02-26-2007, 11:13 AM
Skin tu pues des fesses...
Les Aventures Fougeollesques du Red Raven (part II)
Résumé des épisodes précedents :
A peine débarqué dans un port mal famé des Caraibes, v'la-t-y pas que le Capitaine Green s'est lamentablement fait enlevé par trois hommes louches (des francais sans doute). Il a quand meme réussi a en étaler trois avant de se faire kidnapper.
Pendant ce temps, l'équipage est a terre et dépense son or malhonnetement gagné en alcools et femmes de peu de vertu, ou bien reste a bord pour vérifier les noeuds. Garvek se fait violer par un troupeau de porcs et vomi partout sur le bateau, mais tres vite l'enquete commence.
Plusieurs questions restent sans réponse : ou est le capitaine ? Doit-on faire des jets de résistance contre la syphilis ? D'ou vient l'amour immodéré de Garvek pour les cochons ?
On apprend grace a nos remarquables talents d'enqueteurs qu'un certain Bob-le-Moignon (C'pas Bob mais j'ai plus le nom en tete) serait responsable de la capture de notre capitaine bien-aimé, ainsi que de celle de Malback, son macaque savant.
En effet, des salauds de francais ont ordonné la capture et le coulage par le fond de plusieurs capitaines pirates innocents.
A ce stade du récit, l'équipage est partagé : le capitaine est-il mort ? Auquel cas, pourquoi se casser le cul a le rechercher alors qu'on pourrait reprendre la mer tranquillou ?
Partant du principe que s'il est mort y'a pas de scénar, nous décidons de partir courageusement a sa recherche.
Accroche toi a ma vergue, moussaillon !
Nous mettons l'équipage au courant de la situation, vu qu'ils avaient participé au recherches (sage décision du Conseil de bord).
Le voyage se déroule bien et nous louvoyons sous le vent. Comme notre pilote (la délicieuse Mereth) a une chance de cocu, notre esquif file comme le vent et les embruns nous fouettent la gueule, ce qui a le mérite de dégrisé Garvek.
La vie a bord se déroule bien. Le Second donne des ordres au hasard pour faire style "je suis un pirate, hissé-ho", le Maitre d'équipage (votre serviteur) se charge de les faire appliquer a coups de pieds au cul. Typiak (Zinaida) surveille les noeuds, sa spécialité. Le Dr. Dreux (Skin) quand a lui contemple sa collection d'anus rangés dans des bocaux de chloroforme (?)
Soudain, notre vigie apercoit deux voiles a l'horizon !
Des salauds de francais attaquent des potes a nous, et ils sont en surnombre.
La perspective de casser la gueule a des sales catholiques mangeurs de grenouilles de merde nous réjouit. Reste a définir la marche a suivre.
A l'abordage !
Déja, on aborde comme des sauvages ou bien ou leur balance une bonne floppée de grenaille dans la tronche ?
J'émet l'observation que la deuxieme méthode aurait également pour effet de pulvériser nos potes. C'est décidé, nous allons aborder.
A gauche ou a droite ? Enfin, a babord ou a tribord ?
Apres d'apres discutions, nous décidons d'aborder du coté ou se déroule la bataille. Hisse-et-ho !
Nous louvoyons sous le vent afin de nous rapprocher. Dans la tumulte, nous oublions de hisser le pavillon noir, mais c'est pas grave, de toute facon il était au pressing.
Soudain, c'est l'abordage.
Tous les hommes y participent (y compris le cuistot et sa hache de barbare (?), sauf le docteur, soigneusement enfermé a double tour dans sa cabine.
Hardi les gars ! Pas de quartiers !
On commence a éclater du francais en rigolant.
Le docteur a une idée : il va utiliser ses talents de sniper par la fenetre.
Mais le destin est une vieille pute borgne, et on ne sait jamais quelle saloperie dégueulasse elle va vous cracher a la gueule...
Seule l'immensité de l'océan apparait aux yeux embués de larmes de notre chirurgien (t'avais qu'a te mettre plus en "Pouvoir", ca te fera les pieds) : sa fenetre est du mauvais coté...
Tandis que le docteur tente sans succes de fracturer sa porte, la bataille fait rage.
Un matelot (Mme Vanfalen) ayant apercu le capitaine adverse tente de le planter d'un lancer de dague de toute beauté. Celui l'esquive d'un revers de l'épée grace a sa compétence de korky.
Heureusement, notre pilote, au caractere italien bien trempé, nous rejoue Matrix en lui collant son pistolet sur la tempe, mode "esquive celle-la"
BLAM !
Les morceaux de cervelle éparpillés sur le ponton nous avertissent que la phase d'interrogatoire s'annonce plus corsée que prévue.
Fin du combat, 150 morts chez les francais et un blessé leger chez nous : nous pouvons crier victoire et nous bourrer la gueule.
Nous faisons main basse sur le bateau adverse et lancons un grand concours de natation synchronisée chez les reste de l'équipage francais survivant. Ca nage mal, un marin.
Trois matelots francais ont accepté de nous rejoindre : nous leur faisons avouer que notre capitaine serait détenu sur une ile par la-bas.
Un plan diabolique germe dans nos cerveaux embrumés par les vapeurs de mauvais alcool : nous allons nous faire passer pour des francais afin de pouvoir aller tranquillement récuperer notre Capitaine, bwaaaaahahahaha !
Nous reprenons la mer en louvoyant sous le vent. Notre pilote étant chanceux, on trouve un raccourci vers....
