01-18-2007, 08:09 PM
Fronçement de sourçils.
Réflexion.
Re-fronçement de sourçils.
Soupir.
« Une Hécatombe, des caisses carbonisées, des humains morts, Kaboul en occident…
Pour ça. »
Fallait il être soit stupide ou bourré pour faire autant de conneries dans le dos du Seigneur?
Des orphelins perdus, des veuves éplorées, de l’essence et du sang sur le macadam d’Immac, pour un tissu de conneries.
« Tu sais, le Diable à les mains pleines de cadeaux, les yeux pleins d’illusions et la bouche pleine de promesses.
Des montagnes d’or et de pierreries sans valeur, des mets et des vins qui ne nourissent pas et enivrent encore moins, des paradis artificiels…
Mais c’est du vent.
Le démon ne donne jamais rien.
Il souille, et puis c’est tout.
Peu importe vers quelle montagne d’or tes yeux se tournent. Elle n’existe pas, c’est une simple chimère. Tu n’auras rien en accomplissant ses desseins, rien d’autre que le goût amer de la déception.
Moi, je ne t’offre qu’une chose.
La miséricorde.
Estime en bien la valeur, et décide toi.
Tu prends ma main, on part d’ici, et tout s’arrange. Plus de confusion, plus de peines, plus d’incertitude.
Ou tu décides de passer de l’autre coté, et de chuter sans fin, encore et encore, pour un simple caprice du Diable. »
Et une bandes de Cornus feraient la fête dans un coin sombre d’Immac.
Pour un temps, du moins. Ils riraient à gorge déployée, tant qu’ils le pourraient, avant de verser assez de larmes pour remplir une seconde fois les océans.
Amen.
Réflexion.
Re-fronçement de sourçils.
Soupir.
« Une Hécatombe, des caisses carbonisées, des humains morts, Kaboul en occident…
Pour ça. »
Fallait il être soit stupide ou bourré pour faire autant de conneries dans le dos du Seigneur?
Des orphelins perdus, des veuves éplorées, de l’essence et du sang sur le macadam d’Immac, pour un tissu de conneries.
« Tu sais, le Diable à les mains pleines de cadeaux, les yeux pleins d’illusions et la bouche pleine de promesses.
Des montagnes d’or et de pierreries sans valeur, des mets et des vins qui ne nourissent pas et enivrent encore moins, des paradis artificiels…
Mais c’est du vent.
Le démon ne donne jamais rien.
Il souille, et puis c’est tout.
Peu importe vers quelle montagne d’or tes yeux se tournent. Elle n’existe pas, c’est une simple chimère. Tu n’auras rien en accomplissant ses desseins, rien d’autre que le goût amer de la déception.
Moi, je ne t’offre qu’une chose.
La miséricorde.
Estime en bien la valeur, et décide toi.
Tu prends ma main, on part d’ici, et tout s’arrange. Plus de confusion, plus de peines, plus d’incertitude.
Ou tu décides de passer de l’autre coté, et de chuter sans fin, encore et encore, pour un simple caprice du Diable. »
Et une bandes de Cornus feraient la fête dans un coin sombre d’Immac.
Pour un temps, du moins. Ils riraient à gorge déployée, tant qu’ils le pourraient, avant de verser assez de larmes pour remplir une seconde fois les océans.
Amen.