01-13-2007, 04:05 PM
Le jeune garçon fit à Zardoz l'effet d'une bouffée d'air frais. Il semblait si innocent, si faible, à proteger impétueusement ! Il se demanda pendant un instant, assez long pour être remarqué, si ce si beau garçon n'était pas la nouvelle incarnation de son ami, l'aligné servant aussi Jean-Luc !
- Soy Rodolpho, soy frances, encantado de conocerte ! repondit il finalement en serrant la main qui lui était tendue.
Le garçon sourit encore plus.
- Rodolpho ven aquì, voy a presentarte mis padres !
- Heu ... Miguel, solo estoy buscando el pueblo de Punta de la Rosa ... el supermercado ?
- Punto de la rosa ? Si ! Hay que tomar el coche ... mi padre va a conducirte !
- Ho ... esta bien ... gracias.
Bien qu'un peu honteux d'avoir si facilement dévoilé le but de son voyage, Zardoz, la main serrée dans celle du petit garçon se laissa guider vers le village. Celui-ci, fait de petites maisons simples mais au charme incontestable, blanchies à la chaux et noyées dans des massifs de fleurs multicolores, était accroché au flan de la falaise à quelques centaines de mètres de la plage.
Par chance le père de Miguel est garagiste et aprés avoir but un café bien chaud (avec certainement une petite dose de rhum au fond) il est décidé de lui louer une Oldsmobile 56 "superlinda" pour la modique sommes de 150 euros en liquide. C'est vraiment une chance qu'il accèpte les euros n'ayant pas eut le temps de changer de l'argent et n'ayant aucune envie de trainer à côté d'une banque aprés ses aventures aériennes.
Pour le même prix, une carte américaine de la région datant de 1950 était censée lui permettre de trouver le village de Punta de la Rosa. Miguel fait un peu la comédie pour partir en voiture avec lui mais son père arrive trés vite à le raisonner à l'aide de claques derrière la nuque. La voiture telle une vieille dame capricieuse lui fit comprendre que le levier de vitesse devait être manié avec le doigté d'un amant lors d'un premier rendez-vous. Aprés les formalités et remerciements d'usage Zardoz pris la route de La Havane.
Bien sur aprés coup il regarde d'un autre oeuil les bottes de foin qui tombent devant sa voiture sur la route de la corniche alors qu'il va pour doubler une charette tirée par un mulet. Et aussi la flaque d'huile fraiche en plein tournant (qu'il à prit le temps de recouvrir de sable aprés avoir lui-même évité l'accident de justesse). En revanche la traversée de La Havane fut trés calme, même les taxis furent courtois... étrange non ?!
Aprés La Havane, la route suit une cote crénelée et verte que bord de nombreuses iles. Au milieu de l'aprés midi l'eau y est turquoise. Puis quelque kilomètres avant l'embranchement de la route vers Punta de la Rosa, un camion semi-remorque, un Berliet des années 50, fait une soudaine embardée comme pour lui rentrer dedans lorsqu'ils se croisent. Sa conclusion du moment est que le conducteur à dut s'endormir et qu'en klaksonnant, il lui à évité le pire. Zardoz, lui, a dut faire un dérapage dans le sable et faire hurler le moteur de la vieille dame pour ne pas finir trente mètres plus bas sur les rochers où les vagues se brisent.
Puis la route poussièreuse vers Punta de la Rosa: un village de décors de Western. Une dixaine de maisons défraichies semblant abandonnées, balayées par les vents et ou seule la station service vie encore. Zardoz, certainement grâce à un présentiment, s'arrête à quelque kilomètres de l'entrée, de toutes façon il est en avance, le soleil ne se couchera que dans quatre ou cinq heures. Il ferme la voiture aprés l'avoir garé à l'ombre d'un arbre rabougrit et avec la bouteille d'eau et les allumettes que lui à vendu le père de Miguel et son paquet de cigarette comme seul équipement il décide d'aller en reconnaissance à pied.
- Soy Rodolpho, soy frances, encantado de conocerte ! repondit il finalement en serrant la main qui lui était tendue.
Le garçon sourit encore plus.
- Rodolpho ven aquì, voy a presentarte mis padres !
- Heu ... Miguel, solo estoy buscando el pueblo de Punta de la Rosa ... el supermercado ?
- Punto de la rosa ? Si ! Hay que tomar el coche ... mi padre va a conducirte !
- Ho ... esta bien ... gracias.
Bien qu'un peu honteux d'avoir si facilement dévoilé le but de son voyage, Zardoz, la main serrée dans celle du petit garçon se laissa guider vers le village. Celui-ci, fait de petites maisons simples mais au charme incontestable, blanchies à la chaux et noyées dans des massifs de fleurs multicolores, était accroché au flan de la falaise à quelques centaines de mètres de la plage.
Par chance le père de Miguel est garagiste et aprés avoir but un café bien chaud (avec certainement une petite dose de rhum au fond) il est décidé de lui louer une Oldsmobile 56 "superlinda" pour la modique sommes de 150 euros en liquide. C'est vraiment une chance qu'il accèpte les euros n'ayant pas eut le temps de changer de l'argent et n'ayant aucune envie de trainer à côté d'une banque aprés ses aventures aériennes.
Pour le même prix, une carte américaine de la région datant de 1950 était censée lui permettre de trouver le village de Punta de la Rosa. Miguel fait un peu la comédie pour partir en voiture avec lui mais son père arrive trés vite à le raisonner à l'aide de claques derrière la nuque. La voiture telle une vieille dame capricieuse lui fit comprendre que le levier de vitesse devait être manié avec le doigté d'un amant lors d'un premier rendez-vous. Aprés les formalités et remerciements d'usage Zardoz pris la route de La Havane.
Bien sur aprés coup il regarde d'un autre oeuil les bottes de foin qui tombent devant sa voiture sur la route de la corniche alors qu'il va pour doubler une charette tirée par un mulet. Et aussi la flaque d'huile fraiche en plein tournant (qu'il à prit le temps de recouvrir de sable aprés avoir lui-même évité l'accident de justesse). En revanche la traversée de La Havane fut trés calme, même les taxis furent courtois... étrange non ?!
Aprés La Havane, la route suit une cote crénelée et verte que bord de nombreuses iles. Au milieu de l'aprés midi l'eau y est turquoise. Puis quelque kilomètres avant l'embranchement de la route vers Punta de la Rosa, un camion semi-remorque, un Berliet des années 50, fait une soudaine embardée comme pour lui rentrer dedans lorsqu'ils se croisent. Sa conclusion du moment est que le conducteur à dut s'endormir et qu'en klaksonnant, il lui à évité le pire. Zardoz, lui, a dut faire un dérapage dans le sable et faire hurler le moteur de la vieille dame pour ne pas finir trente mètres plus bas sur les rochers où les vagues se brisent.
Puis la route poussièreuse vers Punta de la Rosa: un village de décors de Western. Une dixaine de maisons défraichies semblant abandonnées, balayées par les vents et ou seule la station service vie encore. Zardoz, certainement grâce à un présentiment, s'arrête à quelque kilomètres de l'entrée, de toutes façon il est en avance, le soleil ne se couchera que dans quatre ou cinq heures. Il ferme la voiture aprés l'avoir garé à l'ombre d'un arbre rabougrit et avec la bouteille d'eau et les allumettes que lui à vendu le père de Miguel et son paquet de cigarette comme seul équipement il décide d'aller en reconnaissance à pied.