03-18-2007, 12:52 AM
Ne vous en faite pas monsieur le juge, elle est bien présente.
Une jeune femme brune s’avance à son tour, elle porte un costume et une cravate noir avec une chemise blanche, ne laissant pas voir un seul pli. Une mallette noire est tenue dans sa main droite.
Permettez-moi de commencer par m’excuser car je risque d’enfreindre une des règles que vous avez précédemment énoncées, j’ai nommé de rester dans le cadre d'un dialogue contradictoire cordial. Je ne compte nullement en effet rentrer dans le cadre d’un dialogue contradictoire car les faits sont clairement énoncé et sont juste.
Cependant … il y a un point où je ne suis pas d’accord. Et il est de taille. Je m’explique :
Cela peut paraître invraisemblable mais le nom de notre comité à été utilisé à tord et à travers dans différentes opérations illégales sans que nous puissions intervenir pour mettre fin au massacre. Et, au nom du vrai Comité Citoyen Contre la Privation des Libertés Individuelles, je me joins à la demande de Mme Belleplumes pour punir les auteurs de ce méfait.
Vous avez déjà énoncé ce qui n’est d’autre que pour nous, leurs « crimes », mais je vais quand même me permettre de les repréciser en expliquant ce qui c’est vraiment passé.
Commençons par ces scandaleuses affiches. Outres le fait qu’elles aient été faites à la va-vite et placardées n’importe où dans Immac sans autorisation ce qui révèle un amateurisme assez prononcé, j’attire votre attention sur le logo. Avez-vous cru une seule seconde que notre logo aurait pus correspondre à un carré bleu et une cigarette dedans ? Avez-vous imaginez que nous limitions notre défense contre la privation des libertés individuelles aux cigarettes ?
Non je vous le dis, tout cela à été fait sans très rapidement, trop sans doute, en s’inspirant de dessin déjà créé pour pouvoir les placarder le plus hâtivement possible.
Le CCCPLI n’est pas un comité d’amateur en tout genre et nous ne défendons pas ce qui est illégale mais bien les libertés individuelles …
Passons au journal et à la distribution de cigarettes. En toute logique, lors de la distribution de cigarettes il aurait été logique de faire signer la pétition que nous avons lancée pour être plus convaincant ? Mais ça n’a pas été fait. A la place, ces individus ont distribué un prospectus honteux et contraire à la loi Evin que je détiens dans cette mallette et que je montrerais bien volonté si vous le voulez. Vous avez déjà à disposition les photos de l’événement … En zoomant, on devrait pouvoir voir ces tracts.
Or c’est illogique, pourquoi défendrions-nous cette pétition si nous ne la faisons pas signer lors d’une opération « choc » ? Encore une preuve de l’amateurisme de ces personnes et du manque de précaution pour se dissimuler. Bien que, elles n’aient pas si mal réussit quand on voit les réactions du grand public.
D’autant plus que nous ni fait signer cette pétition devant l’église, ni devant la mairie, ni devant l’hôpital et encore moins dans l’école …
Ensuite quant à l’article, nous avons rencontré M. Jules, une personne charmante d’ailleurs qui se tient là bas.
La femme montre une personne dans l’assistance.
Ian Jules m’a raconté qu’il avait été forcé de faire publier cet article. Il a en effet reçu des menaces de morts pour sa famille au cas ou il ne publierait pas le texte qu’il à reçu anonymement. Et quand on lit l’article on se rend compte de l’aberration et du manque de sérieux qui ne provient pas du journalisme. Permettez-moi de citer une phrase qui me revient et qui était publié dans l’article :
Le but premier est de renverser certaines rumeurs publiques et de rétablir la vérité, suite à un long travail de recherche, comme nous l’a montré le représentant du CCCPLI que nous avons rencontré.
Comment pourrions nous raconter autant de mensonge dans une seule phrase ? Aucune étude n’a montré que la cigarette était vertueuse, la recherche coûte bien assez cher pour ne pas la consacrer dans des bêtises …
Cet article n’est rien d’autre que le summum de leur action courte mais efficace. Ils ont d’ailleurs arrêté leur action juste après la parution de Tapage.
Vous pourrez me dire que l’on parle tout de même en une ligne de la pétition. C’est vrai, mais c’est un ajout personnel de monsieur Ian Jules qui, croyant bien faire, a fait le lien entre « ces deux » CCCPLI …
Mais, Monsieur le juge, Monsieur Jules à beau être un peu timide, libre à vous de l’interroger pour le bien de l’enquête.
Un dernier point tout de même, vous pourriez tout à fait nous poser la question suivante : Pourquoi n'avez vous pas signalé avant ce plagiat ? Pourquoi n’avons nous rien dit ? Mais nous n’aurions pas été crédibles ! Déjà que nous ne le sommes pas maintenant, alors au moment des faits on nous aurait accusés de plagiat. Or c’était l’inverse … Il faut être réaliste, quand le mal est fait, le mal est fait et il est très dur de revenir en arrière.
Pour le moment, seul un des plagieurs s’est dévoilé, contrait de donner publiquement une conférence. Il s’agit de Daisy Detiège. Elle signe dans son dernier communiqué bilan par CCPLI, comment pensez-vous qu’il soit possible de se tromper dans le nom de son propre comité ? Moi, je ne vois pas …
Cependant, il est impensable qu’elle soit la seule concernée dans ce que je qualifierais de complot.
Je vous rends la parole monsieur le juge tout en certifiant sur l’honneur de n’avoir dit que la vérité dans cette affaire.
