12-06-2004, 11:29 PM
Je dois avouer mon cher ami
Vous avoir pris pour un petit,
Un de ceux qui n'oseraient pas
Pretendre exécuter des lois.
Indiscutable est votre coeur,
Et vous savez manier la peur,
Que vos ennemis soient avisés
Leur trepas va débuter.
N'analysez pas pour autant
Ses mots trop précipitament.
Loin de l'éloge et des hommages
Ils ne sont que simple rammage.
S'il faut brandir dans la rue
Une gaule endurcie et pointue,
Et maltraiter femmes et enfants
Pour prétendre régner en géant.
Je méprise alors avec joie
Tout vos petits soldats de bois
Qui martyrisent sans raison
Et verbalisent à foison .
C'est par la douceur de leur bouche,
Et dans la chaleur de ma couche,
Que je dévoile aux filles d'Eve,
L'endroit ou je puise ma sève.
Certains rêvent de Sarkosy,
D'autres de Rocco Siffredi,
Moi les menottes quand je m'en serre,
C'est pas pour punir des faussaires !
Vous avoir pris pour un petit,
Un de ceux qui n'oseraient pas
Pretendre exécuter des lois.
Indiscutable est votre coeur,
Et vous savez manier la peur,
Que vos ennemis soient avisés
Leur trepas va débuter.
N'analysez pas pour autant
Ses mots trop précipitament.
Loin de l'éloge et des hommages
Ils ne sont que simple rammage.
S'il faut brandir dans la rue
Une gaule endurcie et pointue,
Et maltraiter femmes et enfants
Pour prétendre régner en géant.
Je méprise alors avec joie
Tout vos petits soldats de bois
Qui martyrisent sans raison
Et verbalisent à foison .
C'est par la douceur de leur bouche,
Et dans la chaleur de ma couche,
Que je dévoile aux filles d'Eve,
L'endroit ou je puise ma sève.
Certains rêvent de Sarkosy,
D'autres de Rocco Siffredi,
Moi les menottes quand je m'en serre,
C'est pas pour punir des faussaires !