07-17-2008, 04:32 PM
Géraud était revenu auprès du directeur de la banque, sautant à nouveau par dessus le comptoir. Il avait reçu les nouvelles de l'extérieur par ses collègues, et il n'avait pas l'air très content.
Pour toute réponse à ce que lui avait dit le directeur, il lui avait mis un pain dans la gueule. Pas trop fort, le pain quand même. Il attendit un instant que le directeur retrouve ses esprits pour commencer à l'engueuler.
"Y'a déjà le GIGN dehors ! C'est toi qui les a prévenu hein ?! sale enfoiré !"
Il lui refile un 'petit' coup. Petit coup de pied si il était tombé par terre, petit coup avec le manche du couteau dans le bras sinon.
Géraud ne laisse pas au directeur une chance de s'expliquer : il approche son visage de lui, intensifiant ainsi l'odeur nauséabonde qu'il dégage, et continue de parler. Enfin, de hurler.
"Tu t'es foutu dans la merde mon gars ! Oui, dans la merde !
Tu sais ce qu'on va faire ? On va appeler Roumert et lui demander de virer ses cowboys. T'as intérêt à être sacrément convaincant. Sinon je te sors tes putains de boyaux avec ça..." *Il montre son gros couteau* "... et je te les fais bouffer !"
Géraud se redresse et se saisit de son téléphone. Il compose un numéro.
...
"Roumert ? Vous êtes en direct du braquage de la banque. Ouais.
Dites à vos hommes de rester à distance et de ne rien tenter, sinon on bute les otages. C'est aussi simple que ça. Et on ne plaisante pas."
Géraud tend le téléphone à Jean-François.
"Tiens, dis-lui qui tu es et qu'il ordonne à ses hommes de lever le camp, pas un mot de plus."
Il tient toujours le combiné, à bout de bras, plaqué sur la joue du directeur de banque. Il se prépare à l'éloigner immédiatement, au cas où le directeur tenterait un truc, genre dire à Roumert quelque chose qu'il ne faudrait pas, comme le fait qu'ils ont tués tous les gardes.
De son autre main, il place son couteau sous la gorge de Jean-François.
Une fois qu'il aura dit ce qu'il faut, il reprendra la 'conversation' avec Roumert.
Pour toute réponse à ce que lui avait dit le directeur, il lui avait mis un pain dans la gueule. Pas trop fort, le pain quand même. Il attendit un instant que le directeur retrouve ses esprits pour commencer à l'engueuler.
"Y'a déjà le GIGN dehors ! C'est toi qui les a prévenu hein ?! sale enfoiré !"
Il lui refile un 'petit' coup. Petit coup de pied si il était tombé par terre, petit coup avec le manche du couteau dans le bras sinon.
Géraud ne laisse pas au directeur une chance de s'expliquer : il approche son visage de lui, intensifiant ainsi l'odeur nauséabonde qu'il dégage, et continue de parler. Enfin, de hurler.
"Tu t'es foutu dans la merde mon gars ! Oui, dans la merde !
Tu sais ce qu'on va faire ? On va appeler Roumert et lui demander de virer ses cowboys. T'as intérêt à être sacrément convaincant. Sinon je te sors tes putains de boyaux avec ça..." *Il montre son gros couteau* "... et je te les fais bouffer !"
Géraud se redresse et se saisit de son téléphone. Il compose un numéro.
...
"Roumert ? Vous êtes en direct du braquage de la banque. Ouais.
Dites à vos hommes de rester à distance et de ne rien tenter, sinon on bute les otages. C'est aussi simple que ça. Et on ne plaisante pas."
Géraud tend le téléphone à Jean-François.
"Tiens, dis-lui qui tu es et qu'il ordonne à ses hommes de lever le camp, pas un mot de plus."
Il tient toujours le combiné, à bout de bras, plaqué sur la joue du directeur de banque. Il se prépare à l'éloigner immédiatement, au cas où le directeur tenterait un truc, genre dire à Roumert quelque chose qu'il ne faudrait pas, comme le fait qu'ils ont tués tous les gardes.
De son autre main, il place son couteau sous la gorge de Jean-François.
Une fois qu'il aura dit ce qu'il faut, il reprendra la 'conversation' avec Roumert.
Administrateur Forum et BDD (et un peu angélique aussi).