01-19-2006, 06:34 PM
Il paraît que nonobstant le fait que l'incompréhension engendrée par un discours politique trop éloigné des considérations, soyons francs, souvent matérialistes d'une fraction non négligeable de la population estudiantine a fait naître nombre de rancoeurs parfois mal dirigées et mal servies par un esprit militant certes enthousiaste mais dénué des qualifications stratégiques nécessaires à la réussite d'un mouvement révolutionnaire méta-déclamatoire à l'encontre de ladite classe politique, dont certain nombre de membres subirait à l'heure actuelle un tir de barrage à l'arme médiévale, la réalité d'un désinteressement profond et autotrophique entre deux sous-groupes contemporains mais néanmoins temporellement intranscendants symbolisé par le désormais quasi-institutionnel "generation gap" cher aux socio-anthropologues anglo-saxons (Wittgenstein par exemple et ses Recherches philosophiques de 1953) entre le collectif étudiant ou "jeunes" et cette fraction vouée à la gestion politique de l'enseignement nationale de la classe dirigeante dont nous parlons (ou "ministre délégué à l'éducation") n'aurait selon moi qu'une vague et brumeuse assise non dans le réel mais bien dans la réalité sociale de la France d'aujourd'hui.
Ledit ministre me semble n'avoir qu'une valeur de symbole (selon la définition du linguiste suisse Ferdinand de Saussure) plutôt que d'icône et ne mériterait ainsi donc pas le traitement infligé que je qualifierais d' «insupportablement minéral".
Bien entendu votre avis m'intéresse, du moins dans le sens ou il me permettrait de continuer cette époustouflante démonstration
Ledit ministre me semble n'avoir qu'une valeur de symbole (selon la définition du linguiste suisse Ferdinand de Saussure) plutôt que d'icône et ne mériterait ainsi donc pas le traitement infligé que je qualifierais d' «insupportablement minéral".
Bien entendu votre avis m'intéresse, du moins dans le sens ou il me permettrait de continuer cette époustouflante démonstration