06-25-2007, 11:11 AM
L’ange prend une bonne respiration pour se concentrer et prend la parole avec une assurance qu’on ne lui connaissait pas. Son timbre, sa voix sont calmes, posés, réfléchis. Il a une assurance indéniable aujourd’hui.
Gaëya,
Je marchais sur une longue route, guidé par la Foi en notre Seigneur. J’avançais le cœur en joie d’accomplir ma tache. Mais le sol que je foulais était stérile et sec. La soif étreignait ma gorge et chaque pas se faisait plus lourd.
Et tu es apparue.
Gaëya, tu es l’onde qui ruisselle et apaise les craquelures d’un terrain brulé par la chaleur. Celle qui nourrit le blé desséché par la canicule et le vent trop sec.
Tu es l’eau fraiche qui coule sur mes lèvres assoiffées et me donne gout à la vie.
Gaëya, tu es le souffle d’air qui rafraichit les journées chargées de dur labeur. Tu es le vent qui porte les soupirs d’espoir et qui ensemence les fleurs alanguies.
Tu es la brise qui caresse mon visage, chasse tous mes orages et me donne gout à la vie.
Gaëya, tu es la terre-mère, fertile et généreuse, qui offre des champs verdoyants à toutes les créatures de Dieu. Tu es le sol riche et prodigue, porteur des promesses de l’avenir.
Tu es la terre nourricière qui réconforte mes souffrances et me donne gout à la vie.
Gaëya. J’étais seul et je l’ignorais. J’étais incomplet et creux. Je n’étais qu’une ébauche de moi-même et tu es apparue, tu m’as pris dans tes bras et tu m’as embrassé. Tu as fait de moi la plus beau et le plus fort des enfants de Dieu par ton cadeau : l’Amour.
Car je t’aime, Gaëya. De tout mon cœur, de toute mon âme. Et mon seul avenir est avec toi.
Au fur et à mesure qu’Ar-Uriel parle, son auréole semble rougeoyer pour prendre la couleur d’un métal porté au blanc.
Gaëya,
Je marchais sur une longue route, guidé par la Foi en notre Seigneur. J’avançais le cœur en joie d’accomplir ma tache. Mais le sol que je foulais était stérile et sec. La soif étreignait ma gorge et chaque pas se faisait plus lourd.
Et tu es apparue.
Gaëya, tu es l’onde qui ruisselle et apaise les craquelures d’un terrain brulé par la chaleur. Celle qui nourrit le blé desséché par la canicule et le vent trop sec.
Tu es l’eau fraiche qui coule sur mes lèvres assoiffées et me donne gout à la vie.
Gaëya, tu es le souffle d’air qui rafraichit les journées chargées de dur labeur. Tu es le vent qui porte les soupirs d’espoir et qui ensemence les fleurs alanguies.
Tu es la brise qui caresse mon visage, chasse tous mes orages et me donne gout à la vie.
Gaëya, tu es la terre-mère, fertile et généreuse, qui offre des champs verdoyants à toutes les créatures de Dieu. Tu es le sol riche et prodigue, porteur des promesses de l’avenir.
Tu es la terre nourricière qui réconforte mes souffrances et me donne gout à la vie.
Gaëya. J’étais seul et je l’ignorais. J’étais incomplet et creux. Je n’étais qu’une ébauche de moi-même et tu es apparue, tu m’as pris dans tes bras et tu m’as embrassé. Tu as fait de moi la plus beau et le plus fort des enfants de Dieu par ton cadeau : l’Amour.
Car je t’aime, Gaëya. De tout mon cœur, de toute mon âme. Et mon seul avenir est avec toi.
Au fur et à mesure qu’Ar-Uriel parle, son auréole semble rougeoyer pour prendre la couleur d’un métal porté au blanc.