02-26-2007, 11:51 AM
Il est moignon ce petit
Fallait-il y aller a un ou deux bateaux ?
Question tactique qui a son importance. Un imbécile (moi) emet l'idée de laisser l'autre bateau en cale seche, montrant ainsi l'étendue de son ignorance en matiere de voile. Ca sonnait bien je trouve.
Bon finalement on prend deux bateaux parce que ca permet a Typiak de jouer au Capitaine aussi.
Tout en louvoyant sous le vent, nous abattons en un temps record les nombreux milles qui nous séparent de la geole putride et sans doute infestée de rats de notre capitaine. Nous espérons qu'il ne s'est pas fait violer par des gardes obeses avinés sado-masochistes... et surtout francais !
Courage, Capitaine Green !
Nous arrivons en vue de l'ile mysterieuse... Une carte dérobée a l'équipage que nous avons défait nous donne un apercu de la situation : l'ile est séverement gardée par une garnison, dispose de canons partout et en gros on va se faire dépouiller. heureusement, une semblerait qu'une "crique abritée" (c'est écrit en toutes lettres sur la carte) et vide de toute surveillance nous attende au sud de l'ile.
Notre Second (Dariel) prouve son sens tactique en décidant d'accoster la de nuit.
Et c'est la que les talents de comédien de notre cuistot (Benko) ont, j'ose le dire, modifié la cruelle destinée qui nous frappait jusqu'alors.
Suce ma bite !
Nous optons pour la méthode super-ninja pour débarquer sur l'ile (cad juste les PJ, pas nos 50 fiers matelots).
Nous accostons sans heurts, mais tres vite nous sommes repérés par une patrouille de deux hommes.
Nous optons pour la ruse, en nous faisant passer pour des connards de francais :
"Mmmh, bla bla blaaa, mademouaselle oh lala, suce ma bite champagne paris-match"
"Qui-va la ?" nous répond-on (haha, ca fait "ponton". Ponton, c'est un jeu de mot
)
Notre cuistot baragouine deux-trois mots de francais et nous arrivons a leur hauteur (jet de comédie réussi sous compétence foireuse)
"Mais qui etes vous ?", nous demandent-ils.
"Suce ma bite", leur répondons-nous en leur ouvrant la gorge avec des couteaux aiguisés.
Nous avons vite fait de reperer un passage secret qui court sous la colline pour arriver pas loin de... La maison de l'Intendant !
Nous sommes trois a nous infiltrer dedans.
Soudain, un laquais arrive.
"Qui dois-je annonce-arggggllllll" a-t-il le temps de dire avant de faire connaisance avec mon couteau.
"Suce ma bite motherfucker" (On n'est pas pirate pour rien, hein...)
Tandis que nous cherchons la fille de l'intendant pour la violer, notre Second nous rappelle l'objet de notre visite : le Capitaine, Ah ouais, merde.
Bon ben on va dans le bureau de l'intendant pour lui tranch.. pour le faire parler.
MJ Nergal : "Vous ouvrez la porte du bureau... Personne !"
Ok, bon ben les chambres alors.
MJ Nergal : "Vous ouvrez la porte de la chambre... Personne !"
Ok...
Il se branle ? Non, il recharge. Ah ok.
Pendant ce temps, ceusses restés dehors tombent sur une patrouille.
Notre chirurgien préféré sectionne un garde en deux d'un coup de fusil de toute beauté. Il n'avait cependant pas calculé les 5 tours necessaires a la recharge de son fusil.
C'est donc couché dans l'herbe qu'il mime avec vehemence le mec en train de recharger son fusil a donf, ce qui surprend quand on n'a pas suivi l'action...
C'est le signal du départ : nous n'avons pas le temps d'examiner plus avant ces magnifiques sabres d'apparat exposés dans le bureau de l'intendant qu'il faut déja partir...
Heuresement, on a trouvé une carte vers une autre ile, par-la, ou ils ont emmené notre capitaine. On se rapproche !
Vers l'Ile des Fougeolles
En louvoyant sous le vent, on arrive a suivre la trace du petit bateau (le sloop) sur lequel l'intendant emmene notre vénéré capitaine, et surtout son singe.