Après avoir finis de parler, Christine Vannier retourne à sa place sans rien dire.
Une jeune femme brune s’avance à son tour, elle porte un costume et une cravate noir avec une chemise blanche, ne laissant pas voir un seul pli. Une mallette noire est tenue dans sa main droite.
Permettez-moi de commencer par m’excuser car je risque d’enfreindre une des règles que vous avez précédemment énoncées, j’ai nommé de rester dans le cadre d'un dialogue contradictoire cordial. Je ne compte nullement en effet rentrer dans le cadre d’un dialogue contradictoire car les faits sont clairement énoncé et sont juste.
Cependant … il y a un point où je ne suis pas d’accord. Et il est de taille. Je m’explique :
Cela peut paraître invraisemblable mais le nom de notre comité à été utilisé à tord et à travers dans différentes opérations illégales sans que nous puissions intervenir pour mettre fin au massacre. Et, au nom du vrai Comité Citoyen Contre la Privation des Libertés Individuelles, je me joins à la demande de Mme Belleplumes pour punir les auteurs de ce méfait.
Vous avez déjà énoncé ce qui n’est d’autre que pour nous, leurs « crimes », mais je vais quand même me permettre de les repréciser en expliquant ce qui c’est vraiment passé.
Commençons par ces scandaleuses affiches. Outres le fait qu’elles aient été faites à la va-vite et placardées n’importe où dans Immac sans autorisation ce qui révèle un amateurisme assez prononcé, j’attire votre attention sur le logo. Avez-vous cru une seule seconde que notre logo aurait pus correspondre à un carré bleu et une cigarette dedans ? Avez-vous imaginez que nous limitions notre défense contre la privation des libertés individuelles aux cigarettes ?
Non je vous le dis, tout cela à été fait sans très rapidement, trop sans doute, en s’inspirant de dessin déjà créé pour pouvoir les placarder le plus hâtivement possible.
Le CCCPLI n’est pas un comité d’amateur en tout genre et nous ne défendons pas ce qui est illégale mais bien les libertés individuelles …
Passons au journal et à la distribution de cigarettes. En toute logique, lors de la distribution de cigarettes il aurait été logique de faire signer la pétition que nous avons lancée pour être plus convaincant ? Mais ça n’a pas été fait. A la place, ces individus ont distribué un prospectus honteux et contraire à la loi Evin que je détiens dans cette mallette et que je montrerais bien volonté si vous le voulez. Vous avez déjà à disposition les photos de l’événement … En zoomant, on devrait pouvoir voir ces tracts.
Or c’est illogique, pourquoi défendrions-nous cette pétition si nous ne la faisons pas signer lors d’une opération « choc » ? Encore une preuve de l’amateurisme de ces personnes et du manque de précaution pour se dissimuler. Bien que, elles n’aient pas si mal réussit quand on voit les réactions du grand public.
D’autant plus que nous ni fait signer cette pétition devant l’église, ni devant la mairie, ni devant l’hôpital et encore moins dans l’école …
Ensuite quant à l’article, nous avons rencontré M. Jules, une personne charmante d’ailleurs qui se tient là bas.
La femme montre une personne dans l’assistance.
Ian Jules m’a raconté qu’il avait été forcé de faire publier cet article. Il a en effet reçu des menaces de morts pour sa famille au cas ou il ne publierait pas le texte qu’il à reçu anonymement. Et quand on lit l’article on se rend compte de l’aberration et du manque de sérieux qui ne provient pas du journalisme. Permettez-moi de citer une phrase qui me revient et qui était publié dans l’article :
Le but premier est de renverser certaines rumeurs publiques et de rétablir la vérité, suite à un long travail de recherche, comme nous l’a montré le représentant du CCCPLI que nous avons rencontré.
Comment pourrions nous raconter autant de mensonge dans une seule phrase ? Aucune étude n’a montré que la cigarette était vertueuse, la recherche coûte bien assez cher pour ne pas la consacrer dans des bêtises …
Cet article n’est rien d’autre que le summum de leur action courte mais efficace. Ils ont d’ailleurs arrêté leur action juste après la parution de Tapage.
Vous pourrez me dire que l’on parle tout de même en une ligne de la pétition. C’est vrai, mais c’est un ajout personnel de monsieur Ian Jules qui, croyant bien faire, a fait le lien entre « ces deux » CCCPLI …
Mais, Monsieur le juge, Monsieur Jules à beau être un peu timide, libre à vous de l’interroger pour le bien de l’enquête.
Un dernier point tout de même, vous pourriez tout à fait nous poser la question suivante : Pourquoi n'avez vous pas signalé avant ce plagiat ? Pourquoi n’avons nous rien dit ? Mais nous n’aurions pas été crédibles ! Déjà que nous ne le sommes pas maintenant, alors au moment des faits on nous aurait accusés de plagiat. Or c’était l’inverse … Il faut être réaliste, quand le mal est fait, le mal est fait et il est très dur de revenir en arrière.
Pour le moment, seul un des plagieurs s’est dévoilé, contrait de donner publiquement une conférence. Il s’agit de Daisy Detiège. Elle signe dans son dernier communiqué bilan par CCPLI, comment pensez-vous qu’il soit possible de se tromper dans le nom de son propre comité ? Moi, je ne vois pas …
Cependant, il est impensable qu’elle soit la seule concernée dans ce que je qualifierais de complot.
Je vous rends la parole monsieur le juge tout en certifiant sur l’honneur de n’avoir dit que la vérité dans cette affaire.
Après avoir finis de parler, Christine Vannier retourne à sa place sans rien dire.