03-13-2004, 10:07 AM
J'aimerais bien monsieur
Vous dire quelques mots
Dont certains, oui, au mieux
Vous saisirez l'écho.
Vos attaques sournoises,
Vos insinuations,
Remplissent donc l'ardoise
Dont je suis dérision.
Sachez donc, grand sage,
Que ces piques grossières
Ternissent encor' l'image
Qui m'était familière.
Elles ne démontrent point
Vos qualités d'esprit :
Elles ne sont que le foin
Des bêtes qui en rient.
N'aurais-je donc alors
Qu'un seul vrai défaut
Ou sont-ce vos efforts,
Vains pour trouver les mots?
Vous ne sauriez comprendre
Tous les maux qui m'habitent :
Il vous faudrait reprendre
Tous vos neurones en fuite.
J'avoue, je ne suis point
L'amant d'aucun femme
Mais je ne permet point
Qu'on rie de ce vrai drame.
Car moi, monsieur, mon coeur
Me dicte la raison
Qui évite les pleurs
De mes vrais compagnons.
Je me rend compte alors
Que tout est cruauté,
Que vos dires encore
Du sadisme sont nées.
Je ne crois pas, mon cher,
Que je sois le problème.
Vous parlez en expert,
Regardez vous vous-même.
Vous êtes prisonnier
Des justices sociales.
Vous ne pouvez niez
Que votre âme est banale.
Vous n'avez point le droit
De commenter ma vie.
Vous n'êtes point si droit,
Si pur si béni.
A quoi sert donc ma flamme,
Quand je vois, sans rancoeur,
Qu'on peut avoir la femme
Quand on manque de coeur?
Vous dire quelques mots
Dont certains, oui, au mieux
Vous saisirez l'écho.
Vos attaques sournoises,
Vos insinuations,
Remplissent donc l'ardoise
Dont je suis dérision.
Sachez donc, grand sage,
Que ces piques grossières
Ternissent encor' l'image
Qui m'était familière.
Elles ne démontrent point
Vos qualités d'esprit :
Elles ne sont que le foin
Des bêtes qui en rient.
N'aurais-je donc alors
Qu'un seul vrai défaut
Ou sont-ce vos efforts,
Vains pour trouver les mots?
Vous ne sauriez comprendre
Tous les maux qui m'habitent :
Il vous faudrait reprendre
Tous vos neurones en fuite.
J'avoue, je ne suis point
L'amant d'aucun femme
Mais je ne permet point
Qu'on rie de ce vrai drame.
Car moi, monsieur, mon coeur
Me dicte la raison
Qui évite les pleurs
De mes vrais compagnons.
Je me rend compte alors
Que tout est cruauté,
Que vos dires encore
Du sadisme sont nées.
Je ne crois pas, mon cher,
Que je sois le problème.
Vous parlez en expert,
Regardez vous vous-même.
Vous êtes prisonnier
Des justices sociales.
Vous ne pouvez niez
Que votre âme est banale.
Vous n'avez point le droit
De commenter ma vie.
Vous n'êtes point si droit,
Si pur si béni.
A quoi sert donc ma flamme,
Quand je vois, sans rancoeur,
Qu'on peut avoir la femme
Quand on manque de coeur?