02-08-2008, 06:45 PM
Le Père Fritz leva les yeux de la blessure de Philibert, toisant Ian.
"Si vous voulez que je prenne la direction des opérations, je l'accepte mon Fils."
Il prit alors un ton grave, regardant tour à tour les Anges.
Il avala à long trait une gorgée d'air, réflechissant à la suite des événements. Il mit une main parternelle sur l'épaule du colosse blessé :
"Toi, tu te reposes mon Fils."
Regardant toujours son acolyte :
"Jimmy, prenez soin de lui, veillez à ce que le morceau de viande puant qu'il se traine - et qui était autrefois sa jambe - ne cause pas la mort de notre bon Philibert."
Il plongea son regard dans celui de Ian :
"Je suis conscient de vos capacités mon Fils. Au combat, il ne fait aucun doute que vous excellez. En revanche, si vous ne pouvez pas obtenir de votre cervelle une concentration maximale pendant toute la durée de l'opération, vous ne pouvez prendre la responsabilité de nous guider."
"On ne demande pas à un rabbin de faire la messe dans notre paroisse."
"Vous n'êtes pas fait pour ce rôle, voilà tout."
"Mais je vous charge d'un truc que vous savez faire : retrouver ce monstre et le bousiller. Je suis conscient du talent du duo que vous formez avec Toriah, alors je serais rassuré si vous y alliez tous les deux."
"Mykhael, si vous acceptez des conseils de la part d'une pauvre prêtre, je vous demanderai alors de vous occuper de l'avant garde, histoire de ne pas nous faire attaquer de tous les côtés."
"Ceiphied, je vous laisse choisir : une bonne bagarre avec un monstre, pour voler la vedette à notre couple, ou bien rester ici afin de sécuriser le périmètre. J'aimerais vous avoir sous la main en cas de danger. Après tout, vous êtes du TMC."
Il se tourne à nouveau vers Ian :
"Au fait, sachez que nous avons apparement dérangé la créature du malin pendant son repas : elle trainait un pauvre cadavre sur toute la longueur de la canalisation. Son appétit n'est pas pour autant diminué."
"Je vais vous demander de rebrousser chemin, jusqu'au dernier angle afin de voir si il est toujours dans le coin. Je crois aussi avoir apperçu une malette la dernière fois. Et nous ne l'avons pas fouillé. Il faudrait aller la récupérer. Je compte sur vous, mon Fils, et que Dieu vous bénisse."
"Si le coin est sur, tentez de pousser votre avance jusqu'au cadavre du bourgeois - monsieur costard cravate - et vérifiez bien ses poches. Et après, revenez. Ne prenez aucun risque."
Le Père Fritz soupira longuement :
"Quant à moi, je vais essayer de savoir qui est ce merdeux."
Et dans un geste très peu théâtral, il se tourna vers le clochard, qui avait la seule qualité d'être ton sur ton avec ces égouts de merde.
"Si vous voulez que je prenne la direction des opérations, je l'accepte mon Fils."
Il prit alors un ton grave, regardant tour à tour les Anges.
Il avala à long trait une gorgée d'air, réflechissant à la suite des événements. Il mit une main parternelle sur l'épaule du colosse blessé :
"Toi, tu te reposes mon Fils."
Regardant toujours son acolyte :
"Jimmy, prenez soin de lui, veillez à ce que le morceau de viande puant qu'il se traine - et qui était autrefois sa jambe - ne cause pas la mort de notre bon Philibert."
Il plongea son regard dans celui de Ian :
"Je suis conscient de vos capacités mon Fils. Au combat, il ne fait aucun doute que vous excellez. En revanche, si vous ne pouvez pas obtenir de votre cervelle une concentration maximale pendant toute la durée de l'opération, vous ne pouvez prendre la responsabilité de nous guider."
"On ne demande pas à un rabbin de faire la messe dans notre paroisse."
"Vous n'êtes pas fait pour ce rôle, voilà tout."
"Mais je vous charge d'un truc que vous savez faire : retrouver ce monstre et le bousiller. Je suis conscient du talent du duo que vous formez avec Toriah, alors je serais rassuré si vous y alliez tous les deux."
"Mykhael, si vous acceptez des conseils de la part d'une pauvre prêtre, je vous demanderai alors de vous occuper de l'avant garde, histoire de ne pas nous faire attaquer de tous les côtés."
"Ceiphied, je vous laisse choisir : une bonne bagarre avec un monstre, pour voler la vedette à notre couple, ou bien rester ici afin de sécuriser le périmètre. J'aimerais vous avoir sous la main en cas de danger. Après tout, vous êtes du TMC."
Il se tourne à nouveau vers Ian :
"Au fait, sachez que nous avons apparement dérangé la créature du malin pendant son repas : elle trainait un pauvre cadavre sur toute la longueur de la canalisation. Son appétit n'est pas pour autant diminué."
"Je vais vous demander de rebrousser chemin, jusqu'au dernier angle afin de voir si il est toujours dans le coin. Je crois aussi avoir apperçu une malette la dernière fois. Et nous ne l'avons pas fouillé. Il faudrait aller la récupérer. Je compte sur vous, mon Fils, et que Dieu vous bénisse."
"Si le coin est sur, tentez de pousser votre avance jusqu'au cadavre du bourgeois - monsieur costard cravate - et vérifiez bien ses poches. Et après, revenez. Ne prenez aucun risque."
Le Père Fritz soupira longuement :
"Quant à moi, je vais essayer de savoir qui est ce merdeux."
Et dans un geste très peu théâtral, il se tourna vers le clochard, qui avait la seule qualité d'être ton sur ton avec ces égouts de merde.