04-23-2008, 10:23 AM
En tant que joueur squatter ici depuis des lustreeees, je ne peux que confirmer, pour moi la majeure partie des gros délires que j'ai eu l'ont été lors de campagnes, c'est certain.
Je me souviens encore avec émotion (sisi) de grosses crises de rire sur les campagnes Moriarty ou Interstep.
Certes il y avait toujours cette parano ambiante à cause des fuites d'informations mais les interactions étaient bien là et surtout on travaillait avec de nouvelles têtes (faire équipe avec Axe alors qu'à l'époque il était pas trop en accord avec les crédos qui étaient les miens et ceux de ma section était ... inattendu).
Une des plus grosses déception du jeu également acdécoulé d'une camapgne aussi cela dit mais bon c'était plus 'politique' que dû à l'animation de la campagne qui m'avait bien amusé!
Pour moi il est certain que les campagnes rendaient le jeu bien plus passionnant. La multiplication des opés encore récente a bien fait office de remplacement un temps mais l'euphorie est retombée.
Après pour avoir été anim, je comprend tout à fait que la charge de travail impressionne/dégoute et au final lasse.
Je me souviens encore avec émotion (sisi) de grosses crises de rire sur les campagnes Moriarty ou Interstep.
Certes il y avait toujours cette parano ambiante à cause des fuites d'informations mais les interactions étaient bien là et surtout on travaillait avec de nouvelles têtes (faire équipe avec Axe alors qu'à l'époque il était pas trop en accord avec les crédos qui étaient les miens et ceux de ma section était ... inattendu).
Une des plus grosses déception du jeu également acdécoulé d'une camapgne aussi cela dit mais bon c'était plus 'politique' que dû à l'animation de la campagne qui m'avait bien amusé!
Pour moi il est certain que les campagnes rendaient le jeu bien plus passionnant. La multiplication des opés encore récente a bien fait office de remplacement un temps mais l'euphorie est retombée.
Après pour avoir été anim, je comprend tout à fait que la charge de travail impressionne/dégoute et au final lasse.