12-05-2007, 10:14 PM
« Général, je peux vous poser une question ? Pourquoi vous obstinez vous à me mitrailler chaque matin alors que vous savez pertinemment que je ne peux pas mourir au Paradis ? »
« J’espère un miracle, espèce de tête de bite blafarde ! Ensuite, te mitrailler ta gueule de gland me procure toujours un plaisir sans borne et j’ai de toute manière pour credo de ne jamais abandonner une guerre, espèce de face de danone putréfié. Nom d’une pute borgne, je me demanderai toujours pourquoi on m’a collé un suce boules pareil dans les pattes ! »
De fait, le Général le savait pertinemment. Débarquer avec un char Tigre dans le bureau d’un pisseux de Dominique pour réclamer des comptes au sujet de certaines limitations chez ses subordonnés n’avait pas été aussi bien perçu que prévu. On ne l’avait pas dégradé –le Patron connaissait trop sa valeur martiale- mais on lui avait quand même collé un connard de chez Didier pour lui apprendre « les vertus bienfaitrices de la communication courtoise ».
Chierie.
Pénétrant dans son immense bureau aux murs remplis d’armes et de trophées de toutes sorts, le Général alla s’asseoir dans un immense fauteuil de cuir noir, alluma un cigare cubain gros comme un missile soviétique –bien qu’il avait toujours été un fervent défenseur d’une atomisation rapide de l’ile Castriste- et se tourna vers ce crétin de Bertrand.
« Opérations prévues? »
« Consultation de dossier, Sir ! »
« Quelle zone du front? »
« Immac, Sir ! »
Ah oui, ça lui revenait, un petit patelin français auquel il fallait porter une attention particulière.
Pas de dynamitage de dossier en vue, donc…
« Faites moi voir ça, bidasse ! Hum. Affichez moi les données sur les gradés d’chez nous dans ce bourbier »
Un immense écran se mit à grésiller avant de lâcher un flot de données militaires et plusieurs photos des têtes connues d’Immac…
« J’espère un miracle, espèce de tête de bite blafarde ! Ensuite, te mitrailler ta gueule de gland me procure toujours un plaisir sans borne et j’ai de toute manière pour credo de ne jamais abandonner une guerre, espèce de face de danone putréfié. Nom d’une pute borgne, je me demanderai toujours pourquoi on m’a collé un suce boules pareil dans les pattes ! »
De fait, le Général le savait pertinemment. Débarquer avec un char Tigre dans le bureau d’un pisseux de Dominique pour réclamer des comptes au sujet de certaines limitations chez ses subordonnés n’avait pas été aussi bien perçu que prévu. On ne l’avait pas dégradé –le Patron connaissait trop sa valeur martiale- mais on lui avait quand même collé un connard de chez Didier pour lui apprendre « les vertus bienfaitrices de la communication courtoise ».
Chierie.
Pénétrant dans son immense bureau aux murs remplis d’armes et de trophées de toutes sorts, le Général alla s’asseoir dans un immense fauteuil de cuir noir, alluma un cigare cubain gros comme un missile soviétique –bien qu’il avait toujours été un fervent défenseur d’une atomisation rapide de l’ile Castriste- et se tourna vers ce crétin de Bertrand.
« Opérations prévues? »
« Consultation de dossier, Sir ! »
« Quelle zone du front? »
« Immac, Sir ! »
Ah oui, ça lui revenait, un petit patelin français auquel il fallait porter une attention particulière.
Pas de dynamitage de dossier en vue, donc…
« Faites moi voir ça, bidasse ! Hum. Affichez moi les données sur les gradés d’chez nous dans ce bourbier »
Un immense écran se mit à grésiller avant de lâcher un flot de données militaires et plusieurs photos des têtes connues d’Immac…