05-01-2007, 09:12 AM
Il parait que le talent (Mon talent en l'occurence) n'a pas de limite connue et je suis heureux de constater que meme cette bourgade reculée d'Immac peut enfin acceder (pour un prix somme toute modique) a la Connaissance et au Génie.
N'en déplaise a mes détracteurs, ceux-la meme qui par jalousie, dépit ou ignorance prennent un malin plaisir a tenter de vainement disqualifier la portée incommensurable de mon Oeuvre, le Génie ne connait pas de halte. Foin d'invoquer la Morale ou d'autres concepts qu'ils agitent de maniere simiesque sans en percevoir le sens, je parle au nom de l'Homme, pour l'Homme afin de l'élever par la Sapience.
En effet, comme le disait Kierkegaard, dans son "Apostrophe a tous ces putain de mécréants", tout est affaire d'Ethique.
Dès lors que l’homme est – existe – il est posé dans le général, il fait partie du tout. Ou le général est effectivement le tout en tant qu’unité. Ledit tout a un but qui se rejoint dans la moralité générale aussi nommé l’Éthique. En cela, l’Éthique n’a pas de but, elle est le but de ce qui est. Et de ce point de vue, l’Éthique est la moralité générale, elle est la seule moralité que peut comprendre le général parce qu’elle en découle et que, mieux encore, elle est sa fin. Le discours Éthique est aussi le seul que peut exprimer le général, et si un individu devient singulier – individu hors du général – il faut bien qu’il se taise car, dans le cas contraire, il serait incompris dans la mesure ou il ne répondrait pas à l’Éthique : incompris car incompréhensible dans le cadre du général. Kierkegaard ajoute, et cela va à l’encontre d’une partie de la philosophie hegelienne, que le général (et ici, entendez plutôt « la moralité générale ») se médite, c’est-à-dire qu’il se pense. Mais ici, si il se peut être pensé, il ne permet pas d’aller outre. Il est, en effet, paradoxal de chercher à penser quelque chose que la pensée elle-même ne puisse penser ; ce qui [dépasser la pensée] est l’aller outre kierkegaardien. Et d’ajouter que la philosophie, par exemple, est le discours de la méditation, c’est en cela que la philosophie ne permet pas d’aller outre. Et, donc, que la philosophie n’est pas la plus particulière et transcendantale des disciplines ; parce qu’elle ne permet pas d’aller outre, ce qui le permet est supérieur encore. Puis, nous l’avons vu, ce qui le permet n’est ni de l’ordre de la méditation ni plus de l’ordre de l’Éthique. Mais c’est en cela, aussi et en même temps, que la philosophie est utile à la méditation, c’est-à-dire au général en lui-même ainsi qu’à son discours : celui de la moralité en tant qu’elle est générale.
Comme le rappelait bien souvent Ernst Bloch, le chantre du post-modernisme : "Ich bin. Wir sind. Das ist genug. Nun haben wir zu beginnen. In unsere Hände ist das Leben gegeben. Für sich selber ist es längst schon leer geworden. Es taumelt sinnlos hin und her, aber wir stehen fest, und so wollen wir ihm seine Faust und seine Ziele werden." (Ha, ha, ha, c'est un peu osé mais apres tout, c'était en 1967)
J'invite bien évidement ceux qui souhaiteraient poursuivre l'éclatante demonstration de ma prose a se procurer l'ouvrage "Génese du Génie, essai autobiographique", par votre serviteur.
Bien Cordialement,
Amadeus von Schweinkopf
N'en déplaise a mes détracteurs, ceux-la meme qui par jalousie, dépit ou ignorance prennent un malin plaisir a tenter de vainement disqualifier la portée incommensurable de mon Oeuvre, le Génie ne connait pas de halte. Foin d'invoquer la Morale ou d'autres concepts qu'ils agitent de maniere simiesque sans en percevoir le sens, je parle au nom de l'Homme, pour l'Homme afin de l'élever par la Sapience.
En effet, comme le disait Kierkegaard, dans son "Apostrophe a tous ces putain de mécréants", tout est affaire d'Ethique.
Dès lors que l’homme est – existe – il est posé dans le général, il fait partie du tout. Ou le général est effectivement le tout en tant qu’unité. Ledit tout a un but qui se rejoint dans la moralité générale aussi nommé l’Éthique. En cela, l’Éthique n’a pas de but, elle est le but de ce qui est. Et de ce point de vue, l’Éthique est la moralité générale, elle est la seule moralité que peut comprendre le général parce qu’elle en découle et que, mieux encore, elle est sa fin. Le discours Éthique est aussi le seul que peut exprimer le général, et si un individu devient singulier – individu hors du général – il faut bien qu’il se taise car, dans le cas contraire, il serait incompris dans la mesure ou il ne répondrait pas à l’Éthique : incompris car incompréhensible dans le cadre du général. Kierkegaard ajoute, et cela va à l’encontre d’une partie de la philosophie hegelienne, que le général (et ici, entendez plutôt « la moralité générale ») se médite, c’est-à-dire qu’il se pense. Mais ici, si il se peut être pensé, il ne permet pas d’aller outre. Il est, en effet, paradoxal de chercher à penser quelque chose que la pensée elle-même ne puisse penser ; ce qui [dépasser la pensée] est l’aller outre kierkegaardien. Et d’ajouter que la philosophie, par exemple, est le discours de la méditation, c’est en cela que la philosophie ne permet pas d’aller outre. Et, donc, que la philosophie n’est pas la plus particulière et transcendantale des disciplines ; parce qu’elle ne permet pas d’aller outre, ce qui le permet est supérieur encore. Puis, nous l’avons vu, ce qui le permet n’est ni de l’ordre de la méditation ni plus de l’ordre de l’Éthique. Mais c’est en cela, aussi et en même temps, que la philosophie est utile à la méditation, c’est-à-dire au général en lui-même ainsi qu’à son discours : celui de la moralité en tant qu’elle est générale.
Comme le rappelait bien souvent Ernst Bloch, le chantre du post-modernisme : "Ich bin. Wir sind. Das ist genug. Nun haben wir zu beginnen. In unsere Hände ist das Leben gegeben. Für sich selber ist es längst schon leer geworden. Es taumelt sinnlos hin und her, aber wir stehen fest, und so wollen wir ihm seine Faust und seine Ziele werden." (Ha, ha, ha, c'est un peu osé mais apres tout, c'était en 1967)
J'invite bien évidement ceux qui souhaiteraient poursuivre l'éclatante demonstration de ma prose a se procurer l'ouvrage "Génese du Génie, essai autobiographique", par votre serviteur.
Bien Cordialement,
Amadeus von Schweinkopf