12-17-2007, 03:54 PM
Le vieux coucou qui leur servait de véhicule de transport vrombissait à pleine allure tel un veau à deux doigts de rendre l'âme, tandis que ses occupants regardaient le sol s'éloigner de plus en plus, avec détachement pour certains, curiosité voire peur pour d'autres. Une fois une distance raisonnable mise entre eux et leur supérieur les langues toutefois commencèrent à se délier.
(DR)Putain, j'ai trop hâte d'être sur place, on va tout raser à coup de Napalm, ça sera comme au Vietnam !
(DK)Si on t'y laissait avec un pétard dans le cul et quelques banderolles, je trouve que ça ferait très 14 juillet.
(DR)Pardon ?
(DK)Ben quoi ? C'est pour exporter la cul-ture française ! Bwahahaha !
(DO)Silence. On a plus de 10 heures de trajet sans compter les escales, et vous commencez déjà à me fatiguer.
(DF)Personnellement ce n'est pas cela que je lui aurais mis dans l'arrière train, mais chacun ses goûts, comme on dit ... hein ma puce ?
DF s'adressait à une jeune femme, recluse dans un coin, un collier autour du coup, quasi nue, qui prenait bien garde à ne pas croiser leur regard.
(DM)C'est qui celle là ? Je ne savais pas qu'on avait apporté à bouffer.
(DF)Pas touche, du moins pour le moment. C'est ma call girl.
(DO)Je ne pense pas que le Baron aie autorisé des personnes supplémentaires.
(DF)Voyons voyons, ne soyez pas ridicule, ce n'est qu'un objet, c'est comme si vous demandiez à l'autre balourd de se détacher de sa mitrailleuse, ça ne serait pas raisonnable ... et si vous le souhaitez je peux même vous le prouver par les faits.
Elle fixa dans les yeux le démon d'andromalius, d'un air coquin, se mordant nerveusement la lèvre inférieure. Ce dernier détourna le regard, visiblement il n'avait plus envie de parler, mais plutôt de réfréner quelque chose qui se produisait. Un phénomène qu'il détestait au plus haut point mais que toute incarnation masculine devait subir de temps à autre. Il était sans aucun doute resté trop longtemps sur terre. Il grommela.
(DV)Ce voyage et cette missions ne devraient être qu'une simple formalité, nous avons toutes les cartes en main. Je maitrise totalement la situation.
(DM)Je ne te le fais pas dire coco, j'ai même prévu des costumes pour s'intégrer parmi les autochtones. J'ai aussi des textes tout prêt si vous voulez, je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je suis sûr que ça sera vachement classe, ils n'y verront que du feu !
(DB)Je m'emmerde. C'est quand qu'on arrive ? J'espère qu'il y a de la neige là bas ...
(DR)On est en été, crétin.
(DB)Blablabla. Cause à ma main.
(DO)Ca suffit j'ai dit. Je commence à m'impatienter.
(DK)Pète un coup, tu dois encore nous subir quelques jours, tu devras faire avec, et puis t'es pas gradé, alors andro ou pas, tu fais pas chier.
L'Andromalius fixa le Kobal avec des yeux écarquillés. Y voyant une provocation flagrante de sa part, il décida de ne pas insister, mais il nota cependant quelque chose sur son carnet. L'autre en profita pour lui tirer la langue de la manière la plus infantile qu'il soit. Il ne serait pas si doué pour esquiver les coups que le Bélial la lui aurait sans aucun doute arrachée.
(DR)Putain, j'ai trop hâte d'être sur place, on va tout raser à coup de Napalm, ça sera comme au Vietnam !
(DK)Si on t'y laissait avec un pétard dans le cul et quelques banderolles, je trouve que ça ferait très 14 juillet.
(DR)Pardon ?
(DK)Ben quoi ? C'est pour exporter la cul-ture française ! Bwahahaha !
(DO)Silence. On a plus de 10 heures de trajet sans compter les escales, et vous commencez déjà à me fatiguer.
(DF)Personnellement ce n'est pas cela que je lui aurais mis dans l'arrière train, mais chacun ses goûts, comme on dit ... hein ma puce ?
DF s'adressait à une jeune femme, recluse dans un coin, un collier autour du coup, quasi nue, qui prenait bien garde à ne pas croiser leur regard.
(DM)C'est qui celle là ? Je ne savais pas qu'on avait apporté à bouffer.
(DF)Pas touche, du moins pour le moment. C'est ma call girl.
(DO)Je ne pense pas que le Baron aie autorisé des personnes supplémentaires.
(DF)Voyons voyons, ne soyez pas ridicule, ce n'est qu'un objet, c'est comme si vous demandiez à l'autre balourd de se détacher de sa mitrailleuse, ça ne serait pas raisonnable ... et si vous le souhaitez je peux même vous le prouver par les faits.
Elle fixa dans les yeux le démon d'andromalius, d'un air coquin, se mordant nerveusement la lèvre inférieure. Ce dernier détourna le regard, visiblement il n'avait plus envie de parler, mais plutôt de réfréner quelque chose qui se produisait. Un phénomène qu'il détestait au plus haut point mais que toute incarnation masculine devait subir de temps à autre. Il était sans aucun doute resté trop longtemps sur terre. Il grommela.
(DV)Ce voyage et cette missions ne devraient être qu'une simple formalité, nous avons toutes les cartes en main. Je maitrise totalement la situation.
(DM)Je ne te le fais pas dire coco, j'ai même prévu des costumes pour s'intégrer parmi les autochtones. J'ai aussi des textes tout prêt si vous voulez, je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je suis sûr que ça sera vachement classe, ils n'y verront que du feu !
(DB)Je m'emmerde. C'est quand qu'on arrive ? J'espère qu'il y a de la neige là bas ...
(DR)On est en été, crétin.
(DB)Blablabla. Cause à ma main.
(DO)Ca suffit j'ai dit. Je commence à m'impatienter.
(DK)Pète un coup, tu dois encore nous subir quelques jours, tu devras faire avec, et puis t'es pas gradé, alors andro ou pas, tu fais pas chier.
L'Andromalius fixa le Kobal avec des yeux écarquillés. Y voyant une provocation flagrante de sa part, il décida de ne pas insister, mais il nota cependant quelque chose sur son carnet. L'autre en profita pour lui tirer la langue de la manière la plus infantile qu'il soit. Il ne serait pas si doué pour esquiver les coups que le Bélial la lui aurait sans aucun doute arrachée.