C'est peu de temps apres, sans doute poursuivis par l'ensemble de la garnison de l'Ile du Moignon (en fait c'est pas son nom mais je sais plus trop) nous débarquons sur la derniere ile, qui réserve des calembourgs et des surprises de toute beauté.
Le sloop est échoué sur la plage. Deux homme égorgés a son bord.
Nous demandons a tout hasard s'ils sont en slip ?
Notre cuistot homme avisé, en détruit la coque a coups de hache afin de couper toute retraite aux eventuels survivants.
On notera plus tard qu'il a fait un trou dans son sloop (huhu)
c'est la que les ennuis commencent.
Nous nous enfoncons dans la jungle, et notre chirurgien, homme porté sur la botanique, fait une découverte stupéfiante : l'ile est couverte de fougeolles, mais putain des fougeolles de OUF quoi. Jamais vu des fougeolles pareille. De toute Beauté-eu.
Nous continuons a progresser péniblement dans la foret. Soudain, un corps long et dur s'enroule autour de ma jambe.
Une b... Un boa ! Mais visiblement pas un boa ordinaire car celui-ci essaie de me mordre !
Apres m'etre joyeusement ruiné le genou a coups de gourdins, je dois ma survie a mes preux compagnons qui éclatent la bete au grand coups de pistolets.
Cette épisode erotico-sauvage nous pousse a écarter les lianes turgescentes et a nous enfoncer profondément dans la moiteur humide de la jungle.
Green ! Supa Green !
Apres quelques metres de progression lente et pénible, nous finissons par tomber sur le corps sans vie de l'intendant, visiblement tué par le pistolet encore fumant a l'autre bout duquel se trouve notre Capitaine bien-aimé (et surtout son singe).
Un peu dégoutés parce qu'en fait on aurait pu rester tranquille chez les putes, on fait contre mauvaise fortune bon coeur et on fait style qu'on est contents de le revoir.
Hourra, encore une victoire des freres de la cote, et yop-la-ho, une bouteille de rhum !
Notre vaisseau louvoie sous le vent et disparait sur l'horizon tandis qu'un couché de soleil de toute beauté illumine la scene.
On eput enfin descendre emmerder les autres qui miserent sur leur partie d'INS
The End
Fallait-il y aller a un ou deux bateaux ?
Question tactique qui a son importance. Un imbécile (moi) emet l'idée de laisser l'autre bateau en cale seche, montrant ainsi l'étendue de son ignorance en matiere de voile. Ca sonnait bien je trouve.
Bon finalement on prend deux bateaux parce que ca permet a Typiak de jouer au Capitaine aussi.
Tout en louvoyant sous le vent, nous abattons en un temps record les nombreux milles qui nous séparent de la geole putride et sans doute infestée de rats de notre capitaine. Nous espérons qu'il ne s'est pas fait violer par des gardes obeses avinés sado-masochistes... et surtout francais !
Courage, Capitaine Green !
Nous arrivons en vue de l'ile mysterieuse... Une carte dérobée a l'équipage que nous avons défait nous donne un apercu de la situation : l'ile est séverement gardée par une garnison, dispose de canons partout et en gros on va se faire dépouiller. heureusement, une semblerait qu'une "crique abritée" (c'est écrit en toutes lettres sur la carte) et vide de toute surveillance nous attende au sud de l'ile.
Notre Second (Dariel) prouve son sens tactique en décidant d'accoster la de nuit.
Et c'est la que les talents de comédien de notre cuistot (Benko) ont, j'ose le dire, modifié la cruelle destinée qui nous frappait jusqu'alors.
Suce ma bite !
Nous optons pour la méthode super-ninja pour débarquer sur l'ile (cad juste les PJ, pas nos 50 fiers matelots).
Nous accostons sans heurts, mais tres vite nous sommes repérés par une patrouille de deux hommes.
Nous optons pour la ruse, en nous faisant passer pour des connards de francais :
"Mmmh, bla bla blaaa, mademouaselle oh lala, suce ma bite champagne paris-match"
"Qui-va la ?" nous répond-on (haha, ca fait "ponton". Ponton, c'est un jeu de mot

Notre cuistot baragouine deux-trois mots de francais et nous arrivons a leur hauteur (jet de comédie réussi sous compétence foireuse)
"Mais qui etes vous ?", nous demandent-ils.
