10-11-2007, 10:59 AM
%!*$ de couloir de métro. Dans un pays civilisé, les gens mettent des poteaux indicateurs, des directions...
Là, on a juste le droit à une annonce d'une voix suave "Dong dong ding ! Nous vous confirmons que le terminus de ce métro est bien à l'opposé de votre direction"...
Pfff...
Bousculer les crétins qui restent devant les portes, resortir au moment ou les portes se ferment...et finir dans une station inconnue, paumée dans les bas-fonds, ou personne ne m'attend.
Ils sont tous partis à la station d'à coté. Oh les c...
Bon ne pas s'énerver, resortir de là, l'air de rien. Pourquoi il me regarde bizarrement celui-là ? Bon on va dire que c'est le stress. C'est surement ca. Ou la déshydratation.
Une cité, une usine, des égouts, une odeur infecte... mais finalement, des visages familiers. Phil, et la Chef. J'ignore toujours comment une phrase malheureuse, une idée à propos "d'une ptite virée au bord des docks" a pu tourner en expédition suicide mais secrète à 2 pas du QG des cornus. Ce que Nyrielle projète, elle seule le sait, et on en saura plus le moment voulu. Ptet.
"On reste dans les couloirs de la station, et on attend les autres", dit la Chef.
Pas de problème, j'en profite pour repérer les lieux. Voyons voir : un second sous-sol, complètement désert, et aucune autre entrée que celle qu'on surveille. Ca se présente pas trop mal. Niveau matos, je vérifie mon backpack : une batte chromée flambant neuve, jamais servie, et de quoi rafraichir la fine équipe. Rien d'exceptionnel, mais ca suffira pour survivre ici.
Phil qui recoit un appel : "...........La décharge....bip."
Une Chef incroyablement bavarde prononce un simple mot, et tout le monde se met en mouvement. Le tout, c'est de ne pas être louche, rester furtif, et de ne pas trainer.
Je sens que l'action se rapproche, mon bapteme du feu à Immac aura bientôt lieu.
Eh ben c'est parti.
Là, on a juste le droit à une annonce d'une voix suave "Dong dong ding ! Nous vous confirmons que le terminus de ce métro est bien à l'opposé de votre direction"...
Pfff...
Bousculer les crétins qui restent devant les portes, resortir au moment ou les portes se ferment...et finir dans une station inconnue, paumée dans les bas-fonds, ou personne ne m'attend.
Ils sont tous partis à la station d'à coté. Oh les c...
Bon ne pas s'énerver, resortir de là, l'air de rien. Pourquoi il me regarde bizarrement celui-là ? Bon on va dire que c'est le stress. C'est surement ca. Ou la déshydratation.
Une cité, une usine, des égouts, une odeur infecte... mais finalement, des visages familiers. Phil, et la Chef. J'ignore toujours comment une phrase malheureuse, une idée à propos "d'une ptite virée au bord des docks" a pu tourner en expédition suicide mais secrète à 2 pas du QG des cornus. Ce que Nyrielle projète, elle seule le sait, et on en saura plus le moment voulu. Ptet.
"On reste dans les couloirs de la station, et on attend les autres", dit la Chef.
Pas de problème, j'en profite pour repérer les lieux. Voyons voir : un second sous-sol, complètement désert, et aucune autre entrée que celle qu'on surveille. Ca se présente pas trop mal. Niveau matos, je vérifie mon backpack : une batte chromée flambant neuve, jamais servie, et de quoi rafraichir la fine équipe. Rien d'exceptionnel, mais ca suffira pour survivre ici.
Phil qui recoit un appel : "...........La décharge....bip."
Une Chef incroyablement bavarde prononce un simple mot, et tout le monde se met en mouvement. Le tout, c'est de ne pas être louche, rester furtif, et de ne pas trainer.
Je sens que l'action se rapproche, mon bapteme du feu à Immac aura bientôt lieu.
Eh ben c'est parti.