09-25-2007, 03:40 PM
Beep… beep… beep…
J’ouvre la porte du micro onde pour en sortir la compote… il faudra que je remercie l’administration de m’avoir prêté un appartement suffisamment bien équipé pour que je cuisine un peu.
J’ai découvert que ça avais un effet calmant, quand on sort d’une journée de travail éprouvante, de se mettre en cuisine et de suivre les instructions d’un bouquin. Il faut juste faire attention aux petits détails.
Quand je pense qu’a une époque, mes serviteurs ne me laissaient pas m’approcher d’un fourneau de crainte que je ne le fasse exploser.
Avec raison, d’ailleurs.
Je me souviens encore du temps qu’il m’avait fallu pour désincruster les haricots du plafond.
Ils auraient du me prévenir qu’il faillait ouvrir la boite avant de la mettre au bain marie…
Bon, alors… mettre le lait dans la casserole, une pincée de sel, porter à ébullition. Pas trop de difficultés jusque là.
Ca va me laisser le temps de découper les légumes. La seule chose qu’ils me laissaient faire, en fait, car quand il s’agit de manier un couteau, là, je me débrouille.
Et la régularité de la tache me sort un instant la tête de mes soucis.
La petite qui fait des crises de nerf dés que je coupe la musique. Je n’aurais peut-être pas dû l’y habituer…
La gargouille qui me sert de patronne.
Le week-end en préparation, il faut que je dresse mes plans pour tacher de me trouver le plus loin possible du chef de troupe, histoire d’éviter d’avoir à lui coller ma main dans la tête s’il devient un peu trop entreprenant.
Je risquerais de la lui arracher…
Le mal que j’ai à localiser certaines personnes… mais ça, vu le temps que je peux y passer, ce n’es pas étonnant.
Et ca reste loin du niveau des emmerdes Immaciennes.
La préparation de mon voyage pour retourner prier sur sa tombe dés la fin de mon boulot en crèche.
Soupir…
C’est quoi ce bruit ?
Je me retourne juste à temps pour voir la casserole entrer en éruption.
Et merde…
Je me précipite pour couper le gaz, afin de limiter les dégâts, avant de sortir un petit carnet de note de ma poche pour y noter une remarque.
Qui sait, avec le temps, je ferais peut-être un cuistot potable.
En attendant, j’ai plus de lait pour ce que je voulais faire, donc il va falloir commander une pizza pour accompagner les légumes.
Ils vont aussi finir par me connaître, ces livreurs…
J’ouvre la porte du micro onde pour en sortir la compote… il faudra que je remercie l’administration de m’avoir prêté un appartement suffisamment bien équipé pour que je cuisine un peu.
J’ai découvert que ça avais un effet calmant, quand on sort d’une journée de travail éprouvante, de se mettre en cuisine et de suivre les instructions d’un bouquin. Il faut juste faire attention aux petits détails.
Quand je pense qu’a une époque, mes serviteurs ne me laissaient pas m’approcher d’un fourneau de crainte que je ne le fasse exploser.
Avec raison, d’ailleurs.
Je me souviens encore du temps qu’il m’avait fallu pour désincruster les haricots du plafond.
Ils auraient du me prévenir qu’il faillait ouvrir la boite avant de la mettre au bain marie…
Bon, alors… mettre le lait dans la casserole, une pincée de sel, porter à ébullition. Pas trop de difficultés jusque là.
Ca va me laisser le temps de découper les légumes. La seule chose qu’ils me laissaient faire, en fait, car quand il s’agit de manier un couteau, là, je me débrouille.
Et la régularité de la tache me sort un instant la tête de mes soucis.
La petite qui fait des crises de nerf dés que je coupe la musique. Je n’aurais peut-être pas dû l’y habituer…
La gargouille qui me sert de patronne.
Le week-end en préparation, il faut que je dresse mes plans pour tacher de me trouver le plus loin possible du chef de troupe, histoire d’éviter d’avoir à lui coller ma main dans la tête s’il devient un peu trop entreprenant.
Je risquerais de la lui arracher…
Le mal que j’ai à localiser certaines personnes… mais ça, vu le temps que je peux y passer, ce n’es pas étonnant.
Et ca reste loin du niveau des emmerdes Immaciennes.
La préparation de mon voyage pour retourner prier sur sa tombe dés la fin de mon boulot en crèche.
Soupir…
C’est quoi ce bruit ?
Je me retourne juste à temps pour voir la casserole entrer en éruption.
Et merde…
Je me précipite pour couper le gaz, afin de limiter les dégâts, avant de sortir un petit carnet de note de ma poche pour y noter une remarque.
Quote:Note numéro 38 : le lait déborde quand il est trop chaud… toujours le garder sous surveillance quand on le met sur le feu.
NB : C’est moins dur que de nettoyer le lait brulé…
Qui sait, avec le temps, je ferais peut-être un cuistot potable.
En attendant, j’ai plus de lait pour ce que je voulais faire, donc il va falloir commander une pizza pour accompagner les légumes.
Ils vont aussi finir par me connaître, ces livreurs…