07-15-2007, 05:23 AM
Don Camillo vs John McClane
Autour d'eux, les gens sont partagés entre la peur panique et le soulagement. Ils les considèrent d'un air effrayé notamment Gabrielle et le p'tit gamin.
* Barry_Killahan sort sa plaque et la montre bien en évidence :
"Pas de panique, je suis de la police, tout va bien, je répète, tout va bien !"
mais à ce moment;
"
*John-Houx laisse parler sa voix puissante :
"Et dans la vallée de l'ombre et de la mort, nous ne connaitrons pas la crainte, car nous savons que Dieu est avec nous. Chantons mes frères, chantons les louanges pour le seigneur !"
Alors qu'il prend la parole, un silence total se fait au sein du hall. Son autorité naturelle et sa prestance d'homme d'Eglise ont sans doute beaucoup jouées là-dedans. Tous les regards convergent vers lui et les fidèles sont suspendus à ses lèvres, avides d'entendre Sa bonne parole.
* Barry Killahan soupire et va fouiller le cadavre le plus proche en espérant trouver quelque chose d'intéressant et trouve en plus du bardas habituels, un talkie-walkie.
* John Joux poursuit :
"Nous avons vaincu aujourd'hui. Les infidèles sont morts de la main des Hommes glorieux et qui possedent la FOI. Mais Seigneur ne nous attribuez pas votre gloire, mais réservez-la tout entière pour votre nom."
"MAIS N'OUBLIEZ PAS, CECI est UNE PLAIE DIVINE, car vous avez pêcher dans cet endroit de débauche et de luxe. Rappelez vous que seul le miséricordieux accède aux portes du Paradis."
"HONTE A VOUS, HONTE A VOUS !"
* Gabrielle regarde d'un air scandalisé John Houx suite à son sermon.
* Hary Popper récupére son jeux de tekken et se dit que piquer un ordinateur portable dans tout ce bordel, ça le fera grave...
Hommes, femmes et enfants baissent les yeux. Honteux et repentants, le prêtre est comme le nouveau messie pour eux. Le public est captivé. Un ordre et ils obéiront.
* Gabrielle souffle alors au prêtre : "En signe de repentance, je prendrais les bijoux qu'il y a dans ces boutiques, croyez moi, je suis le Feu Divin.
Pretre, nous devrions prendre ces objets de péché, n'oubliez pas, le luxe est un pecher, nous devrions prendre des bijoux et je m'occuperai personnellement de leur destruction."
* John Houx, n'écoute plus et poursuit :
"Détruisez ce LIEU DE PEU DE FOI. Detruisez l'OEUVRE DU MALIN"
"QUE LES FLAMMES DE LA PURIFICATION DETRUISENT CE LIEU IMPIE"
*la foule* IL A RAISON ! OUI ! OUI !
*la foule* BRULONS CE LIEU !
Déjà tous s'activent et commencent à saccager les boutiques attenantes. Un type est même en train de donner des coups de pieds dans des écrans géants.
* Gabrielle se précipite sur les bijoux pour en rafler un max. Elle n'a aucun problème à faire une razzia sur bagues, colliers et autres orfèvreries.
* Hary dérobe un superbe portable dernier cri, un ipod et quelques jeux.
* Barry Killahan ramasse la kalash de sa main gauche et tire une rafale en l'air.
Quand Barry tire sa rafale, la foule s'immobilise un instant pour le regarder et un homme lance à l'intention de John-Houx :
"Que devons-nous faire, ô prophète ? 'Est-ce un ennemi ?"
"CONTINUEZ, BRULEZ LES IDOLES PAIENNES"
* Barry, d'une voix puissante :
"Okay tas de mous du bulbes, la loi, ici, c'est moi. Le premier que je vois piller quelque chose, je le shoote d'une bastos dans le crâne, est-ce que c'est clair ?"
* John Houx s'approche de Barry
* Barry Killahan pointe son flingue sur John
* John Houx pointe ses armes sur Barry :
John : "Tu fais une grave erreur mon Fils."
