... Ca m'a aidé à les tenir à distance.
*Ils échangent leurs numéros, puis se quittent, ce qui permet à Sakina de fouiller les corps des autres malfrats, et d’examiner ses trouvailles. Parmi celle-ci, une photo de Lénine, qui était visiblement ciblé. Sakina la fit parvenir à Francky pour qu’il l’examine.*
*Elle se rend ensuite dans une librairie et prend ensuite un dictionnaire hébreu afin de traduire ce quelle peut. A nouveau, la piste est ténue, mais renvoie toujours au même
endroit.*
‘Trouve la fille au bord de l’eau.’