L'Ile du Moignon !
(a suivre...)
Les Aventures Fougeollesques du Red Raven (part II)
Résumé des épisodes précedents :
A peine débarqué dans un port mal famé des Caraibes, v'la-t-y pas que le Capitaine Green s'est lamentablement fait enlevé par trois hommes louches (des francais sans doute). Il a quand meme réussi a en étaler trois avant de se faire kidnapper.
Pendant ce temps, l'équipage est a terre et dépense son or malhonnetement gagné en alcools et femmes de peu de vertu, ou bien reste a bord pour vérifier les noeuds. Garvek se fait violer par un troupeau de porcs et vomi partout sur le bateau, mais tres vite l'enquete commence.
Plusieurs questions restent sans réponse : ou est le capitaine ? Doit-on faire des jets de résistance contre la syphilis ? D'ou vient l'amour immodéré de Garvek pour les cochons ?
On apprend grace a nos remarquables talents d'enqueteurs qu'un certain Bob-le-Moignon (C'pas Bob mais j'ai plus le nom en tete) serait responsable de la capture de notre capitaine bien-aimé, ainsi que de celle de Malback, son macaque savant.
En effet, des salauds de francais ont ordonné la capture et le coulage par le fond de plusieurs capitaines pirates innocents.
A ce stade du récit, l'équipage est partagé : le capitaine est-il mort ? Auquel cas, pourquoi se casser le cul a le rechercher alors qu'on pourrait reprendre la mer tranquillou ?
Partant du principe que s'il est mort y'a pas de scénar, nous décidons de partir courageusement a sa recherche.
Accroche toi a ma vergue, moussaillon !
Nous mettons l'équipage au courant de la situation, vu qu'ils avaient participé au recherches (sage décision du Conseil de bord).
Le voyage se déroule bien et nous louvoyons sous le vent. Comme notre pilote (la délicieuse Mereth) a une chance de cocu, notre esquif file comme le vent et les embruns nous fouettent la gueule, ce qui a le mérite de dégrisé Garvek.
La vie a bord se déroule bien. Le Second donne des ordres au hasard pour faire style "je suis un pirate, hissé-ho", le Maitre d'équipage (votre serviteur) se charge de les faire appliquer a coups de pieds au cul. Typiak (Zinaida) surveille les noeuds, sa spécialité. Le Dr. Dreux (Skin) quand a lui contemple sa collection d'anus rangés dans des bocaux de chloroforme (?)
Soudain, notre vigie apercoit deux voiles a l'horizon !
Des salauds de francais attaquent des potes a nous, et ils sont en surnombre.
La perspective de casser la gueule a des sales catholiques mangeurs de grenouilles de merde nous réjouit. Reste a définir la marche a suivre.
A l'abordage !
Déja, on aborde comme des sauvages ou bien ou leur balance une bonne floppée de grenaille dans la tronche ?
J'émet l'observation que la deuxieme méthode aurait également pour effet de pulvériser nos potes. C'est décidé, nous allons aborder.
A gauche ou a droite ? Enfin, a babord ou a tribord ?
Apres d'apres discutions, nous décidons d'aborder du coté ou se déroule la bataille. Hisse-et-ho !
Nous louvoyons sous le vent afin de nous rapprocher. Dans la tumulte, nous oublions de hisser le pavillon noir, mais c'est pas grave, de toute facon il était au pressing.
Soudain, c'est l'abordage.
Tous les hommes y participent (y compris le cuistot et sa hache de barbare (?), sauf le docteur, soigneusement enfermé a double tour dans sa cabine.
Hardi les gars ! Pas de quartiers !
On commence a éclater du francais en rigolant.
Le docteur a une idée : il va utiliser ses talents de sniper par la fenetre.
Mais le destin est une vieille pute borgne, et on ne sait jamais quelle saloperie dégueulasse elle va vous cracher a la gueule...
Seule l'immensité de l'océan apparait aux yeux embués de larmes de notre chirurgien (t'avais qu'a te mettre plus en "Pouvoir", ca te fera les pieds) : sa fenetre est du mauvais coté...
Tandis que le docteur tente sans succes de fracturer sa porte, la bataille fait rage.
Un matelot (Mme Vanfalen) ayant apercu le capitaine adverse tente de le planter d'un lancer de dague de toute beauté. Celui l'esquive d'un revers de l'épée grace a sa compétence de korky.
Heureusement, notre pilote, au caractere italien bien trempé, nous rejoue Matrix en lui collant son pistolet sur la tempe, mode "esquive celle-la"
BLAM !
Les morceaux de cervelle éparpillés sur le ponton nous avertissent que la phase d'interrogatoire s'annonce plus corsée que prévue.
Fin du combat, 150 morts chez les francais et un blessé leger chez nous : nous pouvons crier victoire et nous bourrer la gueule.
Nous faisons main basse sur le bateau adverse et lancons un grand concours de natation synchronisée chez les reste de l'équipage francais survivant. Ca nage mal, un marin.
Trois matelots francais ont accepté de nous rejoindre : nous leur faisons avouer que notre capitaine serait détenu sur une ile par la-bas.
Un plan diabolique germe dans nos cerveaux embrumés par les vapeurs de mauvais alcool : nous allons nous faire passer pour des francais afin de pouvoir aller tranquillement récuperer notre Capitaine, bwaaaaahahahaha !
Nous reprenons la mer en louvoyant sous le vent. Notre pilote étant chanceux, on trouve un raccourci vers....
L'Ile du Moignon !
(a suivre...)