Barry : "Hin hin ! Je sais ce que tu penses : C'est six fois qu'il a tiré ou c'est cinq seulement ?". Si tu veux savoir, dans tout ce bordel j'ai pas très bien compté non plus. Mais c'est un Desert Eagle, le plus puissant soufflant qu'il y ait au monde, un calibre à vous arracher toute la cervelle. Tu dois te poser qu'une question : Est-ce que je tente ma chance ? Vas-y, tu la tente ou pas ?"
John : " Et bien mon fils... je vais voir ce que dis la bible à ce sujet."
* John Houx lâche ses armes sur le sol, et sort une bible de sa soutane.
John : "Voyons voir... peut etre que la parole divine nous éclairera."
* Ouvrant sa bible, le prêtre en sort un Colt .45 et le pointe sur Barry, et alors qu'il est sur le point de presser la gâchette (normalement j'ai tiré mais bon, Nergal est revenu dans le temps pour éviter un meurtre
)
Alors qu'ils se braquent l'un l'autre, dans une scène digne des meilleurs films de John Woo au moment où le prêtre s'apprete à appuyer sur la détente, le Talkie-Walkie que Barry Killahan a récupéré grésille :
"Equipe C... Au rapport... équipe C, répondez... quelle est la situation dans l'aile est ?"
"Equipe C, nous sommes prêts à répandre le virus..."
"Gzzzz...."
Visiblement le mec à l'autre bout attend une réponse.
* Barr Killahan lâche la Kalash et porte la main au talkie
* John Houx baisse son flingue, visiblement la donne change l'affaire.
Barry : "Equipe C, on a un ennui, un espèce de curé qui nous a tiré dessus, ramenez vous, vite!"
Arabe : "Un curé ? Qu'est-ce que vous racontez ?! Abattez-moi ce chien d'occidental !"
Barry : "Le type a descendu Khaled!"
Arabe : "Mais... Ce n'est pas Malik a l'appareil. Qui êtes VOUS ?"
* John Houx tire alors dans le talkie walkie
Une balle vient se loger dans le haut parleur du talkie qui grésille et emet quelques petites étincelles avant de rendre l'âme. TALKIE WALKIE IST KAPUT.
* Barry Killahan le lâche, le talkie explose au sol.
* John Houx tient toujours son Colt.45 a la main
John : "Année de fabrication, 1911. Une arme magnifique. Elle a fait la guerre tu sais mon Fils. Les deux mêmes. Elle s'appelle Marie Madeleine. Avec mes autres armes... c'est la putain de SAINTE TRINITE"
Barry : "Et si on allait botter le cul du Diable au lieu de s'en prendre à ses petites putes de service ?"
* John Houx baisse son Colt
John : "Tu as fais la guerre Barry ?"
Barry : "La guerre contre le crime, ouais. Et crois moi, j'ai buté plus de type que Rambo dans ses 3 films."
"Tu me parrais fiable, mon Fils. J'aimerais mener une croisade contre le Malin et ses "putes"..comme tu dis."
* John-Houx sourit, et range son Colt dans sa bible, puis s'approche de Barry et tend la main.
* Barry Killahan baisse son flingue et le range dans son holster, puis tend la main vers John... avant de lui foutre un gros poing dans la gueule
Son poing passe à quelques centimètres du visage du prêtre qui n'a eu que le temps de bouger légèrement la tête pour esquiver.
Barry : "Retire moi dessus et j'te crève, Don Camillo, c'est clair ?"
John : "Je comprends votre colère Barry. Mais si c'était le Malin qui avait inspiré mon geste, c'est votre tête qui serait a la place du talkie walkie. Mais je crois que les Arabes vont arriver, mieux vaut se preparer."
* Barry Killahan se calme un peu
Barry : "Prends ce gilet par balle, Don Camillo...(il lui jette le gilet aux pieds) Ca pourra vous être utile."
John : "La FOI est mon seule bouclier."
* John Houx lâche le Kevlar puis crie à la foule toujours présente :
"Mes Fils. D'autres TERRORISTES sont dans le batiment. Sortez car les Apotres de Dieu vont s'en charger. Mettez vous à l'abri, allez dans l'église la plus proche."
*foule* "OUI !"
*foule* "FUYONS !"
Comme un seul homme, la foule se rue vers les sorties, dans une joyeuse débandade. Quelques uns se piétinent même dans la cohue.