"Suce ma bite", leur répondons-nous en leur ouvrant la gorge avec des couteaux aiguisés.
Nous avons vite fait de reperer un passage secret qui court sous la colline pour arriver pas loin de... La maison de l'Intendant !
Nous sommes trois a nous infiltrer dedans.
Soudain, un laquais arrive.
"Qui dois-je annonce-arggggllllll" a-t-il le temps de dire avant de faire connaisance avec mon couteau.
"Suce ma bite motherfucker" (On n'est pas pirate pour rien, hein...)
Tandis que nous cherchons la fille de l'intendant pour la violer, notre Second nous rappelle l'objet de notre visite : le Capitaine, Ah ouais, merde.
Bon ben on va dans le bureau de l'intendant pour lui tranch.. pour le faire parler.
MJ Nergal : "Vous ouvrez la porte du bureau... Personne !"
Ok, bon ben les chambres alors.
MJ Nergal : "Vous ouvrez la porte de la chambre... Personne !"
Ok...
Il se branle ? Non, il recharge. Ah ok.
Pendant ce temps, ceusses restés dehors tombent sur une patrouille.
Notre chirurgien préféré sectionne un garde en deux d'un coup de fusil de toute beauté. Il n'avait cependant pas calculé les 5 tours necessaires a la recharge de son fusil.
C'est donc couché dans l'herbe qu'il mime avec vehemence le mec en train de recharger son fusil a donf, ce qui surprend quand on n'a pas suivi l'action...
C'est le signal du départ : nous n'avons pas le temps d'examiner plus avant ces magnifiques sabres d'apparat exposés dans le bureau de l'intendant qu'il faut déja partir...
Heuresement, on a trouvé une carte vers une autre ile, par-la, ou ils ont emmené notre capitaine. On se rapproche !
Vers l'Ile des Fougeolles
En louvoyant sous le vent, on arrive a suivre la trace du petit bateau (le sloop) sur lequel l'intendant emmene notre vénéré capitaine, et surtout son singe.
C'est peu de temps apres, sans doute poursuivis par l'ensemble de la garnison de l'Ile du Moignon (en fait c'est pas son nom mais je sais plus trop) nous débarquons sur la derniere ile, qui réserve des calembourgs et des surprises de toute beauté.
Le sloop est échoué sur la plage. Deux homme égorgés a son bord.
Nous demandons a tout hasard s'ils sont en slip ?
Notre cuistot homme avisé, en détruit la coque a coups de hache afin de couper toute retraite aux eventuels survivants.
On notera plus tard qu'il a fait un trou dans son sloop (huhu)
c'est la que les ennuis commencent.
Nous nous enfoncons dans la jungle, et notre chirurgien, homme porté sur la botanique, fait une découverte stupéfiante : l'ile est couverte de fougeolles, mais putain des fougeolles de OUF quoi. Jamais vu des fougeolles pareille. De toute Beauté-eu.
Nous continuons a progresser péniblement dans la foret. Soudain, un corps long et dur s'enroule autour de ma jambe.
Une b... Un boa ! Mais visiblement pas un boa ordinaire car celui-ci essaie de me mordre !
Apres m'etre joyeusement ruiné le genou a coups de gourdins, je dois ma survie a mes preux compagnons qui éclatent la bete au grand coups de pistolets.
Cette épisode erotico-sauvage nous pousse a écarter les lianes turgescentes et a nous enfoncer profondément dans la moiteur humide de la jungle.
Green ! Supa Green !
Apres quelques metres de progression lente et pénible, nous finissons par tomber sur le corps sans vie de l'intendant, visiblement tué par le pistolet encore fumant a l'autre bout duquel se trouve notre Capitaine bien-aimé (et surtout son singe).
Un peu dégoutés parce qu'en fait on aurait pu rester tranquille chez les putes, on fait contre mauvaise fortune bon coeur et on fait style qu'on est contents de le revoir.
Hourra, encore une victoire des freres de la cote, et yop-la-ho, une bouteille de rhum !
Notre vaisseau louvoie sous le vent et disparait sur l'horizon tandis qu'un couché de soleil de toute beauté illumine la scene.
On eput enfin descendre emmerder les autres qui miserent sur leur partie d'INS

The End