01-18-2007, 02:51 AM
* La soirée avait été longue mais diablement stimulante, sur bien des points. Pas à dire, une angèle, ça peut avoir de l'endurance mais la danse que le trio avait effectuée cette nuit, avait su tirer toutes l'énergie, pourtant presque inépuisable, que séparement, chacun pouvait avoir.
Entre le rêve et la réalité, la démone émergea doucement de cet eden artificiel que Baudelaire n'aurait pas renié. Tirant ses cuisses dénudées vers elle tout en s'étirant, Génocide ne comprit pas de suite ce que lui dit le chevalier de Baal. Faisant preuve de cet esprit d'analyse si perspicace que tout à chacun possède au moment de l'éveil, elle tint ce qui pu passer pour un grognement quasiment inaudible, un "grrr gna hein?" avant de finalement assimiler les propos de son partenaire d'un soir. La bouche pateuse de tant d'excès... *
Merci Chevalier. J'espère que votre cadeau de retour vous aura entièrement comblé. Où se trouve notre hôte? Déjà partie?
Hum...le réveil a dû lui être bien pénible lorsqu'elle a compris ce qui se passait...
* Laissant choir le drap de soie, la démone se lève sans pudeur et va vers ce qui semble être la salle de bain. En chemin, elle croise les corps des trois pauvres ères qui avaient eu le malheur de croiser le leur. Elle s'était amusée à réutiliser les bonnes vieilles méthodes de travail, une manière de montrer à Nag-Jash, comment ELLE, elle voyait l'art, cet art millénaire et si riche de l'écorchage à vif. Une façon de retrouver les bonnes vieilles habitudes, ces gestes si familiers qu'elle avait executée à de si nombreuses reprises pour l'amusement ou pour le travail lors de sa précèdente incarnation.
Génocide ne se souvenait plus exactement des propos, ni de la réaction de son amante. Amante qui, ça elle s'en souvenait, l'avait étonnée par l'étendue de la palette de ses capacités et imaginations au niveau sexuel.
Depuis Sodome et Gomorrhe, peu d'orgie avait dû approcher ce qui s'était déroulé dans cette chambre, à n'en pas douter, Andréalphus avait dû tourner son regard dans cette ville insignifiante, dommage qu'aucuns de ses serviteurs n'eut été là pour l'invoquer, la fête aurait été tout autre.
Reprenant machinalement ses vêtements, elle relève le regard vers Crow tout en commençant à s'habiller, le regard froid et désormais tout à fait capable:* Que comptez vous faire d'elle désormais?
Entre le rêve et la réalité, la démone émergea doucement de cet eden artificiel que Baudelaire n'aurait pas renié. Tirant ses cuisses dénudées vers elle tout en s'étirant, Génocide ne comprit pas de suite ce que lui dit le chevalier de Baal. Faisant preuve de cet esprit d'analyse si perspicace que tout à chacun possède au moment de l'éveil, elle tint ce qui pu passer pour un grognement quasiment inaudible, un "grrr gna hein?" avant de finalement assimiler les propos de son partenaire d'un soir. La bouche pateuse de tant d'excès... *
Merci Chevalier. J'espère que votre cadeau de retour vous aura entièrement comblé. Où se trouve notre hôte? Déjà partie?
Hum...le réveil a dû lui être bien pénible lorsqu'elle a compris ce qui se passait...
* Laissant choir le drap de soie, la démone se lève sans pudeur et va vers ce qui semble être la salle de bain. En chemin, elle croise les corps des trois pauvres ères qui avaient eu le malheur de croiser le leur. Elle s'était amusée à réutiliser les bonnes vieilles méthodes de travail, une manière de montrer à Nag-Jash, comment ELLE, elle voyait l'art, cet art millénaire et si riche de l'écorchage à vif. Une façon de retrouver les bonnes vieilles habitudes, ces gestes si familiers qu'elle avait executée à de si nombreuses reprises pour l'amusement ou pour le travail lors de sa précèdente incarnation.
Génocide ne se souvenait plus exactement des propos, ni de la réaction de son amante. Amante qui, ça elle s'en souvenait, l'avait étonnée par l'étendue de la palette de ses capacités et imaginations au niveau sexuel.
Depuis Sodome et Gomorrhe, peu d'orgie avait dû approcher ce qui s'était déroulé dans cette chambre, à n'en pas douter, Andréalphus avait dû tourner son regard dans cette ville insignifiante, dommage qu'aucuns de ses serviteurs n'eut été là pour l'invoquer, la fête aurait été tout autre.
Reprenant machinalement ses vêtements, elle relève le regard vers Crow tout en commençant à s'habiller, le regard froid et désormais tout à fait capable:* Que comptez vous faire d'elle désormais?