Autour d'eux, les gens sont partagés entre la peur panique et le soulagement. Ils les considèrent d'un air effrayé notamment Gabrielle et le p'tit gamin.
* Barry_Killahan sort sa plaque et la montre bien en évidence :
"Pas de panique, je suis de la police, tout va bien, je répète, tout va bien !"
mais à ce moment;
"
*John-Houx laisse parler sa voix puissante :
"Et dans la vallée de l'ombre et de la mort, nous ne connaitrons pas la crainte, car nous savons que Dieu est avec nous. Chantons mes frères, chantons les louanges pour le seigneur !"
Alors qu'il prend la parole, un silence total se fait au sein du hall. Son autorité naturelle et sa prestance d'homme d'Eglise ont sans doute beaucoup jouées là-dedans. Tous les regards convergent vers lui et les fidèles sont suspendus à ses lèvres, avides d'entendre Sa bonne parole.
* Barry Killahan soupire et va fouiller le cadavre le plus proche en espérant trouver quelque chose d'intéressant et trouve en plus du bardas habituels, un talkie-walkie.
* John Joux poursuit :
"Nous avons vaincu aujourd'hui. Les infidèles sont morts de la main des Hommes glorieux et qui possedent la FOI. Mais Seigneur ne nous attribuez pas votre gloire, mais réservez-la tout entière pour votre nom."
"MAIS N'OUBLIEZ PAS, CECI est UNE PLAIE DIVINE, car vous avez pêcher dans cet endroit de débauche et de luxe. Rappelez vous que seul le miséricordieux accède aux portes du Paradis."
"HONTE A VOUS, HONTE A VOUS !"
* Gabrielle regarde d'un air scandalisé John Houx suite à son sermon.
* Hary Popper récupére son jeux de tekken et se dit que piquer un ordinateur portable dans tout ce bordel, ça le fera grave...
Hommes, femmes et enfants baissent les yeux. Honteux et repentants, le prêtre est comme le nouveau messie pour eux. Le public est captivé. Un ordre et ils obéiront.
* Gabrielle souffle alors au prêtre : "En signe de repentance, je prendrais les bijoux qu'il y a dans ces boutiques, croyez moi, je suis le Feu Divin.
Pretre, nous devrions prendre ces objets de péché, n'oubliez pas, le luxe est un pecher, nous devrions prendre des bijoux et je m'occuperai personnellement de leur destruction."
* John Houx, n'écoute plus et poursuit :
"Détruisez ce LIEU DE PEU DE FOI. Detruisez l'OEUVRE DU MALIN"
"QUE LES FLAMMES DE LA PURIFICATION DETRUISENT CE LIEU IMPIE"
*la foule* IL A RAISON ! OUI ! OUI !
*la foule* BRULONS CE LIEU !
Déjà tous s'activent et commencent à saccager les boutiques attenantes. Un type est même en train de donner des coups de pieds dans des écrans géants.
* Gabrielle se précipite sur les bijoux pour en rafler un max. Elle n'a aucun problème à faire une razzia sur bagues, colliers et autres orfèvreries.
* Hary dérobe un superbe portable dernier cri, un ipod et quelques jeux.
* Barry Killahan ramasse la kalash de sa main gauche et tire une rafale en l'air.
Quand Barry tire sa rafale, la foule s'immobilise un instant pour le regarder et un homme lance à l'intention de John-Houx :
"Que devons-nous faire, ô prophète ? 'Est-ce un ennemi ?"
"CONTINUEZ, BRULEZ LES IDOLES PAIENNES"
* Barry, d'une voix puissante :
"Okay tas de mous du bulbes, la loi, ici, c'est moi. Le premier que je vois piller quelque chose, je le shoote d'une bastos dans le crâne, est-ce que c'est clair ?"
* John Houx s'approche de Barry
* Barry Killahan pointe son flingue sur John
* John Houx pointe ses armes sur Barry :
John : "Tu fais une grave erreur mon Fils."
