02-26-2008, 03:21 PM
Le forgeron infernal s'est levé, affichant par son mutisme toute la morgue des statues grecques classiques.
Il tourne alternativement la tête de droite et de gauche pour saluer le pistolero maudit et la satyre infernale, d'un air de tacite reconnaissance comme les grands fauves en ont entre eux.
Oui, le hochement de tête d'un air entendu est un truc de grand fauve.
Alors que les deux premiers combattants sont sur le ring, le forgeron infernal leve haut son marteau et l'abat sur l'enclume dderrière laquelle il se tient maintenant
BRRRRANG!!! BRRRRANG!!! BRRRRANG!!!....
Le martellement syncopé ne tarde pas à être repris par la foule qui bat le rythme dans ses mains, ses pinces, ses serres voir dans ses familliers, tandis que Gammorin lui tape avec son micro sur la tete de jean hubert.
Le rythme est simple, binaire, primitif comme les tambours de guerre de l'afrique immémoriale, ou la sourde pulsation qui habite les abysses sans nom ou reve celui dont on doit taire le nom... mais pardon je divague.
La foule se livre a ce rythme prise aux tripes et tape dans ses mains attendant la réplique, comme on attend celles qui suivent un tremblement de terre
Héphaistos semble à ce moment se dissimuler au sein d'un nuage noir comme la plus profonde des nuit sans lune, probablement créé par la poussière de son tablier, et l'on ne devine plus que les contours de sa silhouette qui semble s'agiter au sein de ce nuage de noirceur...
Le marteau lui, continue de battre la mesure
BRRRRANG!!! BRRRRANG!!! BRRRRANG!!!
Il tourne alternativement la tête de droite et de gauche pour saluer le pistolero maudit et la satyre infernale, d'un air de tacite reconnaissance comme les grands fauves en ont entre eux.
Oui, le hochement de tête d'un air entendu est un truc de grand fauve.
Alors que les deux premiers combattants sont sur le ring, le forgeron infernal leve haut son marteau et l'abat sur l'enclume dderrière laquelle il se tient maintenant
BRRRRANG!!! BRRRRANG!!! BRRRRANG!!!....
Le martellement syncopé ne tarde pas à être repris par la foule qui bat le rythme dans ses mains, ses pinces, ses serres voir dans ses familliers, tandis que Gammorin lui tape avec son micro sur la tete de jean hubert.
Le rythme est simple, binaire, primitif comme les tambours de guerre de l'afrique immémoriale, ou la sourde pulsation qui habite les abysses sans nom ou reve celui dont on doit taire le nom... mais pardon je divague.
La foule se livre a ce rythme prise aux tripes et tape dans ses mains attendant la réplique, comme on attend celles qui suivent un tremblement de terre
Héphaistos semble à ce moment se dissimuler au sein d'un nuage noir comme la plus profonde des nuit sans lune, probablement créé par la poussière de son tablier, et l'on ne devine plus que les contours de sa silhouette qui semble s'agiter au sein de ce nuage de noirceur...
Le marteau lui, continue de battre la mesure
BRRRRANG!!! BRRRRANG!!! BRRRRANG!!!