Barry : "Hin hin ! Je sais ce que tu penses : C'est six fois qu'il a tiré ou c'est cinq seulement ?". Si tu veux savoir, dans tout ce bordel j'ai pas très bien compté non plus. Mais c'est un Desert Eagle, le plus puissant soufflant qu'il y ait au monde, un calibre à vous arracher toute la cervelle. Tu dois te poser qu'une question : Est-ce que je tente ma chance ? Vas-y, tu la tente ou pas ?"
John : " Et bien mon fils... je vais voir ce que dis la bible à ce sujet."
* John Houx lâche ses armes sur le sol, et sort une bible de sa soutane.
John : "Voyons voir... peut etre que la parole divine nous éclairera."
* Ouvrant sa bible, le prêtre en sort un Colt .45 et le pointe sur Barry, et alors qu'il est sur le point de presser la gâchette (normalement j'ai tiré mais bon, Nergal est revenu dans le temps pour éviter un meurtre
)Alors qu'ils se braquent l'un l'autre, dans une scène digne des meilleurs films de John Woo au moment où le prêtre s'apprete à appuyer sur la détente, le Talkie-Walkie que Barry Killahan a récupéré grésille :
"Equipe C... Au rapport... équipe C, répondez... quelle est la situation dans l'aile est ?"
"Equipe C, nous sommes prêts à répandre le virus..."
"Gzzzz...."
Visiblement le mec à l'autre bout attend une réponse.
* Barr Killahan lâche la Kalash et porte la main au talkie
* John Houx baisse son flingue, visiblement la donne change l'affaire.
Barry : "Equipe C, on a un ennui, un espèce de curé qui nous a tiré dessus, ramenez vous, vite!"
Arabe : "Un curé ? Qu'est-ce que vous racontez ?! Abattez-moi ce chien d'occidental !"
Barry : "Le type a descendu Khaled!"
Arabe : "Mais... Ce n'est pas Malik a l'appareil. Qui êtes VOUS ?"
* John Houx tire alors dans le talkie walkie
Une balle vient se loger dans le haut parleur du talkie qui grésille et emet quelques petites étincelles avant de rendre l'âme. TALKIE WALKIE IST KAPUT.
* Barry Killahan le lâche, le talkie explose au sol.
* John Houx tient toujours son Colt.45 a la main
John : "Année de fabrication, 1911. Une arme magnifique. Elle a fait la guerre tu sais mon Fils. Les deux mêmes. Elle s'appelle Marie Madeleine. Avec mes autres armes... c'est la putain de SAINTE TRINITE"
Barry : "Et si on allait botter le cul du Diable au lieu de s'en prendre à ses petites putes de service ?"
* John Houx baisse son Colt
John : "Tu as fais la guerre Barry ?"
Barry : "La guerre contre le crime, ouais. Et crois moi, j'ai buté plus de type que Rambo dans ses 3 films."
"Tu me parrais fiable, mon Fils. J'aimerais mener une croisade contre le Malin et ses "putes"..comme tu dis."
* John-Houx sourit, et range son Colt dans sa bible, puis s'approche de Barry et tend la main.
* Barry Killahan baisse son flingue et le range dans son holster, puis tend la main vers John... avant de lui foutre un gros poing dans la gueule
Son poing passe à quelques centimètres du visage du prêtre qui n'a eu que le temps de bouger légèrement la tête pour esquiver.
Barry : "Retire moi dessus et j'te crève, Don Camillo, c'est clair ?"
John : "Je comprends votre colère Barry. Mais si c'était le Malin qui avait inspiré mon geste, c'est votre tête qui serait a la place du talkie walkie. Mais je crois que les Arabes vont arriver, mieux vaut se preparer."
* Barry Killahan se calme un peu
Barry : "Prends ce gilet par balle, Don Camillo...(il lui jette le gilet aux pieds) Ca pourra vous être utile."
John : "La FOI est mon seule bouclier."
* John Houx lâche le Kevlar puis crie à la foule toujours présente :
"Mes Fils. D'autres TERRORISTES sont dans le batiment. Sortez car les Apotres de Dieu vont s'en charger. Mettez vous à l'abri, allez dans l'église la plus proche."
*foule* "OUI !"
*foule* "FUYONS !"
Comme un seul homme, la foule se rue vers les sorties, dans une joyeuse débandade. Quelques uns se piétinent même dans